vendredi 14 novembre 2014

604 Liens de discipline domestique (140 ème édition)

Au menu cette semaine : Élégantes dames et vilaines filles


A la base cela s'appelle « Sadisme » tout court. J'ai un peu de mal à voir le rapport avec ce gentillet tapotage sur les fesses, mais bon, il n'y a pas de nomenclature bien définie en la matière. Pour ma part je sécherais déjà pour expliquer tout simplement ce que c'est la D/s. Enfin, mon ignorance en la matière vient de prendre fin, car je suis tombée par le plus grand des hasards sur un brillant article qui établit un lien entre la D/s, l'amour oblatif et les sentiments religieux. Soudainement tout s'explique, tout devient clair. Même l'Histoire d'O que je n'ai jamais finie de lire. En plus maintenant je sais pourquoi je ne me retrouve pas dans cette pratique. S'il y a une vocation/qualité/trait de caractère qui me manque, ce serait sans doute l'amour oblatif. Ou encore le désir de passer par mille et une épreuve pour mériter/montrer mon amour. Désillusion jusqu'au bout, l'amour s’arrête pour moi au sentiment positif projeté sur le partenaire. Se manifestant dans mon sourire heureux et comblé quand je regarde le matin pour la première fois de la journée dans les yeux de mon chéri et qui me répond par un regard … émerveillé !


Un jours je me suis réveillée avec l'idée que pour être élégante de la tête au pied, il serait mieux que je me pare aussi d'un joli bijoux pour mettre mes fesses en valeur. Sans parler de l'agrément de me l'introduire dans le derrière et aussi de déguster une sensation voluptueusement étrange en le portant sous mes vêtements. J'en ai parlé à mon chéri et rien qu'en voyant ses yeux j'ai compris le pouvoir de suggestion d'une telle chose. Je réserve donc pour certaines de nos sortie en tête-à-tête le suspense à mon homme....

...si je suis vraiment élégante de partout.

Il m'arrive aussi de recourir à ce genre d'objet pour les soirées que je sais d'avance ennuyeuses à mort et où une petite distraction discrète s'avère la bienvenue.


Inutile de philosopher sur le pourquoi. La vilaine écolière adulte plaît à pas mal de messieurs. Et si j'aime m'adonner à un tel déguisement c'est aussi parce que cela correspond à une rêverie de mon adolescence. J'avais une phase, juste avant mes premières expériences avec les princes charmants, où j'imaginais que l'un d'entre eux me débarrasse de tous mes vêtements pour m'installer sur ses genoux et m'applique une claquante fessée. Petite fantaisie qui m'a embellie certains cours ennuyeux à l'école pendant lesquels je suivais le prof avec un air de plus béat :

z'etes avec nous, mademoiselle isabelle ?


Costeau le monsieur. La force tranquille. Et aussi une mise en scène qui change des éternels écolières. J'adore la tenue de la dame. Élégance des années 50 qui trouve encore de nos jours (très facilement) ses amateurs. Je le sais bien parce étant assez fantaisiste, il m'est déjà arrivée de servir un repas entre amis à la maison ainsi vêtue. Cela met de la bonne humeur. Surtout quand il s'agit d'une soirée à thème pour faire briller les yeux de nos grands garçons et aussi pour combler le narcissisme des filles. Certes, chez nous cela ne finit ni en fessée générale, ni en autre chose de plus osé en groupe. Mais une fois nos invités partis, mon chéri se trouve dans un état tout ému, causé par ma tenue. Parfois il me rappelle mes manquements lors de la soirée qui méritent bien entendu une bonne punition, parfois... hein bien... il me trousse pour me faire ma fête.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !























16 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,
    Je suis comme toi, je pense l'amour oblatif ne me correspond pas. J'ai énormément d'admiration pour les femmes qui arrivent à aimer un homme en lui donnant tout, dans le cadre d'une relation à sens unique. Je pense qu'il faut être très sûre de soi pour cela. Moi, je suis trop fragile et ai trop besoin d'être rassurée pour trouver mon épanouissement dans une relation entièrement dévolue à l'autre...
    Mais j'ai eu l'occasion de discuter avec un ancien Maître qui me disait que la relation unilatérale qui semble unir un Maître et sa soumise n'est en fait qu’apparence, que même si la soumise est toujours en position d'obéissance, le Maître fait tout son possible pour satisfaire les désirs et plaisirs de sa partenaire. Cela me semble être en revanche une bonne philosophie, puisqu'elle repose sur un partage réel et sincère, même si elle n'en a pas forcément l'apparence. :-)

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  2. A vrai dire je n'ai aucune expérience en relation D/s. Pour ma part je suis plutôt étonnée des dames qui se retrouvent dans une relation à sens unique. J'ai beaucoup de mal à comprendre leurs univers. D'où mon approche de curiosité. Il en va de soi que je suis (comme beaucoup de monde je pense) avec grand intérêt ton passionnant récit sur ton blog. Ce qui nous lie c'est l'importante place que tu accordes à l'amour. Pour moi l'amour se base sur la réciprocité. De plus, je suis une personne qui désire l'exclusivité et il est hors de question pour moi qu'un monsieur dans ma vie ne me considère pas comme le centre de son monde. Ce n'est pas une question de me rassurer, c'est une question sine quoi non pour que je m'engage dans la relation. La fidélité est primordiale pour moi et rien qu'une allusion à un jardin secret (autre que moi) de la part du monsieur me suffit pour rompre immédiatement la relation. Bref sans en faire une philosophie je crois que je suis incompatible pour la D/s.

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  3. Tu as raison Isabelle, l'amour est une chose primordiale, quelle que soit la forme que peut prendre le jeu.Il m'est absolument impossible d'envisager de me faire fesser par un homme que je n'aimerais pas. Par contre, je n'ai pas le moindre sentiment, ni de jalousie, ni de possession. Imaginer l'homme que j'aime dans les bras d'une autre ne me pose aucun problème, pas même un petit pincement au cœur, tant qu'il reste disponible pour moi au moment où j'ai besoin de lui, de sa présence, de son soutien. La seule chose qui me ferait peur à le savoir avec d'autres serait qu'il ne finisse par me quitter définitivement. C'est un risque non négligeable dans pareille situation, mais il me semble qu'il y a certains couples qui gèrent cela très bien.
    Les relations D/s sont souvent en apparence à sens unique. Mais même si la "soumise" obéit à son "Maître" et aux règles qu'il lui impose, rien n'empêche le "Maître" de faire tout son possible pour faire plaisir et satisfaire sa "soumise". A mon humble avis, c'est même une condition nécessaire pour que la relation subsiste dans le temps. Mais je ne suis pas une vraie "soumise" et mon avis ne vaut guère. Peut-être existe-t-il bel et bien des relations purement à sens unique, où chacun arrive à trouver son épanouissement... mais ces relations ne seront jamais pour moi, c'est certain... :-)

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    1. Disons que pour moi l'amour est liée à la notion du couple. C'est dans ce cas-là que je revendique l'exclusivité. Sinon je ne vois pas d’intérêt de me mettre en couple et que chacun reste de son côté. Mais vu mes critères d'un partenaire de vie, il en va de soi qu'il partage ma conception du couple. Comment dire, je suis très rationnelle. Je ne tombe amoureuse qu'uniquement quand toutes les circonstances correspondent à ce que je souhaite. Je ne suis pas une personne ayant des coup de foudres autre que physiques. L'affectif pour moi se construit lentement. Mais une fois amoureuse, je n'ai pas ton ouverture d'esprit Amandine.

      Je comprends bien ce que tu entends par : pas une vraie soumise. Grâce à tes explications je cerne mieux l'enjeu dans les structures D/s. Pour ma part je pense que mon plaisir et ma satisfaction dépendent moins d'une autre personne que de moi. Je sais ce que je veut et j'ai l'habitude de le chercher. Idem pour dire comment je souhaite que l'on me fasse plaisir ou me procure une satisfaction. Je me verrais mal d'y impliquer une notion de mérite...

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  4. chéres Amandine et Isabelle vous partagez le méme état d'esprit méme si vos vies sont différentes '' il faut existé dans le regard de l'autre étre reconnue , aimée , gratifiée et c" est celà qui est important moi non plus je ne pourrais
    vivre pleinement avec mon chéri sans celà ... rien ne serait possible !
    Jacqueline

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    1. Exister dans le regard de l'autre, être reconnue, aimée, gratifiée voila parmi les plus belles choses de la vie. Je me retrouve bien dans vos mots, chère Jacqueline.

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    2. chére Isabelle j'oubliais et comme vous pas de partage possible mon chéri pour moi toute seule évidement !! je n envisage pas que celà soit autrement méme si je ne cultive pas de sentiments de jalousie il y a des limites a ne pas franchir malgré toit
      Jacqueline

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  5. Bonjour Isabelle,

    Je suis persuadée que vous ne serez pas étonnée de me voir réagir à votre billet ! Car j’ai eu plus d’une fois l’occasion de dire ici que mon mari aime à proclamer qu’il est « mon Seigneur et Maitre », et quant à moi, je revendique de pouvoir dire que, pucelle, je me suis donnée à lui définitivement corps et âme, il y a déjà pas mal d’années.

    Mais quand je vois cette association avec la définition du mot « oblatif » : « Qui s’offre à satisfaire les besoins d’autrui au détriment des siens propres », je suis tentée de crier Stop !

    Déjà, le mot autrui me gêne pas son caractère indéfini, comme s’il pourrait y avoir pluralité, alors que je ne me suis donnée qu’à lui seul, que j’aime tant, que j’admire et que je respecte. Nous formons un couple que je crois, que je veux et que j’espère indissociable. Le fait que nous soyons mariés légalement signifie beaucoup pour moi, mais pour lui aussi j’en suis sure.

    Je ne suis pas d’un naturel jaloux, mais de plus, entre nos vies familiale et professionnelle, il ne pourrait guère batifoler sans que je le sache ! Je crois aussi qu’il n’en a pas le besoin. Certes, je ne saurais jurer qu’il n’y a jamais eu de coup de canif dans le contrat lors de certains déplacements professionnels longs et lointains, mais ils n’ont pu alors être que péchés véniels. Quant à moi, il est évident que je ne peux imaginer ne serait-ce qu’un flirt avec un autre homme, même si, comme je vous l’ai dit un jour, j’accepterais sans réticence de me prostituer pour lui sauver la vie.

    Mais ce que j’accepte encore moins dans cette définition d’oblatif, c’est la deuxième partie ! Il n’y a nullement de « détriment de mes besoins », qu’ils soient d’amour, de plaisir, de confort, de joie, mais aussi de protection et de guidance. Je vis ma relation de couple comme un perpétuel échange, dans toutes nos activités, qu’elles soit conjugales, professionnelles et « érotiques », échange pour lequel je cherche à toujours lui apporter ce qu’il peut vouloir, mais en constatant qu’il sait fort bien me deviner pour en faire autant à mon égard. Ce n’est donc pas une « relation en sens unique » !

    J’ai trouvé l’amour, et plus encore. Peut être avais je de par ma nature besoin dans la vie d’être aussi guidée et protégée ? Peut être notre différence d’âge y a aidé ? Quoiqu’il en soit je n’accepte pas seulement, mais je suis heureuse qu’il soit mon Seigneur et Maître, et pouvoir dire que je lui appartiens totalement. C’est pourquoi non seulement j’accepte, mais je revendique pour lui son droit de me corriger (dans les deux sens du terme !) lorsque je ne suis pas celle que je devrais être. Droit qui sans doute surprendrait bien des copines qui m’ont connue adolescente, tout comme pour ma sœur qui le subodore et à qui cela ferait le plus grand bien !

    PS : La tendance semble-t-il de la mode est pour des jupes plus longues. J’en suis fort aise, pour moi qui ne porte que des jupes ou robes « midi » pour des raisons de décence !

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    1. Il en va de soi, chère Christine que je me retrouve mieux dans votre conception d'un « Seigneur et Maître » que dans la conception d'un maître façon D/s. Pour le dire clairement, la D/s éveille ma curiosité intellectuelle parce que je la sens différente du sujet de mon blog, différente de la discipline domestique. Son « étude » me semble donc un must pour mieux pouvoir souligner les différences entre ces deux pratiques.

      J'ai lu avec grand plaisir vos explications autour du sujet de l'amour oblatif. Je garde précieusement vos écrits pour une publication à part quand j'aurais fini de me mieux documenter sur le sujet. Je ne saurais mieux parler que vous de ma conception du couple et de l'amour. Et comme pour vous une relation en sens unique me semble inconcevable.

      Quand au jupes plus longues, j'imagine la tête de mon chéri. Il va me faire encore des yeux d'un grand garçon déçu...

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    2. Réponse à votre PS : vous avez bien raison Christine. Les femmes qui obéissent à leurs maris ne portent que des jupes midi. La mini jupe est provocante, « sexy » comme on dit. Le pantalon, ça peut être joli certes, je ne l’interdis pas, mais c’est surtout pratique, cela symbolise une masculinisation, la vie active, cela ne fait pas rêver.

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    3. Pour ma part j'aime bien, mais uniquement en présence de mon homme porter du court. Du raisonnable court. Ce n'est pas une question d'interdit, mais je n'ai pas envie de donner prétexte pour me faire aborder dans la rue...

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  6. bonjour Christine je m' adresse à vous pour vous dire combien j'apprécie vos interventions sur ce blog .... toujours si justes... comme une evidence et qui nous apportent matiére à réflexions .... la notion de couple pour moi passe par l'equite dans la relation à l'autre je ne satisfais pas les besoins de mon mari aux détriments des miens certe non ; de toute façon ; ce n'est pas l'etat d'esprit de mon chéri qui a toujours été attentif avec sa petite famille et avec moi méme .
    je suis comme vous et Isabelle ; je ne trouverais aucune satisfaction à avoir ne serait -ce qu' un flirt où une aventure d' un soir // d'ailleur .je me sentiras tellement honteuse et culpabilisée //.. que je ne m'en remettrais pas et celà me poursuivrait ...
    je vie ma vie de couple moi aussi dans l'échange et mon chéri devine lui aussi mes attentes ; Christine mon mari a 8 ans de plus que moi et il aime étre protecteur et assez directif mais celà me convient tout à fait j'accepte son autorite bien veillante car j' éprouve le besoin d'étre cadrée et protegée
    et comme vous d"etre corrigée ! lorsque celà s'avére nécéssaire ; je l'accepte totalement comme une évidence de part ma nature ( j"ai moi aussi éte élevée trés séverement et connue les chatiments corporels étant enfant et adolescente féssée et martinet ) et peut étre que mon éducation et notre differences d'age m"a guide dans cette accéptation ?
    en tout cas je me sens bien dans ma vie et pleinement épanouie et heureuse
    bien amicalement Jacqueline

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  7. Je me verrais mal pour ma part aussi, chère Jacqueline, de chercher des aventures ailleurs. Me mettre en couple veut dire pour moi, un tel élan pour l'élu de mon cœur, qu'il n'y ait pas besoin de regarder chez le voisin. Sinon quel intérêt de se mettre en couple ?

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  8. Chère Isabelle,

    La deuxième partie de ce billet m’incite à ajouter quelques mots. Car comme j’ai eu l’occasion de vous le dire, mon mari chaque année à la date anniversaire de la première fois où je lui fus sienne m’offre un bijou intime.

    Les années passant, je commence à en avoir une belle collection ! j’en ai assez peu destinés à mon postérieur, et ils sont plutôt réservés pour chez nous, notamment un que je trouve particulièrement osé et qui fut le résultat d’une sorte de pari et de mise à l’épreuve. J’ai surtout des bijoux intimes de sexe et de seins (y compris soutien-gorge), qui se portent sans piercing (seules mes oreilles sont percées), bijoux que je peux pour la quasi totalité mettre sous mes vêtements sans que cela soit apparent ou deviné par des tiers. Je dois ajouter que mon mari, lorsqu’il vient de m’offrir un nouveau bijou de sexe, apprécie que je l’en remercie en osant les jours suivant le lui montrer subrepticement en position dans l’intimité de son bureau à l’entreprise !

    Il arrive aussi, et je repense à votre allusion ( !), qu’à l’occasion d’une sortie, par exemple un dîner au restaurant ou chez des amis, il me dise d’utiliser celui dénommé « Double secret », lequel sait parfaitement me rappeler sa présence autrement que par la goutte qui se balance au bout de sa petite chainette entre mes cuisses ….

    Autre aspect de votre billet : je n’ai jamais d’autre occasion de me déguiser que lors des soirées à thème que nos amis organisent dans leur club deux fois par an. Ces thèmes sont de types folkloriques, historiques ou en fonction de l’actualité. Certes, il y a toujours plus ou moins un aspect sexy, c’est le but recherché, tel celui que je peux montrer avec ma tenue burlesque (avec aussi ma culotte fendue !). Mais je crois qu’il n’a jamais été envisagé de tenue d’écolière … ce qui d’ailleurs pour certaines serait drôle vu leur âge ! A la maison, il suffit simplement pour mon mari que je porte une tenue légère, ou même rien du tout si la température le permet.

    PS pour Jacqueline : merci beaucoup pour ces mots gentils à mon égard, mais est-ce que je les mérite ? J’ajoute que la différence d’âge avec mon mari est de 18 ans, ce qui fait que j’ai deux belles-filles de 7 et 9 ans de moins que moi, et que de plus, je suis grand-mère par alliance !!!

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    1. ; bonjour Christine
      vous devez étre alors une grand mére jeune et bien dinamique et celà doit vous allez à merveille
      Jacqueline

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    2. Chère Christine,

      il en va de soi que je pense le plus grand bien d'un monsieur qui offre des bijoux à sa dame que ce soit intime ou autre. Je ne suis pas une spécialiste des bijoux du sexe et des seins, mais votre commentaire réveille ma curiosité. D'abord sur la nature de ces bijoux sans toutefois de pousser ma curiosité de poser des questions. Par contre, il y a un élément de l'ordre psychologique qui me saute aux yeux (on ne se refait pas) et que j'aimerais commenter. Dans le cadre de son travail, bien que cela se passe à la maison, mon homme aussi aime beaucoup que je lui montre par exemple un de mes bijoux « rectaux » ou encore mes sous-vêtements sans que cela se transforme en partie de jambes en l'air. J'ai l'impression qu'il s'agit avant tout d'un plaisir des yeux pour le monsieur, de savoir sa dame belle et sexy. Et pour ma part je suis fière de mon homme qu'il fasse passer son travail avant le plaisir, soulignant ainsi un caractère sérieux que j'aime tant chez un homme.

      Pour le « déguisement maison » je dirais c'est une simple question de goût. J'aime beaucoup porter ce qui s'apparente à un uniforme. Quand cela reste un plaisir et non une obligation surtout. Petite lubie que j'assume pleinement comme faire le service d'un repas entre très proches en costume de soubrette, tenue de majorette ou de tenue « Brigitte Bardot » pour chanter « Harley Davidson ». Outre le côté sexy c'est une façon pour moi d'exprimer ma joie de vivre et mes côtés exubérantes.

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