En très
peu de temps mon homme a su intégrer habilement mes habitudes de
célibataire (ménage à nu) et les petites trouvailles mignonnes
venant de notre vie commune (la déculottée maison, petits tabliers
etc) dans sa « didactique punitive ».
Il entend par cette expression une forme d'enseignement de bonnes
manières et comportements en utilisant des châtiments corporels
et/ou moraux (exemple par excellence : le coin!) qui sont sensés
de flirter avec les limites de ma pudeur. Au lieu d'augmenter pour
récidive ou fautes graves le seuil de douleur de ma correction, il
préfère me surprendre par son originalité.
Et je ne
peux qu'approuver ses méthodes. C'est mon côté petite aventure au
quotidien qui est comblé. Certes, j'appréhende mes corrections pour
leur aspect physiquement très désagréable, mais cela reste
toujours bon enfant concernant mon épiderme.
Il y a des
personnes qui associent à la DD à des taches multicolores sur le
fessier d'une dame récalcitrante. Ou à une variante de jeu
« exquis » qui se passe dans un manoir sombre à la
Donatien Alphonse. Ni l'un ni l'autre chez nous. Notre DD sert plutôt
à enlever les taches et se passe dans un décor très lumineux
qui... brille.
Il
en va de soi que faire le ménage non seulement dans une nudité
intégrale, mais de plus avec les fesses toutes rouges d'une
correction qui vient d'être fraîchement appliquée, n'est pas chose
commune.
Pour cette
raison j'ai pris le temps pour bien raconter les éléments qui
étaient déjà en moi avant de connaître mon homme.
Personnellement
la corvée du ménage me paraît une excellente punition. Non
seulement de plus utile, je la trouve aussi hautement éducative en
fait. Car comme toute éducation digne de ce nom, qu'elle soit
anglaise ou pas, archaïque, conservative, traditionnelle ou
ultramoderne ce ne sont que les méthodes qui varient, mais le but
reste toujours le même.
Apprendre
à différer ses besoins, ses désirs et ses envies.
Il existe
d'ailleurs des fort intéressantes études sur le bienfait de la
capacité de différer. Alors pourquoi ne serait-il pas de même en
cas de besoin de punition ?
Arrête
de délirer, isabelle !
Zut,
je me suis laissée encore trop aller.
Alors je
formule autrement. Autant pour mon homme que pour moi, le caractère
particulier démonstratif de ma punition crée et maintient une
tension fort excitante pendant le reste de la journée et qui trouve
sa « décharge » plus tard le soir.
Vous savez quoi? Lire ce texte est une excellente façon de faire une pause pour moi ce matin. Dans la mesure où Simon a dû se rendre à une réunion et où nous ne sommes définitivement rentrés chez nous qu'hier soir, depuis le petit déjeuner je trie les papiers, vide et nettoie le frigo, plie le linge avant de préparer les lessives.
RépondreSupprimerC'est quand même méga chiant, j'ai hâte que Simon revienne, tiens.
Chère Constance
RépondreSupprimerEn lisant que vous videz et nettoyez le frigo je me suis chopée un des ces fou-rires pas possibles. Non pas que je doute du caractère pénible et chiant de votre travail, mais en pensant à mon homme. En fait j'ai l'interdiction d'accomplir ces taches (comme aussi vider les poubelles ou toute autre chose de pénible). Terrible mon homme avec ses interdictions « sexistes ».. Alors c'est lui qui s'en charge de dégivrer et de nettoyer le frigo et aussi de l'organiser. Et sa façon de s'imposer verbalement ressemble à s'y tromper à une vielle pub française qu'une bonne copine m'a faite découvrir. Il s'agit de celle du « liquide vaisselle moumoune » et elle est encore sur le net.
http://www.youtube.com/watch?v=QZ-GCn3ZhZ8
Commentaire de mon homme me voyant d'aussi bonne humeur: Je crois cette bonne copine s'est moquée avant tout de toi isabelle.
Effectivement je me retrouve bien dans les allures, poses et mimiques de la dame présentée.
Là pour une fois je suis vraiment gênée.