(Suite de : 485
Faire perdre le calme au monsieur 1)
Assumez
votre position !
Un beau matin, en congé et me sentant
un bon mordant, je me suis soigneusement pomponnée en
parfaite
secrétaire comme pour aller au travail.
Petit tailleur jupe et chemisier à motif sur fond blanc. Par contre
j'ai mis le grand jeu pour mes sous-vêtements, notamment des bas
couture que j'évite soigneusement dans un cadre professionnel. Puis
j'ai pris le courrier de mon chéri entre mes dents. Déjà pour
éviter cet air coincé qu'occasionne une position entre les lèvres.
Me voilà donc par la force des choses parée d'un sourire cheese
outrancier. Confirmé par un bref regard dans la glace de notre
couloir. Je me regarde d'ailleurs toujours avant de rentrer dans le
bureau de mon homme. Bien élevée par mon papa, il en va de soi que
je frappe à la porte avant d'y entrer. Certes, il travaille à la
maison, mais ce n'est pas une raison pour me croire tout permise.
Après avoir ouvert la porte, en route à quatre pattes pour
surprendre mon homme... qui ne se doute de rien. Plongé dans son
travail, il marque une petite pause avant de se tourner avec sa
chaise en arrière pour se consacrer à moi. Il est toujours très
attentionné quand je viens le voir, sachant qu'il n'est pas dans mes
habitudes de le déranger pour rien. Habituellement je me tiens
strictement à ses horaires de pause.
Enfin, parfois il y a un laisser
aller... pour des conseils sur ma tenue du jour par exemple. Quand
nous avons prévu une sortie pour plus tard. Toutefois je limite mes
interventions (c'est plus fort que moi!) au stricte minium pour ne
pas courir le risque qu'il sorte le martinet de son tiroir. De plus,
vu que j'arrive lui questionner en sous-vêtements, ma présentation
se prête pour une remise sonore sur le bon chemin.
J'avance carnassière à souhait,
animale comme aiment dire certains ! Suggérant ainsi que les
forces instinctives libérées emportent sur les bonnes manières, la
retenue sociale, voire sur les inhibitions de la dame. En gros, le
fantasme de la dame déchaînée, de la nature sauvage à dompter et
je ne puis m’empêcher d'imaginer mon homme la cravache en main.
Surprise, amusement, émerveillement...
son visage me livre ses impressions comme elles viennent. En temps
réel et sans préméditation. Magnifique occasion de lire dans son
âme. S'ajoute, vu ma position si proche du sol, cette obligation de
lever mon regard haut, très haut. Ce qui me donne un air très sage.
Il ne dit rien et contemple le spectacle. J'accentue mes mouvements
et en faisant attention de bien balancer mon derrière dans ma jupe
droite, puis en ondulant impatiente mes hanches quand je me trouve à
ses pieds. Malheureusement mon chéri, ne connaissant pas le film,
ne peut se douter de mes envies de reproduire la scène du bureau. En fait, toujours partante pour
les provocations les plus farfelues, je suis souvent rejointe par mon
besoin de punition qui m'impose d'expier mes audaces par de
claquantes fessées. Phénomène de plus banal. On oublie souvent les
différentes facettes d'une « vilaine fille ». Non
seulement elle se livre de manière la plus éhontée aux activités
manuelles, mais aussi aime-t-elle imposer son pouvoir... de séduction
sur le monsieur de son choix en ne reculant devant rien. Sorte d'ange bleu qui souhaite pervertir une honnête homme !
Voila
qui mérite une cuisante punition.
Je me suis glissée à l'oreille de mon
homme pour lui chuchoter mes vilaines fantaisies. Je lui parle de mon
désir qu'il me plie sur son bureau pour … lire une lettre pendant
qu'il me corrige.
Fort
chéri, très fort, ma culotté baissée...
Je le connais trop bien. Je sais les
mots qu'il aime, les intonations qui le font frémir, les gestes qui
mettent son sang en ébullition. Puis une fois expié... mon vilain
besoin punition, je serai encore plus redoutable. Mais d'abord je
vais sagement et avec beaucoup de plaisir assumer ma position !
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