Au
menu cette semaine: Pimenter le quotidien !
Ici ?
Ben oui !
Surprise, je suis très surprise, car
cela ne correspond pas aux habitudes de mon chéri. Je regarde autour
de moi. Non pas par pudeur pour savoir à quoi je risque de
m'exposer, mais par un vieux réflexe acquis pendant mon adolescence.
Bien de garçons qui demandent un truc pas possible à la fille le
font pour impressionner leurs copains. C'est en quelque sorte de
tomber dans un piège, style...
...z'allez
voir, elle va me donner sa culotte.
Personnes! Nous sommes seuls dans un
coin discret d'un joli restaurant.
Bien évidement monsieur m'a laissé
par galanterie la place avec vue sur la salle. Se manifeste alors mon
éducation des années 70. Il ne convient pas à une femme moderne de
faire quelque chose pour faire plaisir à son partenaire. Non, il
faut qu'elle se fasse plaisir à elle. Égoïsme culturel oblige. Je
m'en tape un peu. J'aime beaucoup faire plaisir aux personnes que
j'aime. Et j'aime encore plus procurer plaisir dans un sens sexuel à
mon homme. Pour moi c'est la base du couple. Mon compagnon me regarde
comme un garçon qui attend l'arrivé du père noël.
Quelle
idée de me demander ma culotte !
Personnellement il ne me viendrait pas
à l'esprit de demander le caleçon de mon homme. Même pas à la
maison. Déjà ce n'est pas facile pour un homme de l'enlever. Et
aussitôt je divague sur les avantages d'être une femme. De disposer
d'une infinitude de belles choses pour pouvoir accéder facilement au
moindre recoin de mon corps. Peut-être parce que la plupart des
grand couturiers sont des hommes. C'est eux qui façonnent l'image
qu'aura pour l'homme l'objet de son désir. Non l'idée que l'on me
façonne en objet de désir ne me dérange pas... en couple. Au
contraire, je suis bien contente du merveilleux choix que l'on met à
ma disposition.
Et puis arrive cette demande de mon
homme. Il veux me savoir nature sous ma robe. Ce qu'il excite n'est
pas ce que j'ajoute, mais ce que j'enlève. Mes mains remontent mes
jambes, je trousse doucement ma robe, mes pousses se glissent dans
l'élastique de ma culotte et je me trémousse pour la descendre. Je
fais attention à mes hauts talons, puis je passe la culotte
discrètement sous la table à celui qui l'attend.
Tiens
mon chéri !
Petit geste, grand effet. Un
merveilleux repas en tête à tête. A croire qu'il est plus facile
d’envoûter mon homme sans culotte sous ma robe...
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Monsieur s’éclate sur 4 fessiers (petit clip)
Discipline domestique
(petite série)
Entre copines (deux
images)
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerVotre récit m'a bien fait rire. Notamment lorsque vous évoquez la difficulté pour un homme d'offrir ses sous-vêtement à la dame de ses pensées en plein tête-à-tête au restaurant. Un défi ?
Difficile ? Naturellement ! Excepté si votre galant chevalier est vêtu en "gentleman des Highlands" et en tenue d'apparat. En portant le kilt , la chose s'en trouve facilitée. Of course. A méditer .
Mac-Miche.
Les messieurs ne portent rien sous leur kilt, d'où la curiosité des dames. Enfin, j'adore les paysages des highlands, mais je trouve qu'il fait trop froid en Ecosse.
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerAh oui ! Quel dilemme ! Mais ça entretient le suspense.
Et en terme de curiosité, on dit souvent que les dames raffolent des petits secrets intimes. Non ? Rires.
Question de climat, c'est vrai qu'en été, l'Ecosse, le paradis du golf (ST-Andrews)et du pur malt...il y fait très frais. Mais c'est un beau pays. Francophile depuis le Moyen-Age. Il me rappelle ma Bretagne natale avec son relief et ses traditions celtiques. Mon Papa travaillait au port autonome de Nantes-St-Nazaire jusqu'à mes 18 ans. Et d'ailleurs, il ne pleut pas plus en Bretagne qu'ailleurs. Mauvaise pub ! C'est vrai que le vent y est plus fréquent et plus fort.
Je me souviens qu'en j'étais gamin (années 1970) avoir vu des bateaux de plaisance couchés en travers de la route du bord de mer après une tempête. Quelle pagaille !!
En tout cas, reposez-vous et revenez nous fraiche et pleine d'énergie.
Mac-Miche.
De quoi voulez-vous que je me repose cher, Monsieur Mac-Miche. J'ai toute l'année une vie reposante. Je n'ai qu'un seul enfant (qui est ma passion!) et maintenant que j'ai compris le système scolaire français, nous sommes rentrés dans un train-train de vie de plus cool. Mais disons que c'est pendant les vacances que je suis en activité maximale.
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