vendredi 22 juillet 2016

911 Liens de discipline domestique (229 ème édition)

Au menu cette semaine : Honni soit qui mal y pense


C'est une fantaisie que j'ai rencontré chez mon chéri (nul n'est parfait) et aussi chez d'autres hommes de son âge. Ils étaient enfant à une époque où bien de mamans restaient encore au foyer pour s’occuper de leur famille. Ces dames ne se doutaient peut-être pas à quel point la curiosité sexuelle soit présente chez un enfant et à quel point certaines actions peuvent inspirer la fantaisie des petits. Certes je ne connais aucun homme qui enfant a eu explicitement le désir de baisser la culotte de sa maman en faisant le ménage. Mais l'idée a dû préexister quelque part. Vers l'adolescence elle fit sa sortie en grandes pompes se portant vers les dames de leur cœur.

Voila qui surprend quand en faisant « mon quota » de ménage surgit subitement mon chéri derrière moi pour me baisser la culotte ou défaire le nœud de mon tablier.

Heureusement pour moi le ménage n'a pas une connotation péjorative ou pire encore dégradante. Et loin de moi de chercher du sexisme quand visiblement mon fessier en gigotant donne des envies à mon homme. Il me semble naturel chez certains hommes de se trouver émoustillés en voyant une dame qui - pour une raison ou une autre - se trouve à quatre pattes et bouge ses fesses. Car en gros on peut résumer la situation ainsi. Je pense que la réaction du monsieur se trouve... dans ses gênes. Rien de mal... quand il y a consentement. Par contre dans toute autre constellation nous sommes dans l'inadmissible.

On peut aussi être fantasmatiquement convaincu (= excité sexuellement par la représentation) que la place d'une dame se trouve littéralement aux pieds d'un homme. C'est une constellation qui revient dans bien de scénarios de la D/s, mais aussi de la DD. Notons qu'autant certains homme que dames y trouvent leur compte. Moi je m'y retrouve par exemple dans la variante prodiguer une sucette. Toutefois cela reste dans un registre bien mignon.

Cela n'a rien à voir avec le fait de penser sérieusement que la place d'une dame soit au foyer, à quatre pattes etc.

Faisons la part des choses et méfions nous de ceux qui veulent introduire le politiquement correct dans le moindre recoin de notre intimité...

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… je profite de l'été pour pour porter mes petites robes et jupes fines. Y compris quand je fais du vélo. Y compris quand il n'y a personne.

Surtout quand il n'y a personne.

Je ne tiens pas à me trouver des admirateurs, moi qui je suis une mordue de la sensation de la légère brise qui se glisse sous les tissus et les soulève. J'aime les vacances dans un cadre simple et l’arrière pays me convient parfaitement. Manger de bon produits achetés directement à la ferme où je me rends en vélo avec mon panier en osier. Bref c'est idyllique. Personne ne se doute que la petite dame installée sous un arbre pour préparer un pique-nique improvisé pour les siens s'adonne aux lectures coquines pour satisfaire sa curiosité sexuelle. Je découvre en rigolant de bon cœur comment chasser une parfaite soumise. J'aime lire le son de cloche de la part des filles. Il y a un pragmatisme et une sens de détail qui échappe souvent aux messieurs comme ces risques inattendus dans les hôtels. J'apprends également que pour les amateurs du « Ciel vous n’êtes pas mon mari ! » (avec petit clip) il existe désormais un endroit pour stimuler l'imagination. Pour nous, pour un extra en couple c'est un peu trop long le voyage. Enfin, pour finir, je me suis toujours posée la question comment est perçu un « certain vocabulaire » par une dame étant... « l'objet du Maître au service de sa perversité ».

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

La fessée du chef (petite série)










Quel dynamisme (petit clip)










10 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Votre récit, je l'aurais bien imaginé dans le tiroir "Sous les jupes des filles".
    "Pour un jeu de dupes,/ Voir sous les jupes/Des filles.."
    Alain Souchon (Foule Sentimentale).
    Toujours appropriées les illustrations ! Merci.
    Vous avez raison : pour "On dirait Léon", il s'agit bien de l'acteur Antoine Fontaine (qu'est-il devenu après ce film ?) dans le mythique (et unique ?) film sur la fessée "Made in France".
    Bravo, Isabelle, vous connaissez vos classiques !!!
    Quant à la tentation de regarder sous la robe ou la jupe longue de Maman, Tantine ou Nounou, quant on est un ado, c'est "mission Casse-cou". Je ne vous raconte pas la fessée déculottée "illico presto" reçue de ces vertueuses mamans. De quoi ne plus pouvoir s'asseoir pendant quelques jours !!! Dignité maternelle oblige !!!!
    Victime de notre curiosité ? Hélas, oui !
    Mac-Miche.

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  2. Je ne voyais pas un ado regarder sous la jupe de Maman, Tante etc cher Monsieur Mac-Miche. Rire! Cela reste réservé aux tous petits.L'ado devrait avoir dépassé l'âge et se tourner vers les jupes des filles de son âge, non?

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  3. Bonjour Isabelle,

    C'est juste. Tiens, je ne me souviens pas d'avoir regardé sous la jupe de ma maman quant j'étais petit.
    A l'époque (1968-1972), ma mère portait des pantalons et de plus mon audace m'aurait valu une belle fessée. Rires.
    A l'adolescence, la nature commande... et c'est la grande aventure avec les filles de son âge.
    Personnellement, j'étais mal à l'aise avec les filles. Surtout avec mon physique qui ne risquait de les impressionner. C'est quant même un atout, le physique. Alors imaginez un peu le tableau... J'enviais mes camarades de leur assurance. Mais c'était avant.
    Mac-Miche.

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  4. Rassurez-vous, de mon point de vue de fille je veux pour dire que quasiment tous les garçons manquent de l'assurance à l'adolescence. Il faut vraiment attendre une grosse boum, x slows et de la lumière très tamisée pour une main qui remonte la jambe de la fille..

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    1. Bonsoir Isabelle,

      Les filles sont-elles plus "audacieuses" et moins accrochées aux préjugés que les garçons ?
      J'aurais du étudier le film "la Boum" avec intérêt.
      D'autant que Sophie Marceau avait le même âge que moi. Rires. Ah le slow "l'été indien" ! Incontournable.
      Mac-Miche.

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    2. En adaptant librement une citation de Thierry Lhermite: Tout dépend des filles. Ceci dit ne vous basez pas trop sur Sophie Marceau. Toutes les filles ne font pas autant de touches qu'elle...

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  5. Bonjour Isabelle,
    Etant la dame mentionnée dans votre dernier paragraphe à propos d'un "certain vocabulaire", j'aimerais bien vous répondre mais je ne suis pas sûre d'avoir compris bien compris votre interrogation... :)
    Vivienne.

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  6. Bonsoir Vivienne, en fait personnellement je prendrais très mal qu'un monsieur me traite de chienne. Alors je me pose souvent la question comment c'est perçu par d'autres dames. C'est un sujet quasiment introuvable sur le net et j'ai beaucoup aimé votre façon d'aborder le sujet.

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  7. Ah ! Je comprends mieux alors.
    Merci pour le compliment pour commencer.
    Concernant ce "certain vocabulaire" donc, je comprends très bien que certaines personnes ne l'accepteraient pas une seule seconde. Il est entendu qu'il s'agit d'un jeu, partagé avec une personne que l'on a choisi, une personne de confiance, une personne aimante et aimée, en ce qui me concerne.
    Il est aussi évident pour moi que je n'accepterais jamais ce genre de mots de la part de quiconque avec qui il n'ait pas au préalable un accord "tacite", induit par la relation que nous entretenons, et que le premier venu qui s'y essayerait se prendrait une mandale bien sentie ! :)
    Quant à ma perception personnelle... il s'agit du jeu de domination/soumission, d'humiliation, évidemment, je n'ai pas toutes les clefs, je n'ai pas encore décelé tout l'imbroglio de liens de cause à effet qui me procure cette excitation cuisante, mais pourtant force est de constater que oui, j'aime ça, mais certainement pas de la part n'importe qui ! :) Mais j'imagine que l'abandon à l'autre n'y est pas pour rien.
    Au plaisir !

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  8. Merci de partager vos idées personnelles, Vivienne ! Je commence à voir plus clair dans cette histoire de vocabulaire. Je pense qu'au fond il n'est pas dans mon désir de m'abandonner à la personne que j'aime. J'adore me laisser aller, glisser dans l'univers des sensations, ce qui ne me semble pas la même chose de ce que vous décrivez. Enfin vous m'avez mise sur une piste intéressante. Ceci dit ce qui me semble important c'est que vous trouvez votre compte dans l'agir de la personne que vous aimez. Il n'est pas dans mes propos de critiquer qui que ce soit, je suis seulement très curieuse et j'ai la fâcheuse habitude de poser parfois des questions indiscrètes.

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