lundi 3 novembre 2014

597 Une fessée très sévère (Lundi cinéma)

Un fesseur mécanique ?

La preuve ! Cela existe bel et bien. Méticuleux et appliqué avec la régularité d'un métronome. Loin de moi de vouloir me moquer de ces messieurs qui affectionnent le travail soigné sans la moindre fantaisie. Comme celui-ci qui tombe dans un registre particulièrement sévère. Je trouve que c'est plutôt bon signe. A mon avis ce ne sont pas les partenaires fantaisistes qui font... un bon compagnon de vie, soucieux de combler un fantasme de discipline domestique de la dame. Car cela demande stabilité et solidité tout court. Un prince charmant « tout le monde » avec les pieds bien sur terre et surtout un qui sait également me ramener sur terre aussi quand besoin y est. Bref, j'aime beaucoup quand le punitif reste purement punitif. Chaque chose en son temps. Donc désolée pour les artistes de la fessée ou les virtuoses orgasmiques de tout genre.

J'aime avant tout les claques qui ne sont pas censées de stimuler le désir, mais pour faire réfléchir.

Veut dire qu'il pleuvent pour provoquer une … douleur qui exalte mon ego en reléguant la libido aux deuxième plan. Certes, cela ne correspond pas à ce que l'on lit ci et là, mais je pense ne pas être la seule dame qui souhaite rétablir la bonne entente dans son couple en expiant la cause de la discorde sous une main ferme. Et pour que cela soit crédible, il me semble impossible de se passer de la douleur.

Enfin, je ne me moque plus des « fesseurs mécaniques» aussi parce que c'est...

...très vilain de se moquer des préférences fantasmatiques d'une autre personne, isabelle.

Dixit mon chéri qui met depuis quelques temps, après lecture de certains de mes post, un point d’honneur pour soigner ma mauvaise langue par une méthode qui a fait ses preuves. Lui qui me croyait guérie de cette fâcheuse habitude a eu la désagréable surprise de découvrir ainsi que j'avais trouvé un moyen de contourner ses interdits. J'avais beau à prétexter de l'humour, il n'a rien voulu entendre. Comme, il y a quelques années quand il m'a prise en flagrant délit avec une copine de lâcher des méchancetés sur des personnes de notre entourage. Ma copine et moi nous étions en pleine extase verbale - il est fort jouissif de se défouler de cette manière - quand nous avons découvert que mon chéri se trouvait dans la pièce. Grand moment de solitude à deux et ma copine a vite cherché un prétexte pour rentrer. Puis, plus d'une décennie plus tard, les choses qui se répètent. Un long silence avant de clamer:

Et moi qui te croyais exempte...

Bref Monsieur était vexé parce que son éducation, pourtant très stricte, n'avait pas porté les fruits espères. Lui qui aime tellement vanter mes bonnes manières. Je n'aime pas quand il me présente les choses de cet air-là. Cela sent le brûlé, littéralement. J'ai l'impression de le voir penser. Non, il ne sortira pas le martinet. Ni même la canne. Il a besoin de se défouler sur mon postérieur de la façon la plus classique. L'affaire se passera bien intimiste entre sa main et la peau de mes fesses. Et pour que je déguste le plat qui m'attend a sa juste valeur, il convient que je me présente toute nue à ma punition. Il me semble futile de comparer ma résistance avec la dame dans ce clip. Idem pour la capacité de mon homme pour « s'arracher un bras ». Nous aimons aller à notre rythme. Mais notons-le, la petite dame de ce clip n'a rien d'une pleurnicharde comme moi qui fond au larmes après une minute quand le traitement est vraiment intense. Enfin une minute dans les meilleurs des cas...

18 commentaires:

  1. Même si madame a un rythme moins soutenu que ce monsieur, je peux vous assurer, Isabelle, que quand elle m'en met une bonne elle est très méthodique. À la main notamment, elle alterne à gauche à droite en mesure...

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  2. Décidément votre dame ne manque pas de qualités, cher Monsieur Pecan. Que serait d'ailleurs la discipline sans méthode?

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  3. Bonjour Isabelle,

    Je me permettrais cette pointe d'humour... cartésien ; "Le discours de la Méthode". Mille excuses, monsieur Descartes. (Oui, c'est un peu lourd, j'en conviens, comme jeu de mots, mais bon , les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures, dit-on). Mac-Miche

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    1. Le mardi c'est permis, cher Monsieur Mac-Miche. Les autres jours aussi d'ailleurs. Comme souvent dit, j'adore la méthode (encore une, que Descartes nous pardonne!) de l'association libre et loin de moi donc de critiquer qui-que ce soit la pratiquant sur mon blog. Tant que cela reste bon enfant, sinon... je censure sans états d'âme !

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    2. Bonjour Isabelle,

      ...Et vous avez bien raison ! C'est vous la maitresse de maison et vous disposez à votre guise. Et merci de votre légendaire indulgence. C'est parfois si rare par les temps qui courent. Alors ne boudons pas notre plaisir. Mac-Miche

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    3. Voyez cher Monsieur Mac-Miche, parfois je peux être agacée par une formulation maladroite, parfois cela me fait rire de bon cœur et parfois je découvre un riche souterrain qui agrandit ma vision de notre sujet favori. Mais une chose me semble sure : une écoute attentive et bienveillante apporte toujours un plus dans la vie...

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  4. Bonjour Isabelle,

    Il me faut revenir à l’époque où je n’étais encore qu’une simple gamine éduquée assez strictement par ses parents pour me souvenir de fessées à « main nue », ce qui n’est d’ailleurs pas arrivé très souvent : je n’étais pas très dissipée, j’étais plutôt obéissante et bonne élève. Comme j’ai eu l’occasion de vous le dire, mon mari est un homme « d’habitudes », et il n’a jamais dérogé au choix fait la première fois où il m’a corrigée, d’un martinet familial il y a déjà bien des années !

    Le principal changement depuis cette première fois a été son remplacement par un neuf, le cuir des lanières de l’ancien ayant vieilli et perdu sa souplesse. Je témoigne que les 13 lanières de 50 cm en cuir du nouveau peuvent cuire mon popotin dès la première cinglée ! Aussi, croyez moi, je fais mon possible pour qu’il repose le plus souvent possible sagement dans le compartiment qui lui est dévolu dans l’armoire de notre chambre, à côté des bijoux intimes dont mon mari aime souvent à me parer.

    Cela ne veut pas dire que sa main ne vient jamais sur mes fesses ! Cela peut être souvent et à tout moment selon son envie pour une simple caresse qui témoigne de notre attachement mutuel, cela peut être aussi de temps en temps pour un pinçon plus ou moins fort lorsque lui présentant au bureau mon travail, il constate quelque erreur. Il fut même un temps où après m’être épilée, il écartait mes fesses à deux mains pour vérifier que mon sillon fessier soit vierge de tout poil, époque révolue grâce à mon épilation définitive !

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  5. Chère Christine, moi aussi j'étais une petite fille obéissante et bonne élevé. Enfin plutôt très travailleuse. Et comme vous j'ai aussi un faible pour les homme d'habitudes. Le remplacement de votre martinet familial me rend curieuse. Si je peux me permettre une question indiscrète, s'agit-il d'un instrument du commerce traditionnel ou d'un modelé plutôt exclusif ?
    Notons que je vois aussi une parallèle entre votre mari et mon compagnon de vie. La vérification de l'épilation de mon sillon... jusqu'à mon épilation définitive... qui fut un soulagement sur bien de points. J'ai toujours été très gênée quand mon compagnon me faisait remarquer que présentation n'étais pas impeccable...

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    1. Bonjour Isabelle,

      Avec quelques retards ( !), je réponds à votre question ….

      A vrai dire, je ne sais pas si ce nouveau martinet fut spécialement fabriqué à l’intention de mon postérieur, bien que je ne le pense pas. Mon mari est revenu un jour avec, après un déplacement professionnel à Paris. Il est incontestablement plus beau que le précédent, avec son manche recouvert de cuir noir tressé, alors que l’ancien n’avait qu’un simple manche en bois mal fini et d’une couleur jaune affreuse !

      Surtout, même si les lanières cuisent la peau des fesses fortement sur le moment, je les préfère quand même au côté rêche des anciennes lanières qui avaient tant durcies avec le temps.

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    2. Prenez votre temps, chère Christine. Nous ne font pas une compétition de vitesse. Merci pour votre réponse. Je ne sais pas pourquoi, mais je vous ai imaginée avec un martinet « bel objet ». Il en va de soi que les lanières rêches ne correspondent pas à mon avis à un instrument de correction. Voila pourquoi chez nous il m'incombe l’entretien du cuir que j'effectue avec une bonne huile de bébé. Ceci dit mon homme affectionne beaucoup les martinets de bazar qui ont une durée de vie assez limitée quand on fait un usage régulier...

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  6. Belle fessée, malgré la distribution un peu trop symétrique des claques ! Et belle dame, aussi.... Mais ne croyez vous pas, Isabelle, que si elle résiste aussi bien à cette robuste correction, c'est que pour elle, le plaisir se combine à la douleur ?

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    1. En regardant l'expression sur visage de la fille à la fin de ce clip, j'ai la même impression que vous, Monsieur Vincent. Toutefois je me pose la question sur la nature du plaisir. Ne se trouverait-il pas en bonne partie dans le fait d'avoir défié avec brio ce monsieur ? Ceci dit je connaît bien moi-même l’agrément des fesses qui brûlent et j'aime bien parfois fermer mes yeux rien que pour sentir...

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    2. bonjour chére Isabelle et monsieurs Mac -Miche lorsque je regarde le déroulement de cette correction " bien punitive " le monsieur ne plaisante pas ! ; je me demande comment la jeune femme arrive à contenir ses émotions ; méme si elle veut défier le monsieur ; elle a une sacrée résistance la petite !!
      moi je ne tiendrais pas trés longtemps !!avant de fondre en larmes et de demander gràce ( ce qui ne pas dire que mon chéri serait sensible immédiatement à : mon désarrois voulant vraiment me montrer son mécontentement et me punir )
      enfin je suppose que chaques personnes à un seuil de résistance à la douleur different
      Jacqueline

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    3. Comme pour vous, chère Jacqueline, la piste du seuil de douleur me semble la plus plausible. Toutefois y intervient peut-être au moins un autre élément important : la psychologie de la dame. Il existe des personnes avec un mental hors norme, comme dans le sport, capables d'endurer de fessées extrêmes. Ce qui n'est pas mon cas, ni ma volontés...

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  7. Bonjour Isabelle,

    Je constate avec sourire que le fantasme de la DD prend naissance avec l'éducation reçue. Comme vous Isabelle, j'étais un assez bon élève en classe en milieu de tableau, dirais-je, malgré mes absences répétées en cours d'année pour maladie. Ma matière de prédilection ? les arts plastiques. Bref.
    Cela me rappelle la remarque d'une professeure à ma mère, au Collège: Vous savez, Madame S., ce sont toujours les parents des bons élèves que l'on rencontre le plus souvent. Ils s'inquiètent toujours, malgré les bons résultats.
    Et je dirais un peu la même chose: malgré le fait d'être "bien éduqué", on aimerait inconsciemment au fond de soi, avoir de temps en temps le tempérament "frondeur" et rechercher de ce fait la sévérité parentale. Un peu comme si on était "fatigué de jouer les enfants modèles " . D'où l'envie de recevoir... une bonne fessée ! Et le martinet trônait derrière la porte de la cuisine comme menace en dernier recours. Mais au fond très rarement utilisé par notre mère qui exerçait seule l'autorité à la maison . Mac-Miche

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    1. Je crois, cher Monsieur Mac-Miche que la différence entre la fille sage et la fille pas sage se trouve dans le fait que la fille sage sait concrètement ce que la punition peut lui apporter. Toutefois cela ne la rend pas insensible aux bêtises et à la tentation d'en commettre. Surtout sachant que d’elle payera de toute façon la note sur la peau de ses fesses. Sorte de perversité de l'éducation anglaise parce que l'on prend goût au martinet et on a du mal de s'en passer. Enfin, je parle de moi là...

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    2. A monsieur Mac - Miche en effet j'ai connu la méme situation que vous étant enfant en cour de cm1 et cm 2 j'' admirais en secret une de mes amie de classe parce qu'elle était rebelle et trés effrontée!! pour l'époque ; elle répondait et provoquait la maitresse et voulait avoir toujours le dernier mot ce qui lui vallait bien des punitions.... et de belles séances... de mise au coin !! oui je l''enviais de ne pas avoir le courage de faire la méme chose étant plutot toujours sage et disciplinée et bien élevée mais qq fois un peu bavarde malgré tout mais c' était la seule transgréssion que je me permettais ...et.. pas trop souvent
      au fond je mourrais d'envie de faire comme elle et d'etre punie .... Jacqueline

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    3. bonsoir Isabelle oui pour moi la tentation de transgréssion était grande de désobeir en classe mais en étant trés consciente des retombées ensuite !! donc je m' en 'abstenais mais c'était surtout à la maison qu'il m'arrivais de commettre qq bétises et là en sachant trés bien que je le paierais trés cher ce qui se soldait par une trés sérieuses corréctions au martinet d' ou cette addiction pour l' instrument méle de craintes qui me poursuit moi aussi à l'age adulte et que j'affectionne !!! malgré tout
      amicalement Jacqueline

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