Y
a pas de honte à recevoir une fessée quand on l'a mérite.
Dans mon cas, ce serait plutôt la
voisine. Quand j'ai rencontré mon homme, c'était sa phase campagne.
Pour pouvoir travailler en toute tranquillité, il s'était installé
dans une joli coin loin des grandes villes. Loin des petites villes
aussi avec une seule maison dans le voisinage direct, habitée par
une très gentille dame. Les deux maisons étaient séparées par une
épaisse haie de lauriers, dont vu de loin peu de chance de voir ce
qui se passait à côté. Toutefois j'ai pu vite m'en apercevoir de
certains défauts de la haie permettant de jeter un coup d’œil de
l'autre côté. Ce qui m'a permis (j'avoue ma curiosité et mon
indiscrétion) d'apprendre que notre gentille voisine, quinquagénaire
pimpante, faisait du nudisme dans son jardin. Voila qui me la rendue
encore plus sympathique. Seulement, petit bémol dans la joie de ma
découverte, j'avais déjà reçu à ce moment-là plusieurs fessées
en plein air. Pratique punitive qu'apprécie particulièrement mon
homme. Loin de moi de vouloir discréditer ses méthodes éducatives
à mon égard. Au contraire. Outre que mon consentement, il sait
déchaîner mes émotions en me récréant d’authentiques contextes
de mes rêveries de jeune fille et jeune adulte. Sans aller trop
loin, ni dans l'intensité de ce qui arrive à mes fesses, ni dans
des situation compromettantes. Il a le chic de rester dans ce que je
considère comme du bon enfant et à vrai dire s'en prendre une belle
déculottée dans son jardin n'est pas non plus un comble de
pratiques extravagantes. Ce serait plutôt un risque de se faire
pointer du doigt pour machisme aggravé. Enfin, mon homme est une
personne tellement gentille que ce genre d'exploit sera plutôt perçu
comme une bonne plaisanterie... la première fois. Tiens, ils
récidivent... la seconde fois. Puis enfin... ils ont pris goût ou
quoi ?
Alors cette fameuse première fois au
jardin, bien évidement je me suis souciée d'éventuel spectateurs
involontaires. Sans compter sur le sens de la repartie de mon chéri :
On est chez nous, isabelle. On va pas se gêner !
Effectivement, il ne s'est pas gêné,
car comme tout le monde sait, une vraie fessée s'applique cul nu et
le son qui accompagne le geste est en conséquence et porte loin.
Alors moi à la place de la voisine, faisant du nudisme dans une
chaise longue et en m'ennuyant à mort, j'aurais été fort contente
d'entendre mes voisins se livrer à spectacle peu commun et
particulièrement sonore. J'ajoute que pendant mes punitions, la
question d'un éventuel témoin est le cadet de mes soucis. Je suis
concentrée sur le feu de l'action, c'est la cas de le dire et je ne
vais pas hésiter de pousser une longue litanie de promesses. D'être
plus sage, plus sérieuse, plus studieuse, moins casse coui*lle,
moins insolente, plus respectueuse... Voila donc un accompagnement
verbal qui ne laisse aucun doute sur ce qui se passe. Et peut-être,
vu certains de mes caprice, j'aurais même pensé à la place de la
voisine que cette petite dame pousse vraiment le bouchon si loin que
ce brave type ne trouve plus d'autre moyen pour se faire entendre.
Alors à coup sur, je me serais dépêchée vers un petit trou au
milieu des lauriers pour contempler le spectacle en toute discrétion.
Quand
une dame passe...
Voila un souvenir quelque peu global de
mon enfance, mais loin d'être une généralité ! Genre de souvenir
qui déforme justement la réalité pour une petite fille quand on ne
voit que cela dans son entourage. De la part de son papa et de ses
amis. La femme reine et déjà on se projette plus loin, dans le plus
tard, femme soi-même, étant adulée comme sa maman.Cercle dans lequel mon chéri a pu
s'intégrer sans le moindre mal. Il était fait pour devenir le
meilleur ami de mon papa et de... ma maman. Et certainement, je
n'aurais pas pu imaginer de passer ma vie avec un homme sans sens de
la famille. Un qui déteste les grands repas du dimanche, les
anniversaires ou fêtes du calendrier qui donnent l'occasion de se
réunir.
L'image m'évoque également la
réaction masculine à l'odeur de la dame qui passe. De l'importance
du choix de son parfum, de l'importance de mouvement fluide et
quelque peu exubérant pour diffuser toute la subtilité des nuances.
Ma surprise aussi, quand j'ai appris encore ado de la bouche d'un
prince charmant de l'importance de compatibilité d'odeurs en me
montrant aussitôt sa satisfaction en prenant une pleine narine de ma
petite culotte. Quelque peu gênée, j'ai chopée tout de même un
crise de fou-rire. En pensant qu'après tout il y a pire, comme tout
ceux qui se remplissent les narines autrement en risquant leur santé. Mais cette histoire de petite culotté
ne m'a jamais quittée. Ce n'est pas une habitude systématique de
ces messieurs, mais mon prince charmant n'était pas un cas isolé.
J'ai pu m'en apercevoir un jour quand mon homme m'a avoué de garder
dans sa mallette de voyage toujours un de mes strings ou une de mes
culottes. Drôle d'idée. Je me verrais mal de garder un string ou
caleçon de mon homme dans mon sac à main. Malheureusement, les strings, il
n'aime pas trop en porter. Je dois me montrer insistante.
Il s'agit de mon impression
strictement personnelle, car je trouve ce petit clip crédible et
réaliste. On dirait presque un reportage, tellement que c'est bien
fait. Nous sommes loin des clichés que véhiculent les productions
industrielles qui demandent souvent un cœur bien accrochée. Petite
histoire que je suis avec plaisir du début à la fin, ce qui est
rare pour moi.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
merci Isabelle. et toi aussi passe un bon week end.
RépondreSupprimerje reçois aussi régulièrement la fessée en plein air. Sur ma terrasse, qui n'a pas de vis à vis mais le bruit des claques sur mon postérieur et mes chouineries ne doivent pas laisser mes voisins indifférent. Et puis, il y a la bonne fessée reçue lors d'une ballade en forêt où n'importe qui peut passer et assister à la correction....
Ah, je te vois adepte aussi du piquant des témoins involontaires, Hermione. C'est une dimension en plus que je n'aime pas savoir manquer à mes pratiques...
SupprimerVotre voisine vous a-t-elle fait des réflexions à ce sujet?
RépondreSupprimer(Nous avons un temps habité dans un immeuble où il y avait une dame... comment dire... bruyante. Au début c'est comique, mais quand on aimerait dormir ou faire quelque chose d'un peu prenant intellectuellement, c'est agaçant...)
Rire ! La dame bruyante, cela aurait pu être moi. Et justement par ce fait, on ne m'imagine pas avec un fantasme tel que la fessée. J'ai d'ailleurs eu au cours de ma vie beaucoup d'allusions à mon niveau sonore. Cela me passe à côté et me fait rire, mais je vous donne raison que cela puisse prodigieusement agacer un voisin. Ceci dit, notre voisine a fait quelques allusions bon enfant, style vous semblez bien vous amuser ou vous ne vous ennuyez à la campagne.
RépondreSupprimerPour compliquer encore les choses, chère Isabelle, nous avons également le fantasme de la fessée devant témoins... mais que nous ne voulons pas embarrasser les gens... et encore moins les rencontrer après, qu'ils soient goguenards ou en colère.
RépondreSupprimerCela se passerait par exemple ainsi: mon épouse me donnerait la discipline devant une ou plusieurs autres dames (quand j'étais jeune homme j'aurais dit des dames plus âgées, mais... ah quelle honte si j'étais fessée devant une jeune fille) qui commenteraient poliment l'action, ou me confierait aux soins de l'une d'entre elles.
S'il s'agissait de la punition de madame, nous aurions également des femmes (ni moi ni madame n'aimons la pensée qu'un autre homme s'occupe de son derrière... ou de son devant).
Comme vous dites, suivant la position, une observatrice pourrait avoir une vue d'ensemble, une vue sur mes fesses, ou une vue sur mon visage afin d'y lire la honte et la contrition?
Mais pour le moment, c'est de l'univers du fantasme, tout simplement parce que nous ne connaissons personne de confiance avec qui pratiquer.
Au sujet de votre string: je comprends votre mari, le déculottage est un rituel quel nous apprécions, au point de parfois mettre une culotte en préparation! Mais pas de strings pour madame, surtout pour la fessée: ce serait plutôt la culotte coton (ah, si nous pouvions en trouver avec marquée "vilaine fille" dessus!). Et l'odeur? Hé bien, si je ne l'apprécie pas quand elle est trop prononcée, en effet je la trouve sinon plutôt alléchante...
Je comprends votre dilemme, cher Pecan. Une fessée devant un public est quelque chose de particulièrement délicat quand on n'aime pas les ambiances « soirée à thème » et quand on cherche un cadre crédible. Je pense que le meilleur public se constitue par des personnes approuvant fantasmatiquement le bien-fondée de la fessée punitive en cas de faute ou manque de discipline. Elles sont facilement repérables par leurs mots (une bonne fessée n'a jamais fait de mal à personne ; malgré ton âge tu mériterais vraiment une...) sans que cela livre le moindre indice sur leur approbation d'un passage à l'acte devant elles. Il vaut mieux quand il y a des indices qui ne semblent pas tromper aborder d'abord le terrain de manière prudente et surtout verbale. Pour ma part aussi, l'idée que je passe en présence de mon homme entre les mains de celle que j'ai offensée me plaît beaucoup.
RépondreSupprimerPour la culotte « vilaine fille » faites un tour sur ce site
. Je pense moyennant finance vous pouvez y créer vous-même la culotte de vos rêves. Il est arrivé à mon homme de faire appel à une imprimerie spécialisée, car bien évidement, lui aussi n'est pas insensible au charme de la bonne vielle culotte en coton. Moi qui m'attendais, vu le joli paquet cadeau, à de la lingerie de plus effrontée, je n'ai pu m’empêcher d'un grand fou-rire en découvrant quelques culottes personnalisées et à une paire de longues chaussettes blanches.