vendredi 23 août 2013

389 Liens de discipline domestique (76 ème édition)


Une fois le derrière en feu, comment...


Pour moi une vraie correction vie d'émotions spontanées. Je parle le plus souvent de celles de la dame. Normal le sujet me concerne directement, mais aussi parce que je n'ai pas la prétention de pouvoir me mettre à la place d'un homme. Et justement j'ai un peu impression que l'on pense rarement aux émotions du monsieur qui applique. Il s'agit de regarder plus loin que de l'imaginer dans un état de transe, hypnotisé par le derrière féminin. Ou tout simplement excité à ne plus en pouvoir. Pas besoin de la fameuse intuition féminine, on sent quand même certaines choses quand on est allongée sur les genoux d'un homme. Puis s'ajoute son respiration haletante. Ou encore comme ceux qui en font un métier sans y investir corps et âme. N'oublions pas non plus tout ces braves « fesseurs » qui font cela pour faire plaisir à la dame, les hypocrites timides quoi, et ceux qui méditent sur la difficile équation comment partager le plaisir et qui contiendra à jamais une variable inconnue : l'autre ! Et enfin, notamment dans des récits, souvent il y a confusion entre sensation et émotion.

Les émotions spontanées s'improvisent difficilement. Elles trempent leurs racines dans la vie quotidienne et apparaissent sans prévenir. Et subitement mon chéri se fâche. Sans ambiguïté. J'ai encore réussi de lui faire perdre son calme habituel, de le faire démordre de sa patience sans fin et lui provoquer une authentique colère. Bien entendu le manuel du parfait éducateur prévoit un chapitre à ce propos et déconseille fortement de punir sous l'emprise d'émotions intenses. Et quant aux personnes qui jouent un jeu de rôle, à moins que l'inconscient ait un compte à régler avec maman, et encore, hein bien, il ne sauraient malheureusement pas procurer à la dame un authentique homme en colère.

Je ne crois pas trop dans l'argument que la colère fasse perdre la raison au point de maltraiter une dame. Comme il me parait erronée de lier le fantasme de la fessée systématiquement à un désir de taper de plus en plus fort. Je pense que cela dépend des personnes. Alors mon chéri quand il est vraiment en colère, il est bref et expéditif. Le plus souvent cela dure moins d'une minutes. Quelque grosses claques sur mon derrière avec sa main. Il est trop énervé pour chercher le martinet. Toutefois il lève ma jupe ou robe et baisse ma petite culotte quand j'en porte une, mais rarement un string. Et rien que dans ce petit geste se montre déjà une sorte de recul, malgré la colère. La touche humaine.

Je vais lui faire sa fête, mais pas sa peau !

Un vacarme d'enfer, un orage d'été et j'ai vraiment très mal aux fesses. L'action est trop brève pour une contrition ou des larmes. Nous sommes dans un registre d'avertissement (ne recommence plus), registre de soupape pour évacuer une tension trop forte( y en a marre de tes caprices, isabelle), registre de « sexe fort et sexe faible » (tu vas voir qui porte les culottes ; oh oui mon chéri montre moi !), registre de rapport d'autorité (avec moi tu fileras droite), registre récréatif aussi (c*l nu sur mes genoux). Bref je suis ravie, vraiment ravie. Non seulement parce que je trouve à mon homme une réaction très humaine et compréhensible. Non seulement parce qu'il ose me punir d'une manière - soyons clairs - qui est inconciliable avec nos conventions sociales. Ce qui lui donne un aura « mon héros à moi » qui se moque du politiquement correct. Quel frisson ! De l'autre côté je vois l'expression d'un grand gamin qui extériorise une émotion négative dont fait partie la colère et qui a pour cause en fin de compte une non-satisfaction d'un désir. Alors il faut en trouver une de substitutive. Mais tout au contraire de mes punitions ritualisées, mon pauvre chéri regrette souvent son geste. Et pour se faire pardonner il me passe... de la pommade … sur mon postérieur brûlant. Ce n'est pas mignon tout plein ? En tout cas moi je craque. Et je ne crie pas non plus au secours quand ses mains commencent à s'égarer. Je le laisse se consoler pour son geste brusque.


Il fut un temps quand la fessée était encore une aventure. Il fallait un homme qui ait peur de rien, ni même de braver le ciel pour se frayer un chemin au travers des jupes, jupons, bas et porte-jarretelles pour arriver devant le dernier rempart de la pudeur, la petite culotte de la dame.
Ah comme j'aime le glamour à l'ancienne et j'ai quelque jolies jupons dans ma penderie. Un peu dommage que mon homme malgré son grand amour pour le rock and roll version Rolling Stones ne sache danser, style rock acrobatique avec entrain et rythme qui fait monter les jupes des filles. Bon j'ai essayé de lui donner quelques cours de danse et j'ai pu constater que le pauvre, tout au contraire de moi et de notre petite, manque le moindre sens de rythme. Dur, dur pour lui la vie avec deux femmes qui commencent à bouger dès qu'une musique atteint leurs oreilles. Alors, on l'imagine, dans les activités claquantes aussi, il a du mal à tenir un rythme. Même un truc, gros comme une montagne, la marche de Radetzky, lui pose pas mal de problèmes de justesse. Comme il dit, en se réfugiant derrière Einstein : ...celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donne un grand cerveau puisque la moelle épinière lui suffirait amplement. Je le laisse parler en pensant que son compagnon dans son caleçon est moins tranché dans ses jugements. Il suffisait que je mette ma tenue de majorette (j'ai quelques problèmes pour y rentrer depuis quelques années!) et que je me mette à bouger pour que non seulement ses yeux lui sortent de la tête. Mais le plus mignon c'est qu'il a honte à admettre devant ses copains d'antan qu'il aime les petites jupettes et d'autres futilités en ce genre. Je me souviens d'un timide rougissement de sa part quand j'avais dit en toute innocence devant ses copains de fac qu'il adorait à l'occasion du carnaval de Düsseldorf ou de Cologne regarder défiler les Funkenmariechen (majorettes) au pas.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !














2 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Cela m’aurait sans doute amusée de vous lancer un nouveau défi ! mais pas pour provoquer un nouvel échec. C’est pourquoi, je vous donne la solution : la photo qui m’a le plus « titillée » est celle intitulée « Avant la punition » …

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  2. Cela colle très bien à votre joli texte sur votre première punition corrective. Ce qui pointe tout de même dans une direction que votre libido aussi apprécierait la fermeté du caractère de votre époux.

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