"Il existait des punitions que l’esprit du siècle désavoue avec raison, parce qu’elles humiliaient de jeunes âmes. Je veux parler de la flagellation et autres punitions corporelles, dont certains maîtres faisaient un horrible abus. De nos jours, la discipline des collèges est soumise à des règlements généraux; les proviseurs et les principaux ne peuvent s’en écarter."
Ce petit texte montre une étonnante ouverture d’esprit pour l’époque. Seulement en matière de fantasmes la raison n’apporte pas grand-chose.
Presque deux cent ans plus tard et malgré une interdiction des châtiments corporels dans l’enseignement, nombreux sont encore les personnes qui mettent au centre de leurs fantasmes une bonne fessée dans un cadre scolaire. Reçue ou appliquée ne change rien au fait.
Mon homme est un excellent exemple pour des telles rêveries. Il aime beaucoup me voir habillée en « étudiante studieuse », perverse et provocante à souhait et il passe beaucoup de temps à me trouver des tenues adéquates.
Evidement ceci ne rentre pas dans le cadre de notre discipline domestique et se situe au niveau d’un simple jeu entre adultes. Mais à chaque fois quand j’ai finalement reçu ma bonne fessée à la main, je me montre particulièrement entreprenante. Rien en commun avec la dame passive qui attend patiemment la suite…
Comme dit mon homme :
Le feu aux fesses te va si bien, isabelle !
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