L'insolence
depuis toute petite c'est mon péché mignon.
Ou devrais-je dire mon pot de chagrin.
Généralement mon dérapage ne part pas d'une mauvaise intention, ni
s'agit-il d'un acte prémédité. C'est plus fort que moi et
subitement je ne me sens plus. Comme j'ai compris plus tard, ces
fâcheux incidents ne se produisent pas de manière aléatoire. Ils
sont liés à certaines situations, à certaines personnes. Les deux
exemple les plus flagrants : ma mère et puis plus tard ma belle
mère. Et par extension un peu de tout qui touche à la rivalité
féminine, notamment quand l'enjeu c'est l'homme de ma vie. J'ai
commencé très tôt, après chaque « hors piste » de
regretter vivement mon comportement au point de souhaiter une
punition à la hauteur de mon méfait. Punition que je désirai au
début appliquée à la main, devant ou par la personne offensée.
Puis est arrivé un jour mon goût pour les instrument. Finalement à
forcer de peaufiner, j'ai trouve ma rêverie parfaite avec une la
bonne déculottée au martinet comme finale.
Mon élan d'insolence est – bien
heureusement - de nature verbale et j'essaye d'imposer mon point de
vue d'une manière fort sonore, injustifiée et particulièrement
chargée d’affects. Allant de l’effronterie à une attitude
particulièrement irrespectueuse comme s'il y avait un compte à
régler. Avec le recul j'ai l'impression de me dresser devant ma
cible comme un phare dans la mer qui regarde de haut ce petit monde
qui navigue en bas. Qui essaye d'imposer la bonne route, enfin ma
vision de la bonne route, avec force. Active au point de vouloir
astreindre les autres à une position passive. Étoile brillante au
sommet de sa gloire. Sorte d'expansion narcissique qui ne frôle pas
seulement le ridicule, mais qui le représente à la merveille.
Mon homme me connaît bien et sait
intervenir discrètement avant que je ne m'emporte trop. Il trouve un
prétexte pour me tirer du « lieu du crime » et quand il
me sent trop énervée il me propose de rentrer. Puis commence à se
dessiner un renversement total de la situation. Avec d'autres mots, à
la maison c'est au mieux le martinet qui m'attend au pire la canne.
Un apprentissage de mes limites, une rigoureuse remise à ma place.
C'est la chute libre ! Il n'y a pas de lézard et l'insolence
publique, faisant partie de notre discipline domestique, ne restera
pas sans sanction. Ce sera la fessée cul nu, mon homme ne ménage
pas les mots et moi qui se sentait juste quelques instants auparavant
en pleine gloire et ascension vers des sommets inconnus, je me trouve
subitement exposée à une situation particulièrement honteuse,
indigne d'une adulte... à moins qu'elle fasse comme moi et en
redemande. Déculottée, je vais devoir présenter mon derrière dans
une impudeur parfaite pour une correction de taille. L'action est
bien différente des câlins en couple quand la dame se prête
désireuse aux assauts du monsieur. Subitement notre petit ménage ne
se base plus comme dans le récréatif sur l'attribut principal de ma
féminité qui attire et émoustille tant mon homme, mais sur un
rapport purement éducatif. Je serai sévèrement punie sans
récompense charnelle. Sans qu'il ait question d'un rapport de
séduction. C'est comme si on m’enlevait le sol sous mes pieds, de
ce terrain qui est profondément le mien, la séduction et sur lequel
je suis si à l'aise. S'installe alors un autre rapport qui me
trouble et dans lequel ce n'est plus moi qui mène le jeux. Un
rapport d'autorité bienveillante, librement accepté par moi et
censé de rééquilibrer un profond malaise que je ressent à cause
de mon comportement.
Et bien que ma correction se passe
entre quatre yeux, dans l'intimité entre mon homme et moi, j'ai
l'impression de me donner en spectacle. Devant ma mère ou ma belle
mère, devant la personne offensée qui se réjouit maintenant que
justice soit faite et que je paye si chèrement mon dérapage. Je ne
fais plus la fière, hautaine avec un regard qui surplombe la
montagne. Non, maintenant mes yeux sont baissés et mon visage rouge
de honte de devoir exposer la nudité de mon derrière de manière particulière. Ce que
j'estime moi-même d'ailleurs comme une excellente entrée en matière
et comme un châtiment approprié à la hauteur de ma faute. Plus
glorieuse du tout, je suis obligée de me dévoiler au plus intime de
moi. Devoir baisser ma culotte pour recevoir une correction sur les
fesses et afficher ainsi mon constat d'un échec. Non seulement de
mon comportement inadmissible, de mon manque flagrant de bonnes
manières, mais aussi la lourde tache de renoncer à mes privilèges
d'adulte et reconnaître le besoin que quelqu'un me prête main forte
pour me remettre sur le bon chemin.
Penchée en
avant, les jambes écartées, le regard droit devant, comme nous
avons l'habitude, isabelle !
Voila la mise à nu psychique qui
alterne avec la mise à nu physique. Qui explique au spectateur qui a
bien évidement dans ma fantaisie vu traîner le martinet à la
maison, la raison exacte de la présence de cet instrument chez nous.
Et subitement il comprends mieux pourquoi tel jour je ne voulais à
tout prix pas m'asseoir, pourquoi je me dépêche quand mon homme me
met en garde et surtout pourquoi j'affiche de plus en plus souvent un
comportement exemplaire depuis que je connais mon homme.
Tu reçois
encore le martinet isabelle ? A ton âge ! Remarque, ça
l'air de te réussir.
D'habitude, je ne me pose pas de
problèmes métaphysiques de présenter mon derrière devant mon
homme. C'est plutôt un acte tout naturel. Mais là, il y a
changement d’atmosphère, cette sensation de rendre tribut à un
public imaginaire qui se moque avec grand plaisir de ce qui m'arrive. De plus un derrière n'a pas d’œil
et il est facile d'imaginer beaucoup de choses qui peuvent se passer
dans son dos. Voilà notre étoile devenue bien modeste, à nouveau
un être comme tout le monde. Comme preuve elle exhibe, ce qui crée
le triomphe du spectateur, bien visiblement l'endroit d'ordinaire le
plus caché de la nature humaine, cette petite arrière porte qui -
si elle pouvais rougir- serait aussi intensément colorée comme ce
qui attend tout le derrière. Mettre la honte aux joues, celles qui
sont de plus volumineuses chez une femme par caprice de la nature.
Mais le spectacle ne se limite pas à une simple copie des rougeurs
d'un couché de soleil. Il sera également sonore, très sonore. Car
cela permet mieux d'imaginer ce qui arrive au pauvre popotin qui se
prend une sacré raclée. Douloureuse, cela va de soi. Voila qui prépare la contrition, l'abandon de toute fierté aux yeux des tous
et toutes, en admettant à haute voix ses manquements, ses regrets et
ses promesses que cela ne se reproduise plus. Et - difficile de
distinguer - si les claques produisent un écho où s'il s'agit du
public qui applaudit l'éducateur pour l'efficacité de sa méthode. Et
même si l'evénement qui à cause la punition risque de se
reproduire, le pitre spectacle de la star déchue, a satisfait les
offensées. Pleinement. Peut-être, émues par les spectacles,
souhaitent-elles que cela se reproduise. C'est le moment du pardon,
mais avant d'en bénéficier, il faut encore une méditation de la
punie pour se remettre de ses émois et pour bien comprendre ce qui
lui est arrivée. Et accompagnée de petits rires qui ne
s'attendaient pas à ce rebondissement, je m'en vais pour rejoindre
le coin, mon coin que j'ai l'habitude de fréquenter après mes
punitions.
Je n’ai jamais été corrigée par mon mari devant un tiers. Il n’en a jamais été question, je pense qu’il n’en a pas le fantasme, et j’en suis fort aise : j’en aurais trop honte et je ne sais pas comment je pourrais le supporter. Ai-je été fessée dans ma prime jeunesse en public ? Ce n’est pas impossible, mais je n’en ai pas du tout le souvenir, donc si cela a eu lieu, cela ne compte pas ! Et je ne me vois pas en train de demander à ma mère de révéler un tel souvenir, d’autant plus que je me demande, à cause de certaines remarques, si elle ne se doute pas parfois comment je peux être punie par mon mari.
RépondreSupprimerIl y a une honte que je ne connais pas, c’est de se voir être déculottée pour être punie, et pour cause, car cela fait 17 ans que je ne mets plus jamais ce sous-vêtement ! Tout a commencé au début de notre liaison, quand il lui est arrivé de temps en temps, par exemple pour sortir le soir en boite, d’être cul nu sous ma jupe : je crois que c’est un fantasme classique chez les mecs, et que cela doit arriver plus d’une fois chez les filles, n’est-ce pas Isabelle ?!!! Or il se trouve que je suis sujette à avoir très facilement des pertes blanches : nous nous sommes alors rendus compte que cette nudité favorisait la guérison, que poursuivie sur plusieurs jours, mon handicap disparaissait. Il m’a alors enjoint de ne plus jamais mettre de culotte, slip, string, enfin quoique ce soit qui ne permettrait pas à mon sexe d’être à l’air libre. Simplement, pour des raisons d’hygiène et de propreté, j’ai remplacé ce dessous interdit par des jupons, sauf parfois lors de chaudes journées en vacances.
Il n’est pas question d’exhibitionnisme, je veille à ce que nul ne se doute de ce détail vestimentaire, qui, je pense, serait mal perçu dans le milieu où nous vivons. Certes, les choses sont moins strictes lorsque nous partons en vacances, mais alors je ne suis pas la seule en ce cas. D’ailleurs, ce qui montre que je peux me tenir, c’est que ma mère et ma sœur cadette n’ont connu cet aspect que lorsqu’elles m’ont aidée à m’habiller lors de mon mariage, au bout de deux ans.
Je voudrais ajouter un détail à mon commentaire précédent, mais qui a pour moi beaucoup d'importance, c'est ce qui se passe lorsqu'au travail, vers 16h00, je vais dans le bureau de mon mari pour lui apporter le courrier à signer, et que debout à son côté, tandis que je tourne les pages du parapheur, je sens sa main qui se glisse sous ma jupe, une main qui caresse toutes mes fesses intimement, mais qui peut aussi les claquer ou y faire un pinçon fort douloureux s'il y a un travail à refaire. A ce moment là, je sens combien je lui appartiens, combien je suis toute à lui, combien il est devenu tellement plus que mon patron, mais comme il le dit, mon Seigneur et Maitre.
RépondreSupprimerChère Christine, disons comme en ce moment il y a un côté très agréable de se promener sans culotte. Je pense également que le nombre de dames qui quand elles sont seules se promènent chez elles sans culotte doit être considérable. Je ne saurais dire s'il s'agit d'un accomplissement de fantasme ou d'un simple agrément. Toutefois sans avoir une grande connaissance des hommes dans le sens biblique, le sans culotte semble marcher à tous les coups pour réveiller la libido d'un monsieur. Dans ce sens je verrais cela comme l'acte d'une femme active en matière de séduction. Je vous trouve donc au petit soins de votre homme. C'est mignon comme tout votre ménage. On peut bien entendu se trouver un prétexte pour éviter la culotte. Cela ajoute une dimension de plus, un romantisme justificatif et partagé. Un petit secret de couple qui ne se dévoile que dans des circonstances exceptionnelles comme votre mariage.
RépondreSupprimerSans être l'assistante de mon homme il m'arrive de le rejoindre pour sa pause dans son bureau qui se trouve chez nous car il travaille à la maison. Je n'ai pas de courrier à lui faire signer, mais il profite tout de même de me peloter et aussi pour me claquer le derrière. Je pense qu'il s'agit d'une façon de certains messieurs de se vider la tête, de décompresser de leur journée de travail. Et pour ma part j'aime beaucoup ce genre d'attention. C'est la preuve qu'il s’intéresse vivement à moi.
Voyez je me ne sens pas soumise devant mon seigneur et maître. Bien que je ne manque rarement d'allusions et initiatives concernant le jour du seigneur. Tout de même, certains détails de mon quotidien ressemblent bien au votre, mais chacune de nous leur attribue une autre signification.
@Christine: Mon épouse a elle aussi tendance à ne pas mettre de culotte sous sa jupe ou robe l'été, avec pour raison "officielle" que cela est plus sain et aère ce qui doit l'être. Pour elle aussi, c'est un détail entre nous, et elle ne fait cela qu'avec des jupes ou robes suffisamment longues pour ne pas risquer un accident. Quand nous sommes en intérieur sans les enfants, il y a encore moins de contraintes... mais là elle apprécie que moi aussi j'ôte le bas!
RépondreSupprimer@Isabelle: Chez nous, le protocole pour la fessée dame à genoux ou penchée en avant (martinet ou parfois planchette) serait plutôt de garder les jambes serrées; si elles s'écartent c'est par insolence, non?
RépondreSupprimerBien entendu, le fesseur peut demander l'écartement s'il veut se livrer à des vérifications...
Cher Pecan, je vous trouve quelques considérations qui vont dans la direction de mon homme. Lui pour sa part considère comme insolence quand me m'étire au coin pour soulager mes brûlures dans mes fesses d'une manière qui montrer trop ce qui reste habituellement caché. Effectivement le hasard n'y est pour rien. J'aime provoquer avec tout moyen que m'offre mon corps...
RépondreSupprimerPar contre quand il s'agit de me prendre ma température, il considère comme un comportement très sage quand je me présente de manière qui facilité visibilité et surtout accès. Ah ces hommes...rire!
Oui, pour certaines procédures, il faut au contraire que l'endroit soit bien détendu et que la patiente ne tente pas de gêner l'accès nécessaire. Une possibilité est d'exiger que non seulement elle se détende, mais qu'elle écarte elle-même les lobes...
SupprimerMon épouse n'avait pas reçu le thermomètre par cet endroit depuis sa petite enfance et cela lui a fait tout drôle la première fois.
Je n'ai pas connu cette manière très particulière quand j'étais gamine, mais je trouve ce procédé et surtout l’enthousiasme de mon homme pour l'appliquer tellement mignon qu'il m'arrive parfois de lui demander de me prendre la température pour voir si tout va bien. Il y a un élément quelque peu impudique qui me plaît beaucoup et qui augmente son intensité quand c'est mon homme qui me demande de me mettre en position. Je pense que votre épouse doit être ravie de vos soins!
RépondreSupprimerje vis en couple (famille recomposée),et je suis très souvent fessé par ma compagne lorsque je la provoque.Mais,un jour,elle me fessa devant ….
RépondreSupprimerCher Monsieur vous allez un peu trop loin là. Je censure donc... isabelle183