Comment
t'es arrivée à faire un blog, isabelle ?
J’ai
fait mes premiers pas sur le net le 5 septembre 2006. Il y a pile
poil 6 ans aujourd'hui.
Sur
le forum du site Discipline Domestique qui affiche maintenant un
message d'erreur! Induite un peu en erreur par le nom de ce forum, je
ne regrette pas du tout ma participation. C’était enrichissant
comme expérience. Il y avait bon nombre de belle plumes et la
créativité était à l'ordre du jour. Alors si la fermeture
s’avérait définitive, je ne serai pas seulement triste, mais je
regretterai surtout la perte de tant de beaux récits, belles pensées
et échanges brillants.
Je viens de
relire par nostalgie certaines de mes contributions (que je conserve
en double comme tous mes écrits ; c'est tellement simple avec
un ordinateur de stocker de l'info !) pour ce forum . Ce sont
les ancêtres de mes posts de maintenant. Je crois d'ailleurs que je
vais rééditer de temps en temps quelques textes anciens...
C’est un
monsieur qui tient un excellent blog (Au
fil des jours…au gré du temps) qui m’a fait très vie
comprendre que je serais plus à l’aise dans un « format »
blog. Il avait bien raison, mais il m’a fallut longtemps pour me
décider.
Et il m’a
fallut encore plus de temps pour faire quelque chose de très
personnel, intimiste et atypique en matière de blogs du genre.
Réaliser cette envie de parler aux personnes qui aiment l'idée de
donner une petite place aux corrections cuisantes dans leur vie de
couple et qui dépassent le cadre d'un simple jeu récréatif.
Parler sans
langue de bois de mon désir de vraie fessée punitive entre adultes.
Sans passer par un prétexte érotique.
Sortir du
cliché de personnes immatures, de la soumission, de la dépendance
affective…
La fessée
comme moyen d’être soi-même autrement, en harmonie avec son monde
intérieur.
Ce blog n’a
pas pour but d’aborder les aspects «récréatives» de cette
pratique. Il met en avant les émotions (et non les excitations) et
les réflexions qui s’y rapportent.
Je réponds
à toute question sérieuse sur la discipline domestique dans cette
rubrique. Il suffit de me contacter par mail ou en laissant un petit mot ici .
Je précise
que je ne tiens pas un chat distractif et que je ne réponds pas aux
propositions de rencontre. Si, si je sais pourquoi je dis cela !
Ceci dit
j'ai débuté avec des récits. Alors demain à l'occasion de mes six ans
sur le net je rééditerai mon tout premier texte, publié à
l'époque sur le forum de Discipline Domestique !
le site Discipline Domestique :
RépondreSupprimerhttp://disciplinedomestique.online.fr/index2.php n'a pas l'air mort...
Effectivement! Il n'y a plus de message d'erreur et tant mieux. J'aime bien y aller de temps en temps pour me plonger dans le passé.
SupprimerBien d'accord avec vous qu'il n'y a nul besoin de justifier son besoin de fessée par l'excitation érotique immédiate, ou qu'il s'agit d'une forme d'exploitation affective, sans parler des clichés fétichistes sadomasochistes.
RépondreSupprimerPourtant, en ce qui concerne l'érotisme, il me semble clair, en tout cas dans notre couple, que la fessée prépare tant le/la fesseur/fesseuse que le/la fessé(e) à l'acte conjugal. Chez nous, dans la mesure du possible, le châtiment pour énervement, paresse, mauvais comportement, etc. est administré le soir ("une fessée et au lit"), et est habituellement suivi d'un rapport dans une position telle que le contact des fesses rougie avec les draps rappelle son récent châtiment au puni/à la punie.
La position de l'épouse sur les genoux lui permet d'ailleurs de passer vite de la punition à, disons, un réconfort digital.
La fessée acceptée, et même demandée, à la fois excite, et calme les énervements et ressentiments.
C'est toujours instructif d'espionner les habitudes des autres et c'est plaisent de vous lire. A chaque ménage sa recette.
RépondreSupprimerPour notre part nous aimons bien la fessée en fin de l'après-midi. De préférence à une heure fixe pour souligner les éléments rituels. Une fessée et au lit, c'est plutôt l’exceptionnel. Ceci quoiqu'il en soit la « réconciliation » sur l'oreiller ne manque quasiment jamais.