dimanche 18 août 2013

386 Piqué par la petite bête


Oh les vilains fantasmes !

Il y a des personnes qui considèrent leur monde fantasmatique comme leurs petits ou grands démons. Notamment pendant l'adolescence qui structure nos pulsions et désirs, en érigeant en haut de la pyramide la génitalité. Alors nos fantasmes précédents subissent d'importantes modifications. Et subitement, un innocent penchant pour la discipline stricte, nécessite quelques apaisement supplémentaires de nature particulière selon la personne. Ces changements, imposées par la nature, malgré nous, malgré notre volonté peuvent causer un réel malaise et des difficultés d'adaptation. Au point de vouloir être débarrassé une fois pour de bon de ces petits univers d'un autre âgé. On trouve peu de matériel sur le net qui parle des différentes étapes comment un fantasme s’accommode.

Je donne un petit exemple pour mieux comprendre ce que j'entends par là. Mon homme très jeune se berçait littéralement le soir avec des rêveries de dames sévères. Commerçantes de son entourage, voisines etc qui s’occupaient de ses bonnes manières. Sur ce s'ajouta à la puberté quelques aménagements concernant les tenues des dames. Il affectionnait et affectionne encore les jupes droites noires, longueur mi-cuisse, les chemisiers blanc très moulants, puis des bas assortis de hauts talons, qui se dévoilent quand la dame se penche un peu trop en avant. Seulement au fil du temps, ses rêveries devenaient de plus en plus audacieuses et un jour, une de ces éducatrices pour jeunes hommes, fut déculottée et reçut pour sa part une mémorable correction. Et depuis mon homme se consacre à la noble tache d'éduquer des dames en manque de main ferme. Avec une spécialisation et exclusivité depuis 15 ans dans « l'isabelle ». Pour lui faire plaisir, il m'arrive souvent de m'habiller selon son mode de tenue fétiche, car ce classicisme me convient à la merveille. Voila qui me donne une allure quelque peu austère et stricte et quand j'achetais un martinet dans le temps, on ne se doutais pas qu'il était destiné à un emploi sur mon auguste postérieur.

Il est clair que certains fantasmes ne sont pas aussi adaptables à la réalité et peuvent même se révéler nocifs pour autrui. Pour ma part je ne suis pas du tout adepte d’une philosophie qui prône l’idée de « goûter à tout ». Je suis méfiante envers les personnes qui tentent de pousser à la consommation sous prétexte d’être libérées. Le mot « libéré » contient pour moi une autre signification :

Prendre ses décisions sans tomber sous l’influence de qui que ce soit. Décider soi-même de ce que l’on a envie de faire ou pas. Sans tenir compte d’éventuelles modes ou beaux parleurs.

Par exemple, je suis une adepte de longue date de l’épilation intégrale. Je la pratiquais déjà quand il fallait très bien connaître une esthéticienne pour accéder à ce genre de soin. Puis la mode est arrivée et on peut se faire épiler intégralement de nos jours à chaque coin de rue. Avec la tendance tout de même qui tangue vers un tout petit rectangle de poils bien entretenus. Je ne prétexte pas un éventuel esthétisme, ni des arguments d’hygiène pour justifier mon faible. Chez moi c’est purement irrationnel et je le mets sur le compte de mes « envies » et celles de mon homme. Envies entre guillemets, car les envies prennent source dans l'oralité et se satisfont le mieux dans leur construction primaire par la ... bouche.

En ce qui concerne la fessée entre adultes consentants, malgré une publicité massive dans la presse féminine et le succès phénoménal d'un livre dont je ne nomme plus, je ne pense pas que cette pratique correspondra un jour aux goûts d’une large majorité. Et loin de moi de vouloir faire de la pub pour cette pratique. Je me contente de décrire mes propres émotions et réflexions parce que c’est mon truc, ma petite bête à moi qui m'a piquée très tôt dans l'enfance. Je pense qu’il existe beaucoup de personnes curieuses qui aimeraient savoir plus sur des telles lubies sans pour autant éprouver le désir de les tenter par eux-mêmes. Et plus particulièrement en ce qui concerne la discipline domestique. Curieuses de savoir qu’il existe d’autres personnes qui ne voient pas uniquement dans les châtiments pan-pan cucul un passe-temps récréatif, mais un goût prononcé pour la discipline d’antan.

J’essaye d’en parler avec de l’humour, du recul et… de la passion aussi. En évitant toute vulgarité et les mots crus pour donner un aperçu réaliste de cette pratique. Un univers intimiste qui met l’accent sur la relation humaine qui passe avant l’apaisement des sens. « Parler fessée sans (trop) parler cul »… sans oublier l’impact culturel de cette pratique au fil des siècles.

Un peu trop sage la petite isabelle ?

Pas faux, mais peut-être s’agit-il de l’effet de la discipline stricte…

12 commentaires:

  1. Je suis tout à fait de cet avis: être libre, ce n'est pas tout essayer sous prétexte qu'il faudrait le faire. Quand je n'étais pas encore spécialisée dans la discipline de Simon, il fallait parfois que je pose clairement mes limites. Par exemple, je me souviens d'un puni qui était davantage versé dans la soumission et qui aurait aimé que je lui urine dessus. Bon, eh ben ça, c'est totalement hors de mes limites. Il a bien tenté un "comment tu peux savoir que tu n'aimes pas si tu n'as pas essayé", mais si cet argument peut marcher avec un enfant qui refuse de manger, il ne marchera certainement pas avec une fesseuse, si gentille puisse-t-elle paraître.

    Constance

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    1. Quand j'étais jeune et que je ne connaissais pas encore ma compagne, j'ai eu plusieurs relations où, en ce qui concernait la sexualité, j'étais mal à l'aise en raison de la difficulté à avouer mes fantasmes de fessée etc. (par contre je n'ai jamais eu le fantasme de me faire faire pipi dessus). Je compatis donc avec votre puni.

      D'où ma question: si j'ai bien compris, à l'époque vous fessiez des hommes (ou aussi des femmes, peut-être) rencontrés sur des forums. Comment les choisissiez vous et régliez-vous les éventuels problèmes d'incompatibilités de désirs? Cela ne vous posait-il pas de difficulté de voir des gens que vous ne connaissiez pas, dont vous ne sachiez pas ce qu'ils allaient vouloir exactement? Ou peut-être alterniez-vous entre un petit nombre de personnes que vous connaissiez?

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    2. @Pecan: d'abord, j'ai eu la chance de ne jamais avoir eu besoin de poster d'annonces. Etre inscrite sur un forum consacré à la fessée y suffisait. Rapidement, alors que je ne m'y attendais pas, j'ai eu des messages privés d'hommes qui voulaient recevoir une fessée. J'ai appris sur le tas à poser les règles du jeu, à discuter par mail, et surtout, à ne pas me précipiter. La preuve, j'ai mis plus d'un an à rencontrer Simon en vrai!
      Bien sûr que si, cela m'a posé des difficultés. Je savais dans les grandes lignes ce dont ils avaient envie et ce que moi j'avais envie de donner. Mais dans l'absolu, je ne savais pas qui se cachait derrière ces pseudos! J'avais peur, évidemment, et j'ai souvent tout annulé en dernière minute, par trouille. Par chance, il ne m'est rien arrivé. Enfin si, j'ai rencontré Simon, mais ça, c'est plutôt du registre de l'énorme coup de bol!

      Constance

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  2. Sans être fesseuse, ce genre d'argumentation ne marchera pas non plus avec moi. Dans le principe je n'ai rien contre une telle pratique, mais ce n'est pas du tout mon truc et je n'aime pas me forcer pour faire plaisir. Si j'ai appris une chose dans mon enfance c'est de dire non sans le moindre regret et je ne reviens pas sur ma décision. Par contre une menace de punition parce que je n'aime pas goûter certains plats (sans tomber dans l'extravagance), là on rentre dans un registre complexe, mais susceptible de me plaire comme j'ai pu apprendre...

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  3. De plus, outre qu'il est primordiale de se réserver le droit de choisir ce que l'on est tenter d'essayer ou non, et de ne pas avoir a subir une sorte de dictat de la libération qui obligerait à tout essayer, c'est aussi le meilleurs moyen de se dégoûter de ses fantasmes à soi en y associer un essais catastrophique d'une pratique voisine qui ne vous attirait pas d'elle même.

    C'est aussi un vieux et très efficace fantasme que celui de la dame autoritaire qui finalement voit son fessier en prendre pour son grade malgré toute sa sévérité. La chute du pied d'estale d'un personnage autoritaire ou d'apparence autoritaire obligé de s’abaisser à recevoir une punition aussi humiliante et infantilisante qu'une fessée, rend la correction encore plus savoureuse. Surtout si elle est obligée d'aller acheter le martinet destiné à son grand glutéal en tenu d'apparat.

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    1. Merci James pour la confirmation sur le fantasme de la dame sévère qui reçoit une punition dans l'imaginaire des certains hommes. La chute d'une personne confinée à un rôle, suivi par un renversement de la situation (comprendre recevoir une fessée) me semble également un grand classique de l'imaginaire féminin. Que ce soit sous forme déguisée (souffrir pour le prince charmant) ou d'être déchue de son statue de femme adulte et être traitée comme une ado d'un autre âge. Enfin selon moi, ces fantasmes vivent plus de la charge honteuse que d'une punition physiquement douloureuse.

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  4. Bonjour Isabelle,

    Durant de nombreuses années, j’ai répété la procédure de celui qui n’était pas encore mon mari pour éliminer avec douceur mais efficacité ma toison pubienne, afin d’être plus que nue puisque c’est ainsi qu’il me veut. C’était devenu tous les samedis matins un acte incontournable avant de prendre ma douche, une garantie que je sois impeccable tout le week-end, et suffisamment « présentable » ( !) jusqu’au week-end suivant.

    Il y a 5 ans, et ce fut son cadeau d’anniversaire, « Monsieur » m’a offert une épilation dite définitive pour mes aisselles et évidemment pour ce que les instituts appellent si drôlement le maillot. Disons le, ce fut une longue épreuve, pas de douleur quoique ce ne soit pas spécialement plaisant, mais surtout de patience : une contrainte durant tout un hiver, et encore un peu l’hiver suivant. Une période où j’ai découvert le feu du rasoir, la nécessité de l’utiliser tous les 2 ou 3 jours, et une repousse « piquante » avant les séances de laser ! J’attendais celles-ci avec impatience, d’autant plus que j’avais confiance dans l’assistante du dermato, et que ce dernier, quoique d’un abord revêche, était attentif au respect des règles.

    Je suis très contente du résultat obtenu. Je n’ai plus cette contrainte hebdomadaire. Les quelques poils follets le long de mon sillon fessier et surtout sur le bord des lèvres, que j’avais des difficultés à traiter, semblent avoir définitivement disparus. Sur mon pubis (sans ticket de métro évidemment), il y a de temps en temps un poil récalcitrant que je veille à faire disparaître avant que mon mari ne le découvre et se fasse un malin plaisir de l’arracher pour m’entendre dire « ouille ». C’est pourquoi je prévois une séance de « rattrapage » au laser cet hiver.

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  5. Moi aussi, j'ai eu comme cadeau une épilation définitive. Et mon expérience rejoint bien la votre. J'aime l'aspect cadeaux qui fait plaisir aux deux partenaires. Avant avec la cire il fallait toujours passer par un pénible moment de repousse. Moment dans lequel se ne me sentais pas bien à l'aise, car aime beaucoup l'aspect impeccable. Mal à l'aise aussi de me montrer ainsi devant mon homme. Lui qui est au niveau de sa barbe toujours impeccablement rasé depuis que je le connais.

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    1. Bonjour Isabelle,

      Deux phrases mises en exergue dans ce post m’incitent à y revenir pour y faire un commentaire très personnel, ces phrases les voici :
      Prendre ses décisions sans tomber sous l’influence de qui que ce soit. Décider soi-même de ce que l’on a envie de faire ou pas.

      Certes, vous les avez écrites dans un certain contexte., les commentaires de « Constance et Simon » en sont la preuve. Mais néanmoins, elles « m’interpellent », pour utiliser un vocabulaire actuel. Ce que je veux dire, c’est que je ne suis absolument pas une fille soumise (et encore moins dans le sens qu’on prêtait à cette formulation il y a un siècle !!!).

      Ce que je suis et veux être, c’est être une femme soumise à UN homme, à celui à qui elle s’est donnée un jour (une nuit plutôt !) corps et âme, parce qu‘évidemment elle l’aime, mais aussi parce qu‘elle le respecte, et qu’elle reconnaît en lui son autorité et son aptitude à la conduire et la diriger dans la vie, qu’à cette fin elle est fière de lui en avoir remis tous les pouvoirs.

      Le destin, le hasard peut être, auraient pu faire que j’épouse l’un ou l’autre des deux garçons avec qui j’ai flirté (pas en même temps bien sûr !) pendant mes deux années d’étudiante. Ils me l’ont proposé l’un comme l’autre ! Je n’ai pas accepté, de même que je ne me suis pas laissée faire plus de privautés que dénuder et jouer avec mes seins, alors qu’ils en auraient voulu bien plus. Ils ne m’ont pas comprise, se laissant aller jusqu’à dire à d’autres que j’étais trop fière et frigide ….

      Tout ceci est fondé sur la totale confiance que j’ai en mon époux, à la joie que j’ai d’être toute à lui, de vraiment lui appartenir, avec sa présence constante de maintes façons. Si le destin faisait qu’un jour, ce qu’à Dieu ne plaise, il n’en serait plus ainsi, je sais qu’en ce cas, il me serait possible d’être une femme libre et responsable, je n’ai pas dit heureuse.

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  6. Merci Christine pour votre commentaire très personnel. Voila, c'est exactement ce que je cherche. Pour ma part je vous ai dit à plusieurs reprises de ne pas vous considérer comme une femme soumise dans un sens social. Déjà par le fait que vous vous exprimez librement sur le sujet de la discipline conjugale. Ce qui extrêmement rare et demande beaucoup de courage, malgré l'anonymat d'un blog. Et il me semble que votre première qualité concerne d'être l'épouse d'un homme que vous aimez et non pas être une soumise d'un maître. Puis certaines soumises parlent du style « avec autorisation de « , « sur demande de » etc.
    Il y a une primauté du couple sur la soumission.

    Vous ne cherchez pas réaliser un fantasme de soumission avec un partenaire de fortune ou de rencontre expressément pour, vous donnez réalité à vos désirs à l’intérieur d'un couple. Et là nous sommes bien précisément au cœur du sujet de mon blog. Créer ce qui relève souvent du domaine de l'infaisable pour beaucoup de personnes et d'où leurs démarches de rencontre hors couple.

    Toutefois on peut considérer certains éléments de votre vie intime avec votre mari comme émanations d'une certaine soumission sur un mode « par amour pour » . Je ne saurais dire personnellement si cela relève de la « vraie » soumission. Pour vous donner une idée ce que ce mot implique parfois sur le net, voici un lien :

    http://www.infortunes.net/check_up_pour_soumise.htm

    J'ai beaucoup de mal à vous imaginer dans un tel registre glauque. Enfin peut-être devrions nous d'abord faire un peu plus le tour du sujet pour mieux cerner nos différences et points en commun.

    Toutefois sur le fait que vous vous considériez comme soumise envers votre mari relève de votre vie privée. Elle ne regarde que vous et à vous seule de décider comment la mener. Cela aussi fait pour moi partie de la liberté d'une femme moderne. Pour moi ce qui compte c'est votre libre choix de vous comporter de telle ou telle autre manière à avec votre mari.

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    1. Isabelle bonjour,

      J’ai lu attentivement cette check list ! Je suis étonnée par votre capacité à dégotter des sites incroyables … J’ai cherché à l’imprimer pour la « pointer » ligne par ligne, mais 17 pages pour un truc qui me parait en grande partie, comment dire ? débile, irréel, fantasmagorique, cela me paraît du gaspillage.

      Certes, un certain nombre d’ « activités » citées sont pratiquées dans notre couple, et je pense par bien d’autres sans qu’il soit même question de « soumission » pour eux. Mais pour nombre d’autres, le qualificatif de glauque me paraît très approprié, et pour certaines (telles celles vers la fin), le terme de dégueulasse me semble encore mieux convenir !

      Ce que j’entends par être soumise à mon mari, c’est être guidée par lui dans ma vie de femme, le respecter, lui obéir, penser qu’il peut très bien le faire, et que moi, je peux suivre ce qu’il me dit sans avoir à m’interroger parce que je peux lui faire totalement confiance, que je sais qu’il ne veut que mon bien, mon épanouissement, ma plénitude. En fait, c’est reposant que de s’en remettre à quelqu’un qui vous guide en permanence, et même si cela peut en surprendre certains, cela me rend beaucoup plus forte à l’égard du monde extérieur parce que je sens en permanence son appui, son soutien.

      Ce mot de soumise (ou de domination) me semble souvent mal compris car confondu avec le BDSM : pour moi, cela n’a rien à voir. Ma soumission n’est pas un jeu pratiqué plus ou moins épisodiquement, ou avec tel ou tel partenaire, c’est un acte permanent avec celui qui est mon époux et que j’aime. De plus, il n’est pas sadique et moi, pas masochiste.

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  7. Bonjour Christine

    j'ai une passion pour la documentation. Je comprend votre réaction devant cette liste qui est en fait un long catalogue de fantasmes... étonnants. Il en va de soi par exemple que l'érotisation du dégoût puisse provoquer chez autrui tout simplement le dégoût. C'est une réaction dirais-je sans préméditation et exempte de jugement. Enfin mon but était de vous montre ce que certaines personnes comprennent par la soumission de la dame et à quel point l'emploi d'un terme sur le net peut prêter à confusion. Et au niveau des fantasmes pour éviter de froisser par ma pure subjectivité j'aime bien distinguer entre châteaux sombres et maisons lumineuses

    La deuxième partie de votre réponse met votre approche bien au clair. Et encore, une fois de plus, j'ai un certain mal pour vous considérer comme soumise. Quand les messieurs suivent un leader, comme cela se fait en politique par exemple et dans tant d'autres domaines de la vie sociale, personne ne parle de soumission. Mais dès qu'une femme se sent en confiance avec son mari et estime qu'il s’occupe à la merveille de son épanouissement et suit ainsi ses décisions, on la qualifiée souvent de soumise. Je suis passée par une longue réflexion sur ma propre soumission. Et j'en ai déduit en fin de compte, que c'est plus le plaisir de se considérer comme soumise et notamment l’excitation charnelle y liée de certaines dames qui fait la soumise que les circonstances objectives de la vie de couple. Enfin j'attribue beaucoup d'importance pour cerner les sens juste de chaque mot. Peut-être parce que le français n'est pas ma langue maternelle.

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