jeudi 27 novembre 2014

611 La nudité dans la discipline domestique

Tu peux garder tes bijoux, isabelle !

Il ne perd pas l'humour mon chéri, surtout quand il s'agit de me corriger. Je dirais même que dans ce cas le plus souvent il de l'excellente humeur. Et vu que la discipline domestique se nourrit en bonne partie de petites vibrations dans l'entrejambe, je suis peu étonnée que l'acte de corriger une dame gagne en saveur pour le monsieur quand il peut y ajouter un petit extra. Comme la nudité intégrale de la dame. Voila qui met en appétit l'ado caché au fond de mon homme qui en bavait pendant un bon moment pour trouver une dame (enfin une copine de son âge) qui veuille bien se mettre toute nue devant ses yeux. Et voilà, mission accomplie grâce à la discipline domestique. Soyons clairs, j'adore quand mon homme se montre comme chef à la maison. Quand il décide ce qui est bon ou mauvais pour moi et ce qui mérite punition et ce qui ne le mérite pas. Je dois admettre qu'il se débrouille très bien comme s'il sentait ce qui titille mon besoin de punition ou pas. Parfois c'est un peu absurde, mais pour satisfaire cette particularité personnelle, il faut être ouvert d'esprit, laisser son jugement de côté et ne pas manquer une bonne dose d'intuition.

Par exemple j'avais depuis mon adolescence une tendance à ne pas finir mes plats. Difficile comme ce n'est pas permis, j'étais la terreur de la personne qui fait la cuisine. Puis est arrivé mon homme. Voyant mes manières a table et après un feu d'artifice de mauvaises manières de ma part lors d'une de nos premières sorties chez des amis, il m'a préparé un petit piège le lendemain en tête-à-tête. Je n'avais pas encore fini ma phrase...

...non je ne mangerais pas de brocolis...

quand il m'avait déjà chopée au petits cheveux de ma tempe pour m'indiquer de manière très directive le chemin vers son bureau en me rétorquant:

Ce qu'on va voir !

Il ne m'a pas fait mal en me tenant fermement, mais j'ai compris qu'il valait mieux mettre ma fierté de côté. J'ai senti ô combien ce chemin vers Canossa pour mes excentricités alimentaires m'avait toujours manqué. Toutefois, difficile d'admettre le bienfait d'une action qui me mettait à la place d'une capricieuse gamine qui va...

...enfin apprendre les bonnes manières !

Mon chéri, tout frais tout beau, avait décidé que la discipline à nu s'imposait pour labourer le terrain au mieux. Je n'ai pas mis longtemps pour me déshabiller, mais déjà cette action toute seule a été hautement bénéfique pour moi. Si on considère la féminité comme une habile construction (je dirais presque une machine de guère) pour séduire par ses apparences, la nudité intégrale a pour effet de se/me retrouver femme... devant un/mon homme. C'était un moment d'émotion intense de devoir écouter sans le moindre vêtement le discours de mon chéri sur mes mauvaises habitudes. Une impression d'être prise avec la main sur... enfin je ne fais pas un dessin. Il a su rendre ma nudité pesante et sous très peu j'ai commence à regretter sincèrement ce qui m'était reproché. Nous sommes rentrés dans un rapport d'autorité de plus crédible. Puis j'ai dû adopter une posture aussi ridicule que celle de la dame et que mon homme aime appeler...

...la position du suppo pour grandes filles.

Pas de fessée à la main, mais une solide séance au martinet pour me mettre les idées en place.

J'ai réellement eu un déclic... ce jour-là.

Fait est quand je suis retournée à table en me frottant avec une main le derrière et avec l'autre mon maquillage coulé que j'ai fini sagement mon assiette. Il a fallut encore quelques autres de piqûres de rappel pour que les nouvelles idées restèrent à leur place. Il me semble dans la nature d'un besoin de punition de tester les limites. Ou selon la philosophie de mon homme :

La première fessée sert à prendre connaissances d'un mauvais comportement. La deuxième sert à faire comprendre que la première punition n'a pas été un hasard. Et la troisième sert à prendre conscience du lien entre mauvais comportement et punition.

Étant une élevé de bonne volonté, je n'ai pas tardé pour me dénoncer systématiquement au moindre écarts du droit chemin. Avec la ferme intention de vaincre mes démons. Puis d'un jour à l'autre plus de caprices sur les légumes vertes, une bonne partie des fruits et les fromages de caractère. Je me suis sentie libérée d'un poids énorme. Sans oublier un bien constatable pour ma santé. Mes proches n'en crurent pas leurs yeux.

Comme elle a changé notre petite isabelle !

20 commentaires:

  1. Il faut reconnaître que la photo est particulièrement « émouvante » et illustre à la perfection le fantasme de la bourgeoise qui a gardé comme élément de sa dignité ses cheveux ordonnés et ses bijoux - soulignant sa nudité - mais qui manifeste son obéissance et son acceptation de la punition méritée en assumant totalement l’humiliation de la position légèrement accroupie, les mains haut dessus des genoux, lui faisant exposer crument un magnifique fessier callipyge à la rougeur presque uniforme.

    On regrette de ne pas avoir la photo de face !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est une position qui se prête à une prestation particulièrement sonore, Monsieur Doumik. J'aime beaucoup votre commentaire de la photo qui me donne quelques aperçus qui m'ont échappés. Je n'avais pas pensé au charme de la « bourgeoise punie » aux yeux d'un monsieur...

      Supprimer
    2. Parleriez-vous d'expérience, chère Isabelle, quant à cette position ?

      Supprimer
    3. Ben oui! Cela s'appelle la position du suppositoire à la maison.

      Supprimer
    4. Tiens, chez nous le suppo c'est soit couché sur les genoux, soit en "Sims' position", soit sur le dos, jambes sur le torse (raffinement: faire tenir les jambes par le ou la récipiendaire).

      Supprimer
    5. Ah, je ne connaissais pas l'expression « Sims position ». En fait, mon homme aime beaucoup que je lui tende mes fesses, d'où notre position dite du suppo. Cela lui permet également de m'appliquer une bonne claque sonore.

      Supprimer
    6. Oui, nous aussi nous pratiquons les positions fesses tendues, pour la provocation, la fessée, ou d'autres activités dont le lavement, mais pas trop pour le suppo. ;-)

      Je ne sais pas comment l'on dit en France. Sims était un médecin américain qui a mis au point diverses techniques gynécologiques (dont je crois le spéculum à lames, si utilisé), malheureusement en expérimentant sur des esclaves noires. La position sur le côté (gauche pour le lavement), jambe droite pliée vers la poitrine, est confortable pour le patient aussi bien pour le lavement, la température ou le suppo, voire un toucher.

      Supprimer
    7. Voila pour mieux visualiser la position de Sims  .

      Un peu trop médical comme position à mon goût, car nous aimons bien le classicisme de la campagne française (se pencher en avant et attendre que les choses se fassent) qui ressemble étrangement pour ses habitudes au milieu bobo et aspirants bobo en Allemagne des années 80 (le lavement pendant une cure de jeune).

      Supprimer
    8. J'aurais une question: la position de la dame ne deviendrait-elle pas inconfortable, si la fessée s'éternisait?
      Je sais, normalement, quand on est puni, on ne se préoccupe pas de son confort, mais quand je donne la fessée à Simon, je fais très attention à ce que rien ne puisse le détourner de ce qui est en train d'arriver à ses fesses.
      J'évite aussi de lui demander de trop tendre ses fesses - ce que ne fait pas la dame sur la photo, j'en conviens - parce que ses fesses ne sont pas assez épaisses pour ça. On a essayé, il m'a dit ensuite que ça lui donnait l'impression que les claques tombaient directement sur l'os, donc, c'était moyen.

      Constance

      Supprimer
    9. Question tout à fait justifiée, Constance. Je pense d'abord que le centre de gravité d'une femme ne se trouve pas au même endroit que pour un homme. Ce qui permet de mieux tenir certaines positions en meilleure stabilité. Toutefois chez nous les punitions se passent assez vite. Tout au plus cinq minutes, puis j'ai un « long entraînement » pour tenir mes positions. J'ai d'ailleurs posée pour du bon quand j'étais très jeune. Alors cinq minutes c'est rien du tout. Mais disons aussi que cette posture sert avant tout pour le plaisir des yeux de celui qui punit...

      Supprimer
  2. Bonsoir Isabelle,

    La nudité ramène la personne punie à un degré inférieur à celle qui manie l'instrument de punition. Nu/e, le corps mais aussi l'esprit deviennent vulnérables. Plus de rempart d'étoffe pour cacher les parties les plus intimes. C'est la honte absolue. Et cette notion issue de la morale fait office de garde-fou de la pudeur. D'où aussi l'importance de la fessée donnée cul nu.
    En regardant ces images de jeunes femmes , et aussi moins jeunes, punies, on a l'impression qu'elles sont ramenées au rang de gamines insolentes, en oubliant leur âge. Et si, rions un peu, pour un instant, c'était la situation inverse qui se produisait. Dans laquelle, ces dames maniaient la baguette. Juste retour des choses ??
    Excellente suggestion, non ? Mac-Miche

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Personnellement je trouve que la nudité ajoute à la situation punitive un sacre rajeunissement qui m'envoie quelque part dans mon adolescence où je n'avais pas encore habitude de me servir de toutes les registres de séduction dont dispose une dame adulte. Si on enlève le côté punition de cette photo, reste tout de même selon mes expériences une position redoutable pour mettre un homme dans tous ces états. Un calibre lourd de la provocation charnelle qui se trouve ici... punie.
      Retourner la situation ? Je pense (sans prétention!) que l’anatomie masculine dans cette position n'est pas autant mise en valeur que l'anatomie féminine. Et j'aurais tendance à éclater de rire de trouver un monsieur dans cette posture avec les fesses rouges... enfin une dame aussi...

      Supprimer
  3. Bonjour Isabelle,

    Il ne fait pas l’ombre d’un doute que pour mon époux, la nudité totale est un composant obligatoire lorsqu’il pense qu’il est devenu nécessaire de me corriger. La première fois que cela survint, il veilla à ce que je me déshabille. Mais surtout, dès la seconde fois, il instaura le rituel immuable auquel il n’a plus jamais dérogé.

    Déjà, premier point, si constatant une faute, il peut me dire, mais sans que ce soit toujours le cas, qu’il y aura sanction, celle-ci ne survient jamais immédiatement, mais est reportée pour pouvoir s’accomplir dans l’intimité de notre chambre : le principal motif pour ce report est qu’il ne veut surtout pas agir sous le coup de la colère ou de la déception, et éviter toute parole blessante inutile qui pourrait nuire à notre couple.

    Le moment fatidique de la sanction arrive lorsqu’à la fin d’un dîner, lorsque tout est débarrassé et rangé et qu’au lieu d’un moment tranquille d’intimité au salon, il m’enjoint de monter prendre ma douche puis de l’attendre dans notre chambre nue à genoux devant le fauteuil où il viendra prendre place pour m’admonester et décider de l’importance de la punition. Croyez moi, cette attente est angoissante, surtout si elle s’éternise car signifiant alors le plus souvent l’ampleur de son mécontentement ….

    Mais si lors des corrections, ma nudité totale est incontournable, j’ai tout lieu de croire qu’il lui plait souvent de me voir nue, pas seulement pour me punir, et qu’il apprécie l’esthétique de mon corps (je n’ose dire beauté car c’est si subjectif ?). Je suis d’autant plus encline à le croire que peu avant notre mariage, il a fait mouler mon corps, du moins mon tronc. Ce moulage en marbre reconstitué, et qui ne cèle aucun détail ( !), est depuis exposé dans notre salon. Rares sont les amis qui savent l’origine véritable de cette statue « à l’antique » ! Ma belle-mère a fait une fois une allusion en disant qu’elle trouvait qu’elle me ressemblait beaucoup et depuis je me demande si elle n’en a pas deviné l’origine ? Quoiqu’il en soit, ce moulage m’incite et m’encourage à ne pas me laisser aller en dépit des attaques dues au temps qui passe ….

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme bien souvent j’apprends du nouveau avec vous chère Christine. Je savais que certaines personnes font mouler leur parties intimes, mais de là en mouler un tronc entier, je n'en revient pas. Comme c'est touchant. Si ce n'est pas de l'amour cela ! Toutefois quand vous faites allusion à la reproduction des détails à l'identique, je sais parfaitement à quoi cela ressemble. J'ai vu au musée de Dali à Figueras la réplique exacte d'une dame toute nue et par dessus intégralement épilée. Elle est faite dans une résine qui imite à la merveille la peau humaine. C'est assez impressionnant à regarder. J'imagine donc l'effet en marbre reconstitué.
      A vrai dire je ne saurais pas quelle serait mon attitude d'avoir le double de mon tronc exposé au salon devant nos invités ou proches. Ceci dit je comprends votre défis contre le temps.

      Merci également votre votre manière explicite de parler sur vos punitions. Votre style se prête bien pour se mettre dans la situation. Inutile de dire que pour ma part je n'aime pas les longues attentes. Je préfère nettement le moment quand je pars après ma punition au coin.

      Supprimer
    2. Chère Isabelle,

      Je pense qu’effectivement la décision qu’eut celui qui allait peu après devenir officiellement mon époux de faire réaliser un moulage de mon tronc, à l’imitation de la statue d’une femme grecque que j’ai eue l’occasion de voir au Louvre, était un acte d’amour, que je lui plaisais telle que j’étais et qu’il voulait en garder une preuve tangible pour toujours.

      Mais si j’en juge par ce que j’ai vu et entendu dans l’atelier lorsque fut faite la prise d’empreinte de mon torse pour fabriquer ce moulage en marbre reconstitué, je ne crois pas que de tels moulages soient exceptionnels, même si le plus souvent, ce sont pltôt des bustes. Il semble aussi, autre exemple que je trouve original, qu’il n’est pas rare que des femmes enceintes viennent pour garder un souvenir de leur grossesse avec leur ventre tout rond !

      Cette technique permettant un rendu très précis du corps, de ce fait, à l’image des statues grecques, il avait été proposé de ne pas mouler les détails de mon sexe au moyen d’une bande collante et un polissage ultérieur : vous ne serez pas étonnée j’imagine de savoir que mon futur mari s’y opposa catégoriquement !

      Comme rares sont ceux que nous pouvons recevoir chez nous qui savent que la statue dans notre salon est en fait un moulage de mon corps, et qu’ils ont pu aussi avoir eu l’occasion de me voir « au naturel », tels par exemple notre ami médecin ou notre ami du club ainsi que leurs femmes, cela ne me gêne en aucune façon. Quant aux autres visiteurs, il m’a toujours semblé qu’ils considéraient cette statue comme une reproduction d’un marbre antique, même si un jour une réflexion de ma belle-mère m’a instillé quelque doute …

      Mais d’une façon plus générale, ne pensez vous pas que nos hommes aiment à garder une trace pérenne de la nudité de leurs compagnes ? C’est le sentiment que j’en ai. Lorsque j’ai emménagé dans la maison de mon mari, j’avais trouvé normal d’y voir une grande et belle photo de sa première épouse qui est aussi la mère de ses deux filles, dans une pose qui m’avait un peu évoqué la « Maya vêtue » de Goya. Or, un jour où j’étais allée remiser au grenier des objets inutiles dans l’immédiat, j’ai trouvé magnifiquement encadrée une photo semblable mais en « Maya nue » ! N’ayant aucune raison d’en être jalouse, après lui avoir avoué ma découverte, je l’ai incité à la ré-accrocher dans son bureau.

      Dans le même ordre d’idée, l’épouse de notre ami médecin m’a un jour montré un très bel album avec de nombreuses photos d’elle dans le plus simple appareil ….

      Supprimer
    3. Pour répondre à votre question, chère Christine, en me référant à mon couple la réponse est oui. Mon homme semble comme votre mari vouer un certain »culte » à ma nudité de nos débuts en essayant de garder les souvenirs. De donner un air d'éternité à un moment de notre vie. Par exemple il a dans sa mallette qui l'accompagne dans n'importe quel déplacement quelque photos de moi, partiellement ou intégralement nue. Photos qui lui rappellent notre rencontre. Toutefois, il semble très serein sur le vieillissement (bien au contraire de moi) et quand il me regarde j'ai toujours l'impression d’être aussi jeune qu'à cette époque. Comme il dit, chaque âge a sa beauté. Il est vrai que pour ma part, bien qu'il commence à s'approcher sérieusement de la … soixantaine je ne l'ai pas vu vieillir et du dos il a toujours l'air d'un éternel adolescent.

      Merci pour vos explications sur ces bustes en marbre reconstitué. Je les image donc comme ce que j'ai pu voir dans le musée de Dali. A vrai dire, à moins de sélectionner strictement les personnes ayant la possibilité de voir un tel buste, je ne serais pas vraiment à l'aise devant tout le monde....

      Supprimer
  4. Bonsoir,
    Jolie state dans votre salon, Christine.
    Chez nous, la nudité est pour les punitions sévères. Si ma femme doit se dénuder entièrement, c'est qu'elle va recevoir une grosse fessée.
    D'habitude, dans notre couple, les rôles sont assez bien répartis, et chacun est en gros l'égal de l'autre et nous sommes assez à l'écoute de chacun.
    Lorsque Madame est punie toute nue, ce n'est plus pareil pendant la punition et après, dans ces cas là j'ai devant moi une épouse différente, qui ferait tout d'abord pour écourter la punition et pour satisfaire son mari après. C'est d'ailleurs amusant de l'entendre changer de ton, de paroles et parfois de dire qu'elle fera tout ce que je désire (par exemple).
    Pou revenir à la nudité, il y a un autre aspect chez nous. Nous sommes d'un génération qui ne considérait pas l'épilation du sexe comme érotique. Du coup je punis ma femme rien qu'en lui demandant de s'épiler. Elle est toujours très honteuse de se présenter devant moi comme cela et surtout si elle est grondée puis fessée, cela l'a toujours mis dans des états de honte très grands.
    Milu

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je me retrouve bien dans le comportement de votre dame, Monsieur Milu. La nudité dans un contexte punitif est déconcertante et cela se remarque, surtout pour un monsieur qui connaît parfaitement les réactions et le comportement de sa dame depuis des années.
      Je sais de mon homme que le regard sur l'épilation dans le temps était bien différent que de nos jours. Que la nudité de cette partie à une certaine époque s'associait à une grande honte et valait bien une punition. Merci d'avoir soulevé ce détail qui enrichit le sujet.

      Supprimer
  5. c'est une excelente chose d'obliger la punie à se déshabiller complètement pour la fessée. après tout, la fessée est la plus haute preuve d'amour, quoi de plus normal dès lors que la punie soit dans la tenue pour l'amour ?

    RépondreSupprimer
  6. Alors pour une trouvaille cela en est une: La nudité comme tenue pour l'amour! Je prends bonne note;

    RépondreSupprimer