mardi 11 mars 2014

484 Quand l'acte n'est pas à la hauteur de la menace

Les bonnes manières....


Quel superbe « on », si jovial qui ne laisse aucun doute sur le côté consensuel de la punition qui se prépare. Mon chéri fait partie de ces éducateurs qui ne s'encombrent pas avec les élevés rebelles. Lui, il aime la motivation, le travail acharné, la sueur. Cela tombe bien, car pour ainsi dire mon côté rebelle sans être inexistant doit tout de même converger vers zéro. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, je ne suis ni fataliste, ni éperdument soumise, plutôt une adepte de la liberté (terme bien souvent ô combien sans réel contenu) dans le sens d'Engels comme compréhension de la nécessité.

Je sais très bien que sans la fessée, il y a quelque chose d'essentiel qui me manque.

Je la considère donc comme une nécessité pour mon bien-être. Je fais l'impasse sur ma passion pour les galipettes, mais disons que même célibataire je n'ai jamais été en manque.... de compagnie charmante et compétente à ce propos, tandis que pour satisfaire un besoin de discipline sans faille, c'est une autre chanson.

Passons et retenons que par sa jolie menace concernant la peau de mes fessées, mon chéri m'annonce une action dirigée vers mon derrière. C'est un peu comme dire: « tu vas voir tes fesses » ou « tu l'a sentiras bien celle-là ». Bref une expression qui s'oppose radicalement à un « occupe toi de tes fesses ». Voila en gros, merveille des merveilles, je dispose d'une personne qui pense à moi et surtout qui s'occupe d'une partie de mon corps dont on conseille généralement de s'en occuper tout seul. Est-ce que pour cela que le faible pour la fessée éducative à l'âge adulte est souvent associé à une certaine « jeunesse d'esprit ?».

Pour certains et certaines l'activité claquante est une forme particulière de body painting. Elle se sert d’ingrédients naturels et ne pose pas le moindre risque d’allergie. Puis, la peinture s’efface toute seule au fil des heures (enfin parfois c'est plus long). Je me souviens d'un jour où j’avais tellement exaspéré Monsieur par ma mauvaise fois qu’il n’en pouvait plus :

T’as trop souvent l’insouciance d’une gamine isabelle. J’aimerais te graver ton âge sur tes fessées pour que tu le retiennes mieux.

Bon, il n’ y avait rien de bien particulier dans ce qui s’est passé. J’ai reçu une déculottée sans élan (mon homme, le pauvre, était vraiment épuisé ce jour-là) avec un nombre de claques correspondant à mon âge. Une fois relâchée, ne manquant pas d'insolence et quelque peu déçue, je lui ai tiré la langue pour son manque d'attention à mon égard.

Pfff…fais un petit effort. Tu m’a promis une éducation de qualité et je constate un laisser aller…

Je dois dire que je cours très vite sur mes hauts talons quand j’ai embêté mon homme…mais le but du jeu c’est quand même qu’il me rattrape. Il en était ravi de ce petit interlude, car ma course autre sur mes hauts talons se passa avec ma culotte autour de mes chevilles et mes fesses rouges en l'air. Bon, pas de quoi de se vanter de m'avoir rejointe au bout de quelques pas. Et là, il n'a pas voulu manquer encore d'attention. Bref il m'a montrée qui commande à la maison en s'occupant de moi (encore) sur le tapis. Conclusion : Parfois il vaut mieux renoncer à un rappel punitif et impressionner la petite dame autrement !

Conclusion bis : Soumise, avez-vous dit soumise ?

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