vendredi 9 août 2013

380 Liens de discipline domestique (74 ème édition)


Confidences entre filles


J'ai aucun mal pour m'imaginer avec une bonne copine dans cette posture peu glorieuse. J'ai même l'impression d'entendre la voix de mon chéri qui demande aux dames de laisser les jupes au vestiaire avant de se mettre en position. Sans toutefois pousser le vice, comme quand on est seuls, d'insister aussi de laisser par la même occasion le string soigneusement plié sur la jupe. Présence d'une copine en manque de discipline oblige, la pudeur sera scrupuleusement respectée. Connaissant mon chéri, il saurait rester « maître » d'une telle situation. Avec son calme habituel et son sérieux pour s'occuper de l'éducation de grandes filles. Non, cela ne tournera pas vers une partie à trois et les seules caresses se feront par le biais d'une badine bien souple et qui siffle en coupant l'air. Ayant habitude de ce châtiment, le plus souvent à l'allemande, veut dire une ration de cinq, parfois quand c'est justifié de dix coups. Avec une petite pause entre chaque impacte qui permet de bien réfléchir et surtout qui favorise les bonnes résolutions de se comporter désormais de manière impeccable. L'effet est garanti sur moi. Dans le pire cas, pendant des longues journées mon comportement ne laisse en rien à désirer. Toutefois malgré une douleur considérable, ma punition reste loin des industrielles et leurs affreuses marques. Nous sommes dans la vie de couple et non pas dans une fiction pour nourrir des rêveries sadiques. J'ai un faible pour ce châtiment très ritualisé quand il s'agit de soigner mes pires habitudes comme les gros mots, l'irrespect envers ma mère ou ma belle mère, insolence ou entêtement envers mon homme, mauvaise langue en public. Et je suis très satisfaite de l'éducation que j'ai reçue et notamment des résultats durables. Grâce à mon homme, après quelques mois de vie en commune déjà, il y avait un réel mieux. De nos, il est très difficile d'aborder ce genre de sujet avec ses copines. L'aveu de bénéficier d'une éducation à l'ancien n'est pas bien du vu du tout. C'est en quelque sorte de sortir du registre récréatif et d'admettre un échec personnel pour s'imposer ses propres limites. Comme la fâcheuse tendance de se remettre dans la situation d'une impertinente adolescente trop gâtée qui fait tout pour emmer.. son monde. Alors il vaut mieux garder ce secret pour soi.

Mais parfois la vie joue des tours étranges. Comme être considérée en personne digne de confiance à laquelle justement on ose confier des choses plutôt gênants. Et me voilà confrontée à des aveux par autrui d'un ardent désir de déculottée pour telle ou telle autre raison. Avec point en commun avec moi, un mécontentement notoire de soi-même. Que ce soit au niveau professionnel, social ou sentimental. Que dire ? Ouvrir le sac et vanter les méthodes de mon chéri ? Impensable. Je serais trop jalouse en cas de demande pour voir un peu. Alors plutôt garder le silence sur soi-même et continuer à se comporter en excellente écoute. Par contre, rien ne m’empêche de continuer à broder mon fil dans l'imagination. Voilà que j'aurais à dire à une hypothétique copine qui se penche sur le même canapé que moi en attendant que mon homme vienne pour nous faire chanter à haute voix. Enfin, chantera-t-elle comme ma moi cette copine ? Aurait-elle comme moi si peu de fierté pour fondre en larmes en implorant pardon et en manifestant l'intention de mieux se comporter sur le champs ? Peut-être gardera-t-elle le silence et se frottera seulement son derrière en poussant quelques gros soupirs après avoir reçu le feu aux fesses ? Peut-être se moquera-t-elle de moi et de ma lâcheté, en disant : A la place de ton homme je serais nettement mon cool avec toi, isabelle...


Jolie photo qui ressemble parfaitement au paysage dans lequel je me trouve pour passer mes vacances. Mon homme et moi, nous adorons la montagne et notre petite aussi est de plus enchantée. Évidement avec un enfant, fini le temps quand mon homme louait un chalet dans un petit coin de paradis, loin des routes touristiques. Reste alors la photo pour donner nouvelle vie à mes souvenirs. Bon, je n'aime pas trop la lingerie rouge, mais il faut savoir que dans les petits chalet en altitude, le soir et tôt le matin, il fait assez frais pour bien supporter des jolis sous-vêtements en plein été. Donc aucune raison de se priver du romantisme du porte-jarretelles. Sans parler des punitions, sur un petit banc dehors, pour exposer son fessier nu sous la lumière des étoiles. J'adore la sonorité d'une belle correction en plein air et même mon homme, habituellement peu romantique quand ils 'agit de me sanctionner, se laisse parfois aller à des claquements qui correspondent … à un prélude pour autre chose. Puis quel plaisir aussi de pouvoir se promener en exposant son fessier tout rouge pour afficher clairement que la discipline chez nous n'est pas un vain mot et occupe une place de choix dans notre couple. Notons aussi que j'aime beaucoup, même hors endroits discrets, laisser traîner mes bas et autre lingerie sur les fils à linge bien en vu du premier visiteur venu. Quant à mes copines, cela ne leur pose pas le moindre problème. Mais disons que mon homme a quelques couples d'amis de longue date dont les dames ayant renoncées jadis au port même du soutien-gorge, se sentent obligées de me faire la morale. Comment peux-tu porter des tels trucs, isabelle ? Enfin je m'en tape, de leur opinion et de leur expression quelque peu outrée, mais j'adore voir le petit rougissement sur le visage de mon chéri qui n'est pas vraiment à l'aise que ses amis découvrent ainsi certains de ses fantasmes d'une nature indéniablement frivole. Enfin, mon homme n'ose pas (trop) me corriger pour ce genre d'oubli, même s'il aimerait bien sévir un peu plus pour outrage aux bonnes mœurs. Sujet qui est sa grande passion. Alors dans ce cas, voyant la tension dans son jeans, il m'arrive de faire ce que je ne fais habituellement jamais. Lui donner volontairement une bonne raison pour passer à l'action. Faut que je me calme un peu. Je suis vacances, mais tout de même...


Il m'arrive de donner un coup de main à mon homme pour son travail quand il est débordé. Et pour lui prouver à quel point je suis sérieuse, je sors même mon uniforme d'antan, c'est-à-dire un de mes petits tailleurs (à condition que j'y rentre encore!) quand je travaillais encore. Hein oui, tirée à quatre épingles pour lui servir son petit déjeuner, il se réjouit d'avance de se retrouver avec une secrétaire particulière. Enfin pas vraiment, car il trouve que j'aurais tendance à trop le distraire par ma bonne volonté. J’admets que parfois c'est plus fort que moi de jouer au jeu, comment déconcentrer un homme qui est occupé. Toutefois je lui fais la documentation au mieux de mes capacités et quand je me met à travailler, je travaille vraiment. Arrivent malheureusement les coups de fils et ayant consigne de m'en occuper pour filtrer de manière agréable, j'ai vite tendance à m'installer confortablement comme sur la photo. Ce que mon homme qualifié d'harcellement. J'ai beau à lui dire que je ne suis pas une varie secrétaire, mais sa compagne pour le calmer les rares fois quand il s’énerve pour de bon. Argumentation de plus nulle qui soit, car il me rétorque que par les mêmes motifs il ne se privera pas de me botter le fessier pour se détendre un peu les nerfs. Et à vrai dire une telle pause, bien que très courte et fort bruyante, nous fait du grand bien à tous les deux. Le travail avance à pas de géants, dans la joie et dans la bonne humeur, ce qui était le but du départ. Seulement j'ai un peu tendance de bouger sur ma chaise à cause d'un sacré mal dans mon séant..

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !















15 commentaires:

  1. Bien que mon épouse désapprouve tout ce qui pourrait ressembler à des relations extra-conjugales (y compris s'il s'agit d'un fantasme accompagné d'actions manuelles), elle m'a déjà dit qu'elle trouverait intéressant de pratiquer la fessée, voire plus, avec moi et une autre femme en même temps - que ce soit pour se faire fesser par la dame, la fesser, que la dame me fesse ou que je fesse la dame. La différence, énorme pour elle, est que les choses se feraient en sa présence et sous son contrôle.

    Nous n'avons jamais fait cela; nous ne connaissons pas de partenaire possible et n'avons guère envie, pour des raisons de discrétion, de prospecter dans les forums spécialisés.

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    1. Je rejoins la logique de votre dame. Je n'ai rien contre les forums de rencontre qui livrent d'excellent résultats après quelques échos que j'aie eues. Toutefois pour ma part je trouve plus touchant de découvrir un fantasme « complémentaire » chez une personne de mon entourage. Il me semble que le fantasme de la fessée se trouve parfois en hibernation chez une personne, ce qui offre la possibilité de le réveiller. D'ailleurs il y a plus de fantasmes en hibernation que l'on n'imagine. Il suffit de penser aux cinquante nuances qui ont eus un effet détonateur.

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    2. Il semble difficile de "sonder" nos amies sur ce sujet, même si effectivement les 50 nuances ont rendu le sujet plus abordable. On pourrait lancer une discussion plus ou moins socio/psycho, mentionner les 50 nuances et regarder les réactions des gens...

      C'est pourtant difficile car nous sommes des gens très discrets au sujet de notre sexualité (sauf, pseudonymement en ligne).

      Nous vivions aux États-Unis au moment de l'affaire Lewinsky et c'était amusant de voir comment des gens dont nous aurions pensé qu'ils étaient coincés mentionnaient le "cigare" d'un air égrillard.

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    3. Disons que les petites gâteries avec la bouche étaient déjà un « standard » quand j'étais ado. Pour discuter des sujets « intéressants » il en va de soi que cela ne concerna pas tout le monde. Moins peut-être par crainte de rejet, mais de peur de tomber sur des personnes qui interprètent cela comme des propositions entre couples...

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    4. Les gâteries n'étaient pas une nouveauté, mais le fait d'y faire allusion devant la machine à café, dans un environnement professionnel, oui...

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    5. Effectivement, là je suis d'accord avec vous!

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  2. Nous évitons tout ce qui laisse de vraies marques, en sus de la rougeur. Parfois on n'évite pas les bleus, mais nous n'aimons pas trop. Nous ne faisons pas les cravaches et cannes pour cette raison

    "Présence d'une copine en manque de discipline oblige, la pudeur sera scrupuleusement respectée."

    Ah, chez nous madame, au contraire, m'imagine me faire déculotter par une amie et lui permettre un coup d'œil (voire une inspection manuelle) de mon anatomie avant la fessée, histoire de m'embarasser plus.

    Je lui rétorque que cela voudrait dire que je devrais pouvoir, une fois les rôles retournés, en faire de même... "Tu es trop gourmand. On n'a même pas essayé que en veux plus."

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    1. A chacun son monde fantasmatique. Et je trouve très joli votre scénario avec une amie. On voit bien qu'il existe un monde de la fessée qui explore les pistes de la honte en se passant des éléments trop cuisants. Malheureusement on en trouve pas beaucoup de matériel à ce sujet. J'aime bien les rêveries de l'examen chez une spécialiste vicieuse, en présence de mon homme. Ce goût date de mon adolescence quand j'ai lu quelques contributions de lecteurs faux ou vrais peu importe qui ont enflammées mon imaginaire. Enfin, là nous restons dans un pur fantasme. Alors je vois un peu ce qui pourrais vous titiller...

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    2. Madame me dit, à propos de l'examen par une amie, que je ferais certainement moins le malin si celle-ci s'occupait de ma prostate. ;-)

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  3. Moi aussi, ma femme évite les traces mais bon, j'ai quand droit à de bonnes fessées, cul nu, qui, à défaut d'être très fortes, sont très, très longues et dans diverses positions.

    À plat ventre évidemment mais également penché sur un fauteuil ou debout au piquet.

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  4. Merci pour votre témoignage qui confirme également mon idée que les traces ne sont pas la priorité de tout le monde. Vive la diversité.

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  5. Bonjour Isabelle,

    Je n’ai pas depuis la fin de mon adolescence de véritable amie avec qui je pourrais oser parler franchement de ma vie de couple. Même avec ma mère ou ma sœur, cela me paraît impossible, bien que sans doute, elles ont pu en deviner quelques bribes, et se rendre compte que je considère mon mari comme plus que mon patron au boulot, mais aussi comme mon « seigneur et maitre » dans ma vie de femme. Vont elles jusqu’à avoir deviné que cela va jusqu’à une « discipline conjugale » pouvant faire parfois rougir mes fesses ? Je ne le crois pas, en tout cas il n‘y a jamais eu de leur part de réelles allusions, seulement des plaisanteries ….

    Bien que certaines femmes que je fréquente maintenant se laissent aller, tout comme pour vous, à me faire parfois des confidences, elles ne concernent jamais leur vie véritablement intime, et surtout, je ne me vois pas leur en faire. Cela me manque assez de ne pas pouvoir, de temps en temps, me confier sans réserve à une amie à qui je pourrais oser tout dire : c’est sans doute pour cela que j’ai plaisir à « squatter » votre site ….

    Un mot à propos de la photo qui illustre votre paysage de vacances : elle m’a moins inspirée que celle évoquée précédemment pour le « défi ». La raison, je pense, en sont ces lingeries rouges. Mon mari n’est pas du tout un adepte des dessous affriolants (ni moi !), et préfère le classique pour ma vêture. J’ai plus réagi devant celle intitulée « punition utile », en dépit d’un élément superfétatoire (vous savez certainement lequel …).

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  6. Isabelle,

    Je ne suis pas la secrétaire particulière de mon mari de façon occasionnelle, mais bel et bien à plein temps, tous les jours ouvrables et même ouvrés. Mon titre exact est « assistante de direction », et d’être devenue son épouse légale n’a pas modifié mes fonctions et responsabilités.

    Je l’y vouvoie et l’y appelle toujours « Monsieur », faisant suivre généralement cette civilité (comme on dit), par son nom de famille pour les tiers, ou par son prénom envers le personnel de l’entreprise. C’est peut être pour cela que même en dehors du travail, il m’arrive souvent d’appeler mon mari « Monsieur » : cela ne me gêne pas, c’est un peu lui montrer que je le respecte et que je reconnais son autorité pour me conduire.

    Au bureau, nous ne batifolons pas, le lieu ne s’y prête vraiment pas, bien que dans les tous premiers temps de notre liaison, mon dos a parfois connu la dureté de sa table de réunion ! Le seul moment intime est lorsque vers 16h00, je viens avec le parapheur pour la signature du courrier, et que, debout à son côté, sa main gauche remonte le long de mes jambes et vient caresser mes fesses nues. Je fonds littéralement à ce moment là, je sens tellement par ce geste que je lui appartiens, et je n’ai qu’une envie, c’est de m’ouvrir pour lui. Mais gare si l‘un de mes textes présente une faute inadmissible : la main si douce peut alors pincer l’un de mes globes jusqu’à laisser une marque qui ne s’effacera qu’un bon moment après ….

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  7. Chère Christine

    Il y a des personnes qui confondent les confidences sur leur vie intime avec des histoires de fesses. Et il est assez facile d'en trouver, car il me semble qu'elles se délectent de mettre des « crudités » sur la table. Par contre apprendre quelque chose sur l'intimité de la vie d'une personne est fort rare. Il en va donc de soi que j'apprécie beaucoup vos contributions. Déjà par la qualité de votre écriture, par les mots que j’apprends en vous lisant et également pour certaines tournures de phrases. Je pense que vous avez parfaitement saisie les possibilités d'un blog, permettant de parler des choses que l'on ne pourrait peut-être même pas confier a sa meilleure amie. Squattez donc mon blog à votre guise. Vos contributions restent toujours proche du sujet et permettent des points de vue parfois bien différents des miennes. Ce qui donne un intéressant relief à mes textes en montrant que la discipline conjugale reste toujours une constructions personnelle d'un couple et ne se laisse pas enfermer dans une recette à suivre ou une liste de règles à appliquer.

    Quand je commente une photo, il y a toujours un élément qui capte en particulier mon attention. J'ai très peu de sous-vêtements rouges par exemple et je préfère le noir, parfois le blanc. Je ne porte pas de tour du coup comme autre exemple. Et quand je vois le porte-jarretelles de la dame, je vois de suite son inutilité, donc son côté purement affriolant et pas du tout fonctionnel. Je me suis retrouvée par le fait d'étendre ma lingerie au bon air de la montagne. Par contre je vous trouve une jolie attirance pour le ménage. Peut-être imposé à l'état paradisiaque par votre mari, mais il semble ressortir dans vos écrits d'autres émotions qu'un simple consentement. Pour ma part je trouve flatteur de vivre avec un homme qui prend plaisir de regarder sa dame évoluer dévêtue à la maison. Moins dans un sens d'exhibitionnisme mais par une revalorisation narcissique.

    J'aime beaucoup découvrir votre façon de travailler avec votre mari. Une fois de plus un joli aperçu sur une vie intime sans dépasser les limites du bon goût. Effectivement nos positions sont différentes. Moi je joue à la secrétaire/documentaliste. Et je me réjouie de la possibilité de réinventer une secrétaire qui comble les rêveries de mon homme. Mais comme je dis dans mon post, je fournie un travail réel sans compter les heures. C'est dans un but de distraction pour mes lecteurs que je mets en avant l'aspect folklorique qui occupe seulement une infime partie de ma journée de secrétaire...

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    1. Merci Isabelle pour votre réponse,

      En ce qui me concerne, je n’ai aucune pièce de lingerie rouge ! La majorité de mes soutien-gorge sont couleur chair ou quelque chose d’approchant, ou sinon blancs. Quant à mes jupons, ils sont plutôt blancs, ou sinon « champagne. J’ai un seul ensemble en noir, car j’en ai peu l’usage. Comme j’ai une petite poitrine (85 B), j’ai aussi trois soutien-gorge dits « remonte seins », un blanc, un chair et un noir, pour mes robes et corsages décolletés, et que je mets généralement en bandeau

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