Petit
fantaisie « perverse » qui ne cesse de m'émerveiller !
J'imagine une jolie scène entre filles
et une fessée qui se passe de manière de plus naturelle : Entre la
main de celle qui applique et la peau des fesses de celle qui reçoit.
Claquante,
avez-vous dit claquante ? Et en cadence s'il vous plaît.
J'imagine une dame qui supervise. Avec
une baguette entre ses mains qui sert plus à impressionner qu'à
corriger. Insigne d’autorité. Ce qui rend la mise en scène plus
propice à l’imagination féminine (à mon sens), la dame n’est
pas déguisée en dominatrice improvisée qui affiche un mélange de
chair et de cuir. Elle reste agréablement élégante sans manquer
une bonne touche de sexy. Dans cette petite histoire chacune peut
trouver son compte, son modèle d’identification. Pas de surcharge
en sous-vêtements non plus. Juste un petit échantillon autour de la
nudité revalorisée de certaines parties du corps féminin.
Une des fessées se passe sur une
culotte. Pourquoi les autres filles attendent-elles les fesses
dénudées ? Y a-t-il une hiérarchie entre les punies ? Panoplie
complète d’éléments de rêveries de jeunes filles/femmes qui se
découvrent avec un fantasme de fessée. Dans des variantes qui
excluent (encore!) les hommes.
Puis pensée audacieuse et honteuse à
la fois. Et si cela se passait devant le fiancé ou devant le
monsieur qu’on aime secrètement. Qu’il regarde par le trou de la
serrure, par la fenêtre, qu’il soit dans la pièce pour une raison
ou une autre. Peu importe. Subitement, il est là et regarde. C’est
lui qui pimente la situation. Frisson de l’impudeur imposée devant
autrui. Devoir montrer ce qui ne doit pas être montré devant tout
le monde.
Déplaisir de la fessée qui fait
sacrement mal. Ne pas fondre en larmes pour garder la face. Garder sa
fierté dans un contexte qui n’a rien pour être fière de soi.
Et
l'acceptation ?
Acceptation de quoi ? De sa punition,
de son fantasme, de ce que l’anatomie féminine implique tout
simplement.
Subitement une petite peur. Que
vise-t-elle ? La douleur dans les fesses, la canne dans la main de
celle qui commande, les instruments étranges qui attendent ?
Comme si la peur féminine se résumait
au folklore, aux détails. Il n’y a pas plus concret qu’une
femme. La peur se localise, elle peut se personnifier, elle peut se
rapporter à une situation spécifique, elle peut ce déplacer sur ce
qui semble anodin pour autrui.
Mais
aussi, elle est convertible en libido quand les circonstances sont
propices.
La thématique du groupe permet
l’expression des fantasmes les plus divers. Il y a toujours un
autre fil à broder...
...pour
finir en beauté cette année qui va se terminer en quelques heures,
voici une autre rétrospective du "Lundi cinéma"!
Pour amateurs de la brosse à cheveux
( clip de 44min)
Devant témoins moqueurs
(environ 8min)
De chaudes larmes (environ 1min30)
Très forte et très sonore, magistrale... (environ
2min)
A l'école des grandes filles
(4min)
La prof sévère
(environ 15min)
Un vrai film vintage de fessée
(environ 56 minutes)
Le fesseur métronome
(environ 2min 30)
Entre filles cela ne plaisante pas
(environ 3min 20)
Punition pour vilaine fille
(environ 4 min)
Du très claquant et solide
(environ 2min 20)
Très bonne année à toi, Isabelle, perchée sur tes talons hauts ou pieds nus ;)
RépondreSupprimerUne belle et heureuse année à toi aussi, Ellie. La fin d'année c'est le moment par excellence pour les hauts talons...
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