vendredi 18 septembre 2015

767 Liens de discipline domestique (183 ème édition)

Au menu cette semaine : La DD bcbg

Fessée version BCGB (petit clip)

J'ai un faible pour le BCBG depuis toute jeune. Je n'accroche pas trop avec les tenues dites décontractées qui n'ont d'ailleurs pas le monopole du confortable. Et justement pour que l'impression du confortable s'installe dans ma petite tête, il m'importe beaucoup que mon reflet dans la glace me plaît. S'ajoute que je suis de bonne humeur dès que j'ouvre les yeux. Qualité, s'il s'agit d'une que j'aie pu transmettre à ma petite. Mon allure souriante avec mon goût pour une présentation harmonieuse a toujours été utile dans ma vie. Toutefois le BCBG ne s’arrête pas à la présentation. Il semblerait qu'il s'agisse d'un état d'esprit qui se distingue du décontracté selon certaines personnes. J'ai dû donc apprendre, vu ma façon de sourire en quasi permanence, que je devrais me décontracter. J'ai également appris que d'accompagner un acte sexuel par des petits cris retenus serait une façon BCBG de faire de l'amour.

Alors existerait-il aussi une discipline domestique BCBG ?


Je n'y vois rien de mal et je distingue bien entre la curiosité sexuelle d'un grand garçon et un comportement de vérification dans le moindre détail de la vie (intime ou pas) de la dame. Je sais pertinemment que mon chéri respecte scrupuleusement ma sphère individuelle, telle que je la conçois. Mes papiers de tout genre, mes activités sur le net, mon choix de copines, mes loisirs. Par contre et là j'y tiens, j'aime bien quand il arrive dans la salle de bain quand je suis en train de me bichonner. Déjà parce que moi je fais pareil avec lui. Je me souviens à quel point il était friand au début de notre couple, avant mon épilation définitive, d'assister à mes séances de rasage intime. A quel point quand il a découvert ma passion pour les suppos de s'impliquer personnellement dans leur application. A quel point il aime voir quand je fais ma gym que j'accomplis - après tout je suis chez moi - comme au temps quand j'étais célibataire, seulement vêtue d'un soutien-gorge de sport. A quel point il adore quand je me passe mon huile de corps... partout, partout. A quel point il est friand d'assister quand je regarde les marques d'une bonne punition dans la glace en commentant le travail de l'artiste. Style :

Nous devrions changer notre martinet, chéri, il y a de moins en moins de stries.

Quand je lui demande, concernant la partie visible quel bouchon intime, m'irait le mieux avec telle ou telle autre jupe. Bref, il ne va pas me harceler sur la taille ou le matériel de la chose, ni sur le fait d'en mettre ou pas, mais...

...il répond présent pour me conseiller sur l'élégance dont me dote un tel objet.

Puis, aussi le grand classique, le choix de la culotte du jour (petit clip). Vu sa façon de se comporter, à aucun moment je me sens considérée comme un objet sexuel ou une possession, par contre comme une inépuisable source de fascination et d'émerveillement oui, oh ouiii !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !










Belle série (petite variante de la semaine dernière)














8 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,


    Vous savez rester élégante en toute circonstances ! Bravo !
    En effet, quel plaisir , j'imagine, pour votre compagnon de procéder à
    " l'effeuillage progressif "dans un but purement ... coquin ou... punitif !
    Vous êtes une femme de goût ! Plus la tension monte et plus le plaisir est intense...
    Mac-Miche

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  2. Bonjour Isabelle,

    En relisant votre récit, je pensais au personnage de Betty Boop, autre "icône" du glamour coquin et dont les créateurs (Flescher ?) du DA du même nom se sont inspirés de la comédienne US Louise Brooks à la coiffure particulière. Toujours accompagnée de son petit chien Bimbo.
    Quant j'étais gamin, la TV diffusait parfois l'un de ses DA en intermède en cas de panne d'émetteur. Elle était en quelque sorte le pendant de la danseuse burlesque qui fait tant suer le loup de Tex Avery. Rires.
    De même, quant il y avait de la pluie sur Paris, le dimanche, l'ORTF diffusait un film , polar, western ou autre, pour distraire les petits Parisiens et ... nous en profitions, nous aussi, en province. Quelle chance, c'était !!!! Insouciantes années 1970...
    Mac-Miche (Une digression de plus à mon actif ! Damned ! Rires.)

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  3. Je ne suis pas une spécialiste des abréviations, cher Monsieur Mac-Miche et je me suis posée la question du rapport entre Betty Boop et la direction assistée pour DA. Depuis toute petite mon papa m'a toujours expliqué de me tenir loin des jargons professionnelles pour que tous le monde puisse me comprendre. Enfin, ce n'est pas Louise Brooks qui à a inspiré Betty Boop, mais une dame oubliée de nos jours (Ester Jones) a inspiré à Helen Kane le style Betty Boop. Je connais bien le sujet ! Rire.

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  4. Bonjour Isabelle,

    Vous êtes mieux informée que moi. Mais ce que j'avançais provenait d'un article sur les personnalités qui avaient inspirés des créateurs de films ou de Dessins Animés. Et justement il y était démontré le parallèle entre les deux personnes. Visiblement, ma source est erronée.
    Et oui, la gloire a fait des oublié/e/s Ainsi pour le passage au cinéma parlant : coté comique, seuls le tandem Laurel et Hardy, et Chaplin ont réussi très brillamment leur adaptation. D'autres comme Harold Loyd ou Harry Langdon ont disparu, pour ne citer qu'eux...
    Merci pour cette intéressante rectification.
    Mac-Miche

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  5. Je vais encore parler de mon papa qui - en faisant référence aux livres de science, parfois un comble d'inaccessibilité, m'a expliqué la pensée du philosophe Schoppenhauer. Ce dernier met en garde sur ce que l'on lit. S'agit-il dans ces livres du réellement incompréhensible, veut dire que l'auteur ne maîtrise pas son sujet et copie des explications de commodité qui n'avances en rien un élève ou est-ce que moi qui ne comprend pas. Notion fort utile dans les études qui permet bien souvent de faire la bonne distinction. Par contre en ce qui concerne la culture, il y a des légendes urbaines qui persistent et il est impossible sans faire des recherches complexes et croisées de trouver un semblant de vérité.

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  6. Bonjour Isabelle,

    Votre papa est un sage. C'est toute la difficulté de l'éducation et par extension, de ce que l'on peut lire dans les livres. Leurs contenus reflètent -ils la vérité des choses et de évènements ? D'où le phénomène de propagande et de manipulation bien connu utilisé par le passé et encore aujourd'hui.
    Comme me disait souvent ma maman, "faisons comme Saint Thomas, l'un des Douze Apôtres réunis le jour de l'Ascension : quant le Messie leur apparaît, il doute de ce qu'il voit et mais il constate au toucher et de visu les plaies de la Passion. Et le Christ lui répond : "Parce que tu as vu, tu as cru. Heureux ceux qui croient ans avoir vu ".
    Evidemment, difficile de vérifier tous ce qui nous entoure et l'on est bien obligé d'accorder une certaine confiance à ce que contiennent les livres . Qui détient la vérité ? A méditer... Mon papa, ancien marin, me dit souvent : fiston, dans l'armée, chercher à comprendre , c'est désobéir ".
    Mac-Miche

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  7. Votre papa est également un sage cher Monsieur Mac-Miche. Vous feriez bien de l'écouter. Il y a des choses à comprendre et des choses à ne pas comprendre. Il y a également des terrains propices à la vérité et d'autres où la vérité est une notion sans grande importance. Enfin, ne perdez pas votre temps à chercher ce qui est introuvable...

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  8. Bonsoir Isabelle,

    Votre conseil rejoint ce que me dit parfois mon papa. Laisser faire le temps et les choses car on ne peut pas tout savoir ni maitriser. Il y a des faits immuables qu'on accepte sans trop se poser de questions qui , d'ailleurs, ne changeraient rien au fond. A la manière de Don Quichotte et ses fameux moulins à vent... "Carpe Diem" disait le poète.
    Mac-Miche.

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