vendredi 18 octobre 2013

416 Liens de discipline domestique (84 ème édition)


Y a pas de honte à recevoir une fessée quand on l'a mérite.


Dans mon cas, ce serait plutôt la voisine. Quand j'ai rencontré mon homme, c'était sa phase campagne. Pour pouvoir travailler en toute tranquillité, il s'était installé dans une joli coin loin des grandes villes. Loin des petites villes aussi avec une seule maison dans le voisinage direct, habitée par une très gentille dame. Les deux maisons étaient séparées par une épaisse haie de lauriers, dont vu de loin peu de chance de voir ce qui se passait à côté. Toutefois j'ai pu vite m'en apercevoir de certains défauts de la haie permettant de jeter un coup d’œil de l'autre côté. Ce qui m'a permis (j'avoue ma curiosité et mon indiscrétion) d'apprendre que notre gentille voisine, quinquagénaire pimpante, faisait du nudisme dans son jardin. Voila qui me la rendue encore plus sympathique. Seulement, petit bémol dans la joie de ma découverte, j'avais déjà reçu à ce moment-là plusieurs fessées en plein air. Pratique punitive qu'apprécie particulièrement mon homme. Loin de moi de vouloir discréditer ses méthodes éducatives à mon égard. Au contraire. Outre que mon consentement, il sait déchaîner mes émotions en me récréant d’authentiques contextes de mes rêveries de jeune fille et jeune adulte. Sans aller trop loin, ni dans l'intensité de ce qui arrive à mes fesses, ni dans des situation compromettantes. Il a le chic de rester dans ce que je considère comme du bon enfant et à vrai dire s'en prendre une belle déculottée dans son jardin n'est pas non plus un comble de pratiques extravagantes. Ce serait plutôt un risque de se faire pointer du doigt pour machisme aggravé. Enfin, mon homme est une personne tellement gentille que ce genre d'exploit sera plutôt perçu comme une bonne plaisanterie... la première fois. Tiens, ils récidivent... la seconde fois. Puis enfin... ils ont pris goût ou quoi ?

Alors cette fameuse première fois au jardin, bien évidement je me suis souciée d'éventuel spectateurs involontaires. Sans compter sur le sens de la repartie de mon chéri :

On est chez nous, isabelle. On va pas se gêner !

Effectivement, il ne s'est pas gêné, car comme tout le monde sait, une vraie fessée s'applique cul nu et le son qui accompagne le geste est en conséquence et porte loin. Alors moi à la place de la voisine, faisant du nudisme dans une chaise longue et en m'ennuyant à mort, j'aurais été fort contente d'entendre mes voisins se livrer à spectacle peu commun et particulièrement sonore. J'ajoute que pendant mes punitions, la question d'un éventuel témoin est le cadet de mes soucis. Je suis concentrée sur le feu de l'action, c'est la cas de le dire et je ne vais pas hésiter de pousser une longue litanie de promesses. D'être plus sage, plus sérieuse, plus studieuse, moins casse coui*lle, moins insolente, plus respectueuse... Voila donc un accompagnement verbal qui ne laisse aucun doute sur ce qui se passe. Et peut-être, vu certains de mes caprice, j'aurais même pensé à la place de la voisine que cette petite dame pousse vraiment le bouchon si loin que ce brave type ne trouve plus d'autre moyen pour se faire entendre. Alors à coup sur, je me serais dépêchée vers un petit trou au milieu des lauriers pour contempler le spectacle en toute discrétion.

Quand une dame passe...


Voila un souvenir quelque peu global de mon enfance, mais loin d'être une généralité ! Genre de souvenir qui déforme justement la réalité pour une petite fille quand on ne voit que cela dans son entourage. De la part de son papa et de ses amis. La femme reine et déjà on se projette plus loin, dans le plus tard, femme soi-même, étant adulée comme sa maman.Cercle dans lequel mon chéri a pu s'intégrer sans le moindre mal. Il était fait pour devenir le meilleur ami de mon papa et de... ma maman. Et certainement, je n'aurais pas pu imaginer de passer ma vie avec un homme sans sens de la famille. Un qui déteste les grands repas du dimanche, les anniversaires ou fêtes du calendrier qui donnent l'occasion de se réunir.

L'image m'évoque également la réaction masculine à l'odeur de la dame qui passe. De l'importance du choix de son parfum, de l'importance de mouvement fluide et quelque peu exubérant pour diffuser toute la subtilité des nuances. Ma surprise aussi, quand j'ai appris encore ado de la bouche d'un prince charmant de l'importance de compatibilité d'odeurs en me montrant aussitôt sa satisfaction en prenant une pleine narine de ma petite culotte. Quelque peu gênée, j'ai chopée tout de même un crise de fou-rire. En pensant qu'après tout il y a pire, comme tout ceux qui se remplissent les narines autrement en risquant leur santé. Mais cette histoire de petite culotté ne m'a jamais quittée. Ce n'est pas une habitude systématique de ces messieurs, mais mon prince charmant n'était pas un cas isolé. J'ai pu m'en apercevoir un jour quand mon homme m'a avoué de garder dans sa mallette de voyage toujours un de mes strings ou une de mes culottes. Drôle d'idée. Je me verrais mal de garder un string ou caleçon de mon homme dans mon sac à main. Malheureusement, les strings, il n'aime pas trop en porter. Je dois me montrer insistante.


Il s'agit de mon impression strictement personnelle, car je trouve ce petit clip crédible et réaliste. On dirait presque un reportage, tellement que c'est bien fait. Nous sommes loin des clichés que véhiculent les productions industrielles qui demandent souvent un cœur bien accrochée. Petite histoire que je suis avec plaisir du début à la fin, ce qui est rare pour moi.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















6 commentaires:

  1. merci Isabelle. et toi aussi passe un bon week end.
    je reçois aussi régulièrement la fessée en plein air. Sur ma terrasse, qui n'a pas de vis à vis mais le bruit des claques sur mon postérieur et mes chouineries ne doivent pas laisser mes voisins indifférent. Et puis, il y a la bonne fessée reçue lors d'une ballade en forêt où n'importe qui peut passer et assister à la correction....

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    1. Ah, je te vois adepte aussi du piquant des témoins involontaires, Hermione. C'est une dimension en plus que je n'aime pas savoir manquer à mes pratiques...

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  2. Votre voisine vous a-t-elle fait des réflexions à ce sujet?

    (Nous avons un temps habité dans un immeuble où il y avait une dame... comment dire... bruyante. Au début c'est comique, mais quand on aimerait dormir ou faire quelque chose d'un peu prenant intellectuellement, c'est agaçant...)

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  3. Rire ! La dame bruyante, cela aurait pu être moi. Et justement par ce fait, on ne m'imagine pas avec un fantasme tel que la fessée. J'ai d'ailleurs eu au cours de ma vie beaucoup d'allusions à mon niveau sonore. Cela me passe à côté et me fait rire, mais je vous donne raison que cela puisse prodigieusement agacer un voisin. Ceci dit, notre voisine a fait quelques allusions bon enfant, style vous semblez bien vous amuser ou vous ne vous ennuyez à la campagne.

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  4. Pour compliquer encore les choses, chère Isabelle, nous avons également le fantasme de la fessée devant témoins... mais que nous ne voulons pas embarrasser les gens... et encore moins les rencontrer après, qu'ils soient goguenards ou en colère.

    Cela se passerait par exemple ainsi: mon épouse me donnerait la discipline devant une ou plusieurs autres dames (quand j'étais jeune homme j'aurais dit des dames plus âgées, mais... ah quelle honte si j'étais fessée devant une jeune fille) qui commenteraient poliment l'action, ou me confierait aux soins de l'une d'entre elles.

    S'il s'agissait de la punition de madame, nous aurions également des femmes (ni moi ni madame n'aimons la pensée qu'un autre homme s'occupe de son derrière... ou de son devant).

    Comme vous dites, suivant la position, une observatrice pourrait avoir une vue d'ensemble, une vue sur mes fesses, ou une vue sur mon visage afin d'y lire la honte et la contrition?

    Mais pour le moment, c'est de l'univers du fantasme, tout simplement parce que nous ne connaissons personne de confiance avec qui pratiquer.

    Au sujet de votre string: je comprends votre mari, le déculottage est un rituel quel nous apprécions, au point de parfois mettre une culotte en préparation! Mais pas de strings pour madame, surtout pour la fessée: ce serait plutôt la culotte coton (ah, si nous pouvions en trouver avec marquée "vilaine fille" dessus!). Et l'odeur? Hé bien, si je ne l'apprécie pas quand elle est trop prononcée, en effet je la trouve sinon plutôt alléchante...

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  5. Je comprends votre dilemme, cher Pecan. Une fessée devant un public est quelque chose de particulièrement délicat quand on n'aime pas les ambiances « soirée à thème » et quand on cherche un cadre crédible. Je pense que le meilleur public se constitue par des personnes approuvant fantasmatiquement le bien-fondée de la fessée punitive en cas de faute ou manque de discipline. Elles sont facilement repérables par leurs mots (une bonne fessée n'a jamais fait de mal à personne ; malgré ton âge tu mériterais vraiment une...) sans que cela livre le moindre indice sur leur approbation d'un passage à l'acte devant elles. Il vaut mieux quand il y a des indices qui ne semblent pas tromper aborder d'abord le terrain de manière prudente et surtout verbale. Pour ma part aussi, l'idée que je passe en présence de mon homme entre les mains de celle que j'ai offensée me plaît beaucoup.

    Pour la culotte « vilaine fille » faites un tour sur ce site
    . Je pense moyennant finance vous pouvez y créer vous-même la culotte de vos rêves. Il est arrivé à mon homme de faire appel à une imprimerie spécialisée, car bien évidement, lui aussi n'est pas insensible au charme de la bonne vielle culotte en coton. Moi qui m'attendais, vu le joli paquet cadeau, à de la lingerie de plus effrontée, je n'ai pu m’empêcher d'un grand fou-rire en découvrant quelques culottes personnalisées et à une paire de longues chaussettes blanches.

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