vendredi 25 octobre 2013

419 Liens de discipline domestique (85 ème édition)


Un faible pour la discipline... .


Il fut un temps où on disait qu'un garçons ne devrait pas pleurer. En se montrant beaucoup moins exigeant envers les filles. Enfin, depuis les choses ont changées. Pleurer est devenu presque malfamé pour tout le monde. Pour ma part pleureur un bon coup après la fessée avec la culotte baissée et le postérieur tout rouge, constitue un moment fort de cette pratique. Notons que mes pleurs se distinguent des cris de rage pendant l'acte quand le chemin vers la contrition semble encore loin. Bref, appelons cela du stress relief ou comme on veut, fait est que pour moi c'est - avec le recul - une vraie séance de bien-être qui me donne une pêche d'enfer pendant des jours. Mais ne cherchons pas l'effet bénéfique uniquement dans les habitudes claquantes. Pour arriver à pleureur comme il faut, l'ingrédient primordial pour moi c'est la tendresse. De me blottir dans les bras de mon chéri pour être admise à nouveau dans le cercle des filles sages. Voila la grande différence pour moi entre la fessée punitive et la fessée ludique. L'une aspire la tendresse et l'autre des galipettes...


Comme dirais mon homme, une belle couleur qui va si bien à tes fesses isabelle. Mais oui, il a la belle place. D'abord de celui qui applique, puis de celui qui se rince l’œil. Car n'oublions pas que chez beaucoup de personnes le plaisir de regarder l’œuvre de leur main procure outre un plaisir émoustillant aussi des satisfactions de manière purement esthétique. Non, je ne plaisante pas et je soupçonne fort mon chéri de me rajouter parfois une extra-ration de claques pour parfaire le teint de mon postérieur. Et même moi quand je me regarde plus tard dans la glace, je ne puis m’empêcher d'éprouver un sentiment de travail bien fait. Idem pour le martinet ou la canne qui laissent chacun à sa manière des jolies stries. Outre l'esthétisme, mon homme aime beaucoup aussi les aspects quelque peu burlesque d'une bonne correction. Avec un faible pour ce qu'il appelle la danse de Saint Guy. Sorte d’enchaînement de mouvements non-réfléchis et parfois même involontaires pour soulager une sacré brûlure dans mes fesses. Ce n'est pas systématique que je me déhanche de cette façon si grotesque, car j'ai d'autres moyens en réserve pour m'apaiser le derrière. Comme écarter mes jambes et de me pencher bien en avant pour me masser lentement ma peau bien tannée. Et à vrai dire je m'en tape pas mal que je me dévoile dans les moindres détails de mon anatomie. D'ailleurs, hors effet pour monter la tension dans un récit, je doute que les phénomènes de honte concernent vraiment une personne en train de recevoir une bonne correction. Même s'il y a risque de se faire surprendre. Dès que le mal aux fesses commence à monter, le monde d’extérieur n'existe plus. Je ne saurais dire s'il s'agit d'un phénomène de subspace que pour ma part j'associe plutôt à une psychose artificielle qui coupe le contact avec le monde extérieur par un puissant effet d'endorphines. Chez moi, pas d'endorphines. Seulement une sensation de douleur désagréable, car pour que le corps fabriques des substances pas possibles, il faut un travail de longue halène. Registre qui m’intéresse peu, car rien ne saurais m'ennuyer plus que des séances interminables. Nous avons un faible pour le court et fulgurant, longueur marche de Radetzky (trois minutes et quelque) et déjà un boléro, même en version fessée ludique, ne correspond pas vraiment à notre univers. Alors oui, chez nous cela claque fort, c'est la correction qui résonne et selon les jours cela ressemble fort à ce que montre la petite dame sur la photo. Danse de Saint Guy y compris.


Incontournable cette semaine ce post d'Amandine. Il m'évoque subjectivement (et là je m'éloigne du texte d'Amandine) une citation attribuée à la danoise Dagmar Rasmussen qui dit qu’elle aime plus la situation qui amène à la fessée et ce qui se passe après, mais nettement moins les quelques minutes se trouvant entre les deux ! Je me retrouve trop bien dans cette remarque. Je pense personnellement qu’elle correspond mieux à certaines réalités féminines que l’approche qui postule systématiquement une conversion de la douleur en plaisir physique sur le champ. Alors si ce dernier postulat était vrai, sommes nous encore dans les phénomènes de masochisme ou ne serions nous pas dans des phénomènes névrotiques de conversion ? Puis indice important sur la psychologie de certaines dames dont moi : … les quelques minutes ! J'ajoute également, sans connaître quoique ce soit aux rencontres par le net, que dans la discipline domestique un « excès de force » risque de mettre en péril définitivement un couple, car justement nous ne sommes pas dans un jeu épisodique, mais dans le durable. Donc l'idée de passer sa vie avec une personne abusive, j'ai presque envie de dire brutale, ne pardonne pas. A méditer.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
















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