Les
bonnes manières....
Quel superbe « on », si
jovial qui ne laisse aucun doute sur le côté consensuel de la
punition qui se prépare. Mon chéri fait partie de ces éducateurs
qui ne s'encombrent pas avec les élevés rebelles. Lui, il aime la
motivation, le travail acharné, la sueur. Cela tombe bien, car pour
ainsi dire mon côté rebelle sans être inexistant doit tout de même
converger vers zéro. Contrairement à ce que l'on pourrait penser,
je ne suis ni fataliste, ni éperdument soumise, plutôt une adepte
de la liberté (terme bien souvent ô combien sans réel contenu)
dans le sens d'Engels comme compréhension de la nécessité.
Je
sais très bien que sans la fessée, il y a quelque chose d'essentiel
qui me manque.
Je la considère donc comme une
nécessité pour mon bien-être. Je fais l'impasse sur ma passion
pour les galipettes, mais disons que même célibataire je n'ai
jamais été en manque.... de compagnie charmante et compétente à
ce propos, tandis que pour satisfaire un besoin de discipline sans
faille, c'est une autre chanson.
Passons et retenons que par sa jolie
menace concernant la peau de mes fessées, mon chéri m'annonce une
action dirigée vers mon derrière. C'est un peu comme dire: « tu
vas voir tes fesses » ou « tu l'a sentiras bien
celle-là ». Bref une expression qui s'oppose radicalement à
un « occupe toi de tes fesses ». Voila en gros, merveille
des merveilles, je dispose d'une personne qui pense à moi et surtout
qui s'occupe d'une partie de mon corps dont on conseille généralement
de s'en occuper tout seul. Est-ce que pour cela que le faible pour la
fessée éducative à l'âge adulte est souvent associé à une
certaine « jeunesse d'esprit ?».
Pour certains et certaines l'activité
claquante est une
forme particulière de body painting. Elle se sert d’ingrédients
naturels et ne pose pas le moindre risque d’allergie. Puis, la
peinture s’efface toute seule au fil des heures (enfin parfois
c'est plus long). Je me souviens d'un jour où j’avais tellement
exaspéré Monsieur par ma mauvaise fois qu’il n’en pouvait
plus :
T’as trop
souvent l’insouciance d’une gamine isabelle. J’aimerais te
graver ton âge sur tes fessées pour que tu le retiennes mieux.
Bon, il n’ y avait rien de bien
particulier dans ce qui s’est passé. J’ai reçu une déculottée
sans élan (mon homme, le pauvre, était vraiment épuisé ce
jour-là) avec un nombre de claques correspondant à mon âge. Une
fois relâchée, ne manquant pas d'insolence et quelque peu déçue,
je lui ai tiré la langue pour son manque d'attention à mon égard.
Pfff…fais
un petit effort. Tu m’a promis une éducation de qualité et je
constate un laisser aller…
Je dois dire que je cours très vite
sur mes hauts talons quand j’ai embêté mon homme…mais le but du
jeu c’est quand même qu’il me rattrape. Il en était ravi de ce
petit interlude, car ma course autre sur mes hauts talons se passa
avec ma culotte autour de mes chevilles et mes fesses rouges en
l'air. Bon, pas de quoi de se vanter de m'avoir rejointe au bout de
quelques pas. Et là, il n'a pas voulu manquer encore d'attention.
Bref il m'a montrée qui commande à la maison en s'occupant de moi
(encore) sur le tapis. Conclusion : Parfois il vaut mieux
renoncer à un rappel punitif et impressionner la petite dame
autrement !
Conclusion
bis : Soumise, avez-vous dit soumise ?
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