vendredi 8 juillet 2016

905 Liens de discipline domestique (227 ème édition)

Au menu cette semaine : Fâcheux contretemps


Bien que mon homme prenne très au sérieux la discipline domestique (et moi aussi par la même occasion!), il serait erroné de croire qu'il me cherche la petite bête. Avec lui pas de prétexte tiré par les cheveux pour me claquer les fesses de « manière gratuite » pour son, pour mon, pour notre plaisir. Il sait parfaitement distinguer entre les deux registres.

Dienst ist Dienst und Schnaps ist Schnaps !

(Le travail est une chose, le plaisir en est une autre)

Par travail il entend bien évidement le travail éducatif. Voila qui me permet de vivre notre discipline domestique en toute sérénité. Je connais très bien les règles, dans leur majeure partie établies par moi-même d'ailleurs. Et quand il me met devant un :

Il fallait y penser avant...

… je ne puis qu'approuver ce qui m'arrive. Notamment s'il lui arrivait de se dégonfler dans son intention de me punir, je serai contente sur le coup, mais terriblement agacée un peu plus tard. Le traitant de tous les noms ou du moins en lui faisant sentir mon mépris pour sa lâcheté. L'avantage de la DD en couple, c'est de connaître sur le bout des ongles son partenaire. Il sait bien ce que j’attends de lui et il sait aussi malgré mes tentatives de me soustraire à ma punition (bien méritée, si, si!), que je compte au fond sur son autorité. Au fil des années il sait se montrer intraitable.

Il y a peu de temps j'ai été infernale à cause d'un rendez-vous que je n'avais pas vraiment envie de honorer. Trop lâche (décidément ce qualificatif me hante!) pour me décommander, la situation m'avait pris la tête au point...

de m'emmerder pendant ma pause de travail avec tes histoires de copines. T'as qu'à faire le trie isabelle.

Puis en insistant, malgré l'avertissement, quelque minutes plus tard je me suis trouvée sur ses genoux. Ma jupe troussée et déculottée pour une séance de rappel à l'ordre à la main. Mon chéri n'avait même pas pris la peine de sortie le martinet de son tiroir de bureau. Par conséquence j'ai vraiment dégusté. J'ai pu évacuer mon stress dans un flot de larmes et quand je me suis levée, je savais que pour le reste de la journée mon fessier sera... très sensible. Mais ce qui m'a surprise était les mots de mon chéri pour me congédier.

Va te décommander, isabelle. Dis lui que tu est consignée à la maison par ton homme pour l'aider dans la paperasse !


Il a solution à tout !


Un joli texte, vu sur un un blog que je trouve intéressant et que je lis parfois parce que la dame parle de choses que je ne connais pas ou très peu. Loin de moi de vouloir me lancer dans les rencontres sur le net, mais je suis curieuse et je ne manque pas un brin de voyeurisme ! Étant de la génération des filles qui a écumé les boites de nuit, je me dis au moins à cette époque il n'y avait pas besoin de mot, ni pour aborder, ni pour se faire aborder......

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !












Bonne technique (mini clip)

Jolie vue sur le programme (en bas de l'écran)


Les filles s'amusent (petit clip)



7 commentaires:

  1. La plupart des sites proposent l'option speed sex, certains ne sont même dédiés qu'à ça, mais n'étant pas cliente de la chose, je ne pourrai jamais en parler d'expérience ;)

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  2. Voila encore quelque chose que j'ignorais...

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  3. Bonjour Isabelle,

    Votre billet de ce jour, en évoquant la « première fessée » (et aussi un de vos liens !), m’a fait me souvenir non pas de la première que j’ai reçue de celui qui deviendrait mon mari, et que je vous ai d’ailleurs déjà racontée, pourquoi, et comment, mais de la première fois où il me corrigea.

    Cela devait faire au moins 3 mois que j’étais devenue son assistante de direction, en tout cas, je suis sûre que ma période d’essai de deux mois était terminée, et que j’étais donc définitivement embauchée, lorsqu’un jour, lui apportant un courrier important à signer, il sursauta en découvrant une énorme ânerie que je n’avais pas vue parce que pas relu. C’est un fait qu’il exerce naturellement un réel ascendant autour de lui. Quand de plus, et notamment lorsque quelque chose le contrarie, l’air sévère qu’il peut alors arborer suffit à ôter à quiconque toute envie de discuter, de plaisanter et plus encore de le contredire.
    Aussi, quand il m’a dit de lui présenter mes doigts pour qu’il les tape avec sa règle, tout comme un instituteur le fait (ou plutôt le faisait !) avec des élèves dissipés, il ne me serait pas venu à l’idée de ne pas lui obéir ….

    J’ai eu bien plus honte que mal ! J’étais en plus vexée de cette emprise qu’il avait exercée sur moi, et en rentrant le soir chez mes parents, je m’en suis plainte à ma mère. Cela m’a valu un long sermon de sa part pour me convaincre que 1/ j’avais de la chance d’avoir cet emploi et que je ne devais pas la gâcher et 2/ que cela me ferait le plus grand bien d’être guidée et d’apprendre à ne pas faire de caprices.

    Cela aurait aussi pu me faire deviner, lorsque je me donnerai corps et âme toute à lui, que je connaitrais alors les principes et les règles de la « discipline domestique »….

    PS : Enfin un dimanche de vrai beau temps chaud ! Et un dimanche entier de nudisme intégral ….

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  4. Si je veux me permettre chère Christine, il y a une petite question qui s'impose à moi en lisant votre récit. Vous parlez de l'emprise de celui qui deviendra par la suite votre mari. A ce moment-là étiez-vous déjà troublée en tant que femme par sa présence et son agir ou devrais-je supposer que l'incident dont vous parlez a contribué à installer un trouble en vous ? Je suis curieuse, car il n'est tout de même pas commun de demander à une dame de tendre ses mains à la règle...

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    1. Chère Isabelle,

      Depuis la lecture de votre commentaire et à chaque instant où j’en ai eu le loisir, j’ai réfléchi à votre questionnement, à comment vous répondre, et je me suis interrogée, une introspection que je n’avais jusqu’ici jamais vraiment faite sur la période de mes débuts d’assistante de direction. De plus, je ne suis pas sûre de bien interpréter le sens que vous mettez au mot « femme ».

      En fait, il me semble que lors de cet incident, je me suis sentie à nouveau perçue comme une jeune fille et non comme une femme, une encore adolescente même si j’en avais passé l’âge, déçue et surtout humiliée de ne pas être reconnue comme une adulte et une professionnelle compétente. Lors de l’entretien qui avait précédé mon embauche, il m’avait dit regretter que le désert du mois d’août ne lui permette pas dans l’urgence de trouver une assistante expérimentée, mais de devoir se contenter d’une tout juste diplômée et sans expérience. Je m’étais promise, vexée, de lui démontrer que je serais à la hauteur de ses exigences : avais-je ce jour là failli ?

      C’est vous dire combien si, dès le premier jour, j’ai toujours ressenti son emprise ! et combien il me paraissait déjà évident de devoir accepter son autorité sans réticence, même si je pouvais avoir encore, en dedans de moi, des relents et des soubresauts de rébellion…

      Mais peut être que par « femme », vous pensiez à l’amoureuse inconditionnelle que je suis, et pas seulement à l’assistante reconnue professionnellement, par lui comme par tous ? Autrement dit, votre question aurait plutôt été de définir comment son emprise est devenue cet amour ?

      Il est évident que lors de la soirée, la nuit plutôt, où toutes les barrières, physiques comme morales, sont tombées, je devins clairement cette femme amoureuse inconditionnelle que je suis fièrement toujours. Mais depuis quand la jeune fille qui s’était jurée en choisissant ce métier de ne jamais tomber dans le piège, le cliché, de la secrétaire séduite par son patron, ou à l’inverse le séduisant, est-elle devenue amoureuse ? Je suis incapable de le dire. Parfois, je me demande si cela ne débuta pas dès cette emprise qu’il exerça lors de l’entretien d’embauche, et alors qu’il m’y avait « malmenée » ?

      Lui-même, alors que jamais auparavant il n’avait manifesté le moindre signe ou le moindre mot équivoques à mon égard, il m’a toujours dit qu’après la soirée où il nous avait sentis si proches, si en harmonie, il lui avait paru évident et naturel et sans l’avoir prémédité, en revenant à notre hôtel et au lieu de me reconduire à ma chambre, de m’emmener jusqu’à la sienne, de m’y embrasser par des baisers sans fin, de me déshabiller, et de faire de moi une femme heureuse physiquement dès cette première fois. Agir ainsi lui était tout à coup apparu comme une évidence inévitable, et je n’ai jamais eu un quelconque motif de mettre sa parole en doute ….

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    2. Chère Christine,

      ne cherchez pas la complication chez moi. Il n'est pas mon style de caser une arrière pensée dans mes question. J'essaye de rester prudente dans mes formulations, car les sujets que je traite sur mon blog sont délicats et très intimes. Et en voulant bien faire, parfois je formule mal. En fait par femme j'évoquais un contexte dépassant le cadre professionnel, un contexte plus personnel et intime qui empiète sur le terrain de la séduction. Comme vous dites quand l'emprise se transforme en amour. J'ai beaucoup de mal à imaginer qu'une femme qui accomplit un travail se laisse taper sur les doigts pour autre chose que pour une question de sentiments. Même si le sentiments sont encore troubles, non définies, en état de naissance. Par exemple quand j'ai rencontré l'homme de ma vie, je fut étonnée de son culot de me prendre ma main très rapidement. Je l'ai laissé faire... à ma grande surprise. Il n'y a pas eu de suite ce jour-là, mais cet événement s'est incrusté dans ma tête. Je serais incapable également de dire avec précision le moment quand je suis tombée amoureuse. Mais bon, la nous sommes sur un terrain de la magie de la vie et je ne cherche pas à comprendre.

      Je comprend que vous aviez envie de faire vos preuves, de montrer ce que vous savez faire professionnellement. Je trouve que c'est un point particulièrement important dans la vie d'une femme et dans une société qui ne fait pas de cadeaux. Je comprend également votre désir de ne pas tomber dans les clichés. Toutefois ce qui compte à mes yeux c'est que vous avez vécu et que vous vivez tous les jours une belle histoire d'amour.




      Si je veux me permettre chère Christine, il y a une petite question qui s'impose à moi en lisant votre récit. Vous parlez de l'emprise de celui qui deviendra par la suite votre mari. A ce moment-là étiez-vous déjà troublée en tant que femme par sa présence et son agir ou devrais-je supposer que l'incident dont vous parlez a contribué à installer un trouble en vous ? Je suis curieuse, car il n'est tout de même pas commun de demander à une dame de tendre ses mains à la règle...

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  5. Merci de m'avoir cité sur les fessées en shorts
    Oncle Albert

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