Je n’ai pas pu résister à la tentation de copier sur ma
belle mère et de suspendre la ceinture à la garde-robe. Manière de tester quel
effet cela fait de l’avoir devant mes yeux à chaque fois que je passe à côte. Ce
fut un frisson instantané comme si la ceinture me disait :
Désormais
dans cette maison règne une discipline de fer !
Et j’ai compris mieux les vieux conseils de garder un instruments
bien en vu de celui ou de celle qui est sensé de le recevoir en cas de mauvais
comportement. Un rêve de mon adolescence qui se réalise : la discipline qui
prend sa place au quotidien.
Mon homme en rentrant à la maison, surpris et amusé à la
fois, ne put s’empêcher d’un petit commentaire :
Ah voila des excellents pénates !
La discipline domestique n’est ni la fessée sous un prétexte
ou à n’importe quel prix. C’est ainsi que la ceinture prit l’air pendant
quelques jours en attendant l’occasion pour servir. Non pas sans me rendre
particulièrement nerveuse.
Expression qu’affectionne ma belle mère en décrivant ainsi
un comportement caractéristique de mon homme étant jeune ado qui semble
exprimer un fort besoin de discipline corporelle. De son côté mon homme m’a confirmé cet irrésistible
et inexplicable désir qui se calmait uniquement après un bon usage de la
ceinture sur ses fesses.
Je
pense que l’un des secrets majeurs de l’attirance pour la discipline domestique
se trouve dans cette ladite « nervosité » qui nous éloigne bien du
conformisme actuel qui préconise la fessée pur plaisir entre adultes.
Bref, j’affichai un comportement de plus en plus affligeant,
ce qui n’échappait pas à la vigilance de mon chéri.
Je te trouve bien nerveuse,
isabelle. Arrête de chercher les limites. Sinon je décroche la ceinture.
Soyons clair, il est très patient mon chéri. Il préfère me mettre
en garde plutôt deux fois que l’une. Mais quand il y a un trop, il n’hésite pas
de réagir. Et c’est justement ce que j’attend de lui et ce que j’aime en lui.
Son sens d’initiative, de prendre une décision, son agir avec fermeté.
J’ai eu droit à la ceinture façon maison, c'est-à-dire toute
nue, allongée sur ses cuises. Pour faciliter l’emploi, monsieur l’avait plié en
deux en faisant surtout attention de tenir fermement la boucle dans sa main pour
éviter tout débordement non désiré de ma punition.
Comme j’avais entendu de sa bouche, la ceinture causa une
douleur soutenu, mais sans exagération. Par sa texture rugueuse, elle dégageait
même une certaine sensualité qui s’accompagnait d’un « boucan d’enfer » dû
à sa largeur. Voila donc une fessée qui ne passe pas inaperçu aux oreilles
indiscrètes au cas où il s’en trouve dans les parages.
Quand j’ai rejoint un peu plus tard mon coin pour ma
méditation post-punitive, je sentais une brûlure uniforme dans mes fesses.
Aussi uniforme que la couleur que je découvrît encore un peu plus tard dans la glace
avant de me rhabiller. Et – louée soit cette ceinture- pas la moindre trace
disgracieuse.
Effectivement
un instrument judicieusement choisi.
Ce jour là je me suis couchée avec une fierté certaine
d’avoir été « honorée » par le même instrument qui avait servi jadis sur
mon homme. Cela crée des liens intenses.
La ceinture de ma belle mère n’a servi que d’une très courte
durée chez nous. Toutefois elle a eu un destin assez singulier qui mériterait
un de ces jours un post à part.
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