Ah
ces culottes ouvertes qui selon certains...
J'en ai dans mon tiroir de lingerie,
version longue et version courte. Aucun rapport à vrai dire avec
notre discipline domestique. Déjà, il est très rare que mon homme
m'impose tel ou tel autre vêtement dans un contexte punitif, alors
le reste du temps je fais ce que j'ai envie de faire. Quand le chat
n'est pas là, les souris dansent sur la table. Et justement, parfois
j'aime beaucoup ce genre de culotte sous une longue robe. C'est se
promener autrement sans culotte, car on se demande bien ce que ce
vêtement était censé de cacher. Il y a une quinzaine d'années on
en trouvait encore dans les brocantes et friperies. Certes, il
fallait beaucoup de patience pour les remettre en état et surtout
pour les blanchir au maximum. Mais il y avait le plaisir de chiner à
deux le dimanche matin, après un long petit déjeuner en tête à
tête, en évoquant le plaisir à tirer d'une telle trouvaille et qui
fait saliver d'avance. J'aime comme le regard de mon chéri
s'illumine, comme il s'y croit déjà, comme il spécule sur l'aspect
pratique, sur l'aspect ludique... Un grand enfant en attendant le
père noël. J'ai donc documenté un peu dans mes liens les
différents possibilités qu'offrent de telles culottes. Après une
longue semaine, rongée par la grippe, je n'arrive pas encore à
émerger vraiment. Je vais donc rester très brève pour aujourd'hui.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerIl n’y a pas dans ma garde-robe de culotte semblable à celles qui sont illustrées par vos liens ! Néanmoins, j’en ai une qui y ressemble un peu, une culotte bouffante assez longue, en coton blanc, qui n’est pas cousue à l’entrejambes, de style comme je crois qu’on en portait à l’ère victorienne.
Elle fait partie d’une tenue complète que nous avons achetée il y a deux ans de cela, lorsque nos amis de ce club privé, pour une de leurs soirées à thème, ont choisi comme thème le « burlesque ». Mon mari a décidé de jouer le jeu, et c’est ainsi que j’ai un beau corset en taffetas rouge et noir avec décolleté « en cœur », que j’ai porté avec une jupe longue en satin noir avec plein de plis derrière pour donner du relief à mon popotin, sous lequel il y avait bien sûr cette culotte, et des bas résille, sur des escarpins noirs.
J’ai eu plein de compliments pour ma tenue ! Pour rester dans la note, en cours de soirée, à la demande de nos amis, j’ai quitté ma jupe pour donner un peu plus l’ambiance burlesque en un peu moins sage : la culotte est ainsi faite que je crois que néanmoins personne ne s’est aperçu qu’elle est ouverte à l’entrejambes : en tout cas, personne n’en a fait la remarque ! ….
En principe, fin mai, nos amis ont prévu de refaire ce thème du « burlesque », et ce sera une occasion de porter à nouveau cette tenue.
J'aime beaucoup votre commentaire, Christine ! J'ai souvent l'impression que bien de personnes imaginent un couple avec un penchant pour la discipline conjugale de manière très austère et dépourvu du moindre humour ou de sens de fête. Comme si le sérieux d'un côté, n'étais pas conciliable avec une vie de plus joyeuse de l'autre. Pour ma part je pense que justement l'aspect « chaque chose en son temps » ajoute une profondeur supplémentaire à la vie. Alors oui, je vous imagine très bien dans votre superbe costume passer une excellente soirée. Je me pose la question de ma propre réaction dans une telle situation où personne ne fait de remarque, car je pense que bien évidement tout le monde à du comprendre la particularité de votre culotte. Pour le moins que l'on puisse dire, j'imagine un tel vécu fort troublant...
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