DD
inversée ou pas,...
...pour ceux est celles qui pratiquent
les punitions corporelles en couple il existe un problème majeur !
Rester discrets quand il y a des enfants à la maison. Je me souviens
d'avoir lu dans un « best of années 70 » de courrier
conseil la demande d'une dame qui souhaitait recevoir la fessée de
la part de son mari, mais qui se souciait comment les sonorités
seraient appréciées par ses enfants. Le conseiller psychologique de
l'époque ne s'est pas trop embêté :
Il
ne regarde pas vos enfants ce qui se passe dans la chambre de leurs
parents !
Sur le principe je ne donne pas tort à
ce monsieur. Mais ce n'est pas ma façon d'agir. La fessée chez nous
se passe quand la petite n'est pas à la maison. Mon homme
travaillant chez nous et moi étant mère au foyer, il est facile de
trouver un moment dans la journée, ni vu ni connu. Par contre
parfois les choses ne sont pas aussi simples, notamment quand
monsieur et madame travaillent hors maison. Mais aussi quand le
partenaire qui applique les sanctions souhaite punir sur le champs.
Que
faire ?
I faut être imaginatif pour trouver
une bonne solution.
Regardons
l’ingéniosité de monsieur Arthur :
...nous avons finalement résolu
notre problème de bruit grâce à l'usage d'un loopy johnny qui se
révèle effectivement beaucoup plus silencieux que la strap. Après
avoir reçu l'aval de Madame et envisager d'en commander un sur le
net, je me suis finalement lancé dans la confection. Madame
n'envisageant pas de me punir avec un bout de caoutchouc, il a fallu
trouver une corde de cuir.
J'ai finalement trouvé ce qu'il
fallait chez un cordonnier spécialisé dans... la réfection de
vielles machines à coudre à pédale sur lesquelles il y a des
courroies de cuir rondes de diamètre variable en fonction des
modèles. Madame souhaitant disposer d'instruments efficaces, j'ai
opté pour un diamètre relativement épais de 6 mm et acheter un
mètre de longueur (ce qui a beaucoup surpris le vendeur qui m'a
demandé 3 fois : "êtes-vous sur que la courroie de la machine
à coudre de votre tante est si courte ?" ;-) Pour le manche en
bois il s'est agi de faire le tour des brocantes et de le récupérer
sur un ancien instrument de cuisine. Madame a fait plusieurs essais
pour déterminer la longueur idéale de la corde (au final, une
boucle de 80 cm avec la partie qui s'insère dans le manche). Le
résultat s'est avéré à son goût, autant l'instrument que les
marques aux contours arrondis qu'il laisse sur le peau.
Pour ma part,
il fut évident dès la première utilisation, qu'il valait mieux
éviter que Madame ne soit contrainte de sortir cet instrument, plus
redoutable que notre strap (qu'il n'est malheureusement plus
envisageable d'utiliser lorsque nous ne sommes pas seuls à la
maison). Outre la confection de ce loopy johnny, nous avons aussi
prévu de faire un point hebdomadaire sur mon comportement chaque
mercredi matin, une fois les enfants à l'école. Il s'agira pour
Madame de me gronder ou de me récompenser en fonction de mon
attitude des 7 jours précédents et de me donner des axes de
travail. Il ne s'agit pas de repousser au mercredi d'éventuelles
sanctions (qui tombent au coup par coup) mais de réserver une petite
demi-heure par semaine pour parler discipline. C'est une idée qui
m'enchante et qui j'espère sera à la source de nombreux progrès...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerBien sûr, l'éternel problème, embarrassant pour les parents, du bruit de la "séance". En cela, Isabelle, votre situation personnelle a pu éviter de résoudre le problème.
Et le conseil du psychologue est identique à ce que ma grand-mère et ma mère disait de la chose.Mais les enfants évoluent. Ma génération de quinquagénaires fait partie de celle qui ne devait pas faire de remarques sur ce qui se passait entre nos deux parents. Mais c'était avant.
Mac-Miche.
A vrai dire je ne saurais trancher si les jeunes de nos jours font de remarques cocasses concernant les ébats de leurs parents. Ma fille est encore trop petite. De plus je ne serais pas vraiment dérangée par une curiosité en ce sens. Par contre je ne souhaite pas lui "suggérer" en quelque sorte des fantasmes "originaux" de ses parents. D'où ma discrétion. Enfin, voyant ma fille et son entourage scolaire je ne découvre rien de différent de mon époque.
RépondreSupprimerJe me souviens d'une âpre discussion avec une amie soumise et son dominant qui m'avait déclaré devant sa fille: "ma fille sera soumise". Interloqué, nous en avions discuté une fois sa fille couchée. Je lui avait dit que sa fille ferra ce qu'elle veut, et si les adultes doivent répondre aux questions des enfants, en aucun cas ils ne peuvent ou doivent orienter les enfants. Et ce qui se passe une fois la porte fermée ne concerne nullement les enfants.
RépondreSupprimerJe ne partage pas la vision de cette personne de vouloir décider à la place de son enfant. J'ai beaucoup de mal pour comprendre "les motivations", cette façon de vouloir faire intervenir son propre monde fantasmatique chez une personne... mineure. Etant femme et maman je trouve cela même révoltant. Nous avons une politique éducative qui rejoint la votre, cher Monsieur Équilibre et nous passons beaucoup de temps pour fournir à notre enfant des réponses satisfaisantes.
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJ'aurais exactement la même réaction que vous.
Et l'on mesure alors toute l'importance de préserver les jeunes esprits. C'est à cet âge que le terrain psychologique est fertile à toutes sortes d'idées des plus loufoques comme des plus tragiques.
Il faut expliquer les choses avec des mots simples sans choquer ou effrayer quant elles sont mises involontairement à découvert. Tache très délicate et il faut choisir le discours adéquat.
Le principe même de la propagande: manier la parole pour diriger les consciences. Se profile à l'horizon le spectre de Big Brother de George Orwell et sa fameuse "Police de la Pensée" (roman: "1984"). Thème trop malheureusement d'actualité. Hélas !
Mac-Miche.
Il est fort difficile, voire impossible de préserver un enfant du monde fantasmatique. On ne parle pas de fantasmes pré-génitaux pour rien qui veux dire que l'esprit enfantin est capable de les générer. Ce qui est dangereux selon moi, c'est que l'adulte semble valider une théorie sexuelle d'un enfant en arrêtant ainsi net son développement à un stade pré-génital, car l'enfant croyant compris « le secret des adultes » arrêtera ses propres recherches...
SupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerJe comprend fort bien toute la difficulté de protéger les enfants des" bruits de jeux" des parents.
La meilleure des solutions serait pour eux d'y renoncer le temps que dure leur enfance.
Souvent l'on dit à propos des enfants (vous avez peut-être entendu cette phrase): Oh, vous savez, les enfants sont trop jeunes pour comprendre". Certes , ils ne saisissent pas toujours les sens des choses comme des adultes mais avec leur logique simple d'enfants. A nous, adultes, de faire en sorte que leur logique ne les trompe pas et les induise pas "en erreur".
Dans un magazine, j'avais vu une photo illustrant un article (en anglais ?) où l'on montrait un jeune enfant avec son doudou à la main ouvrant la porte de la chambre parentale et découvrant ceux-ci en situation "embarrassante" : Madame à quatre pattes sur le lit, et le dos recouvert par une selle d'équitation et Monsieur vêtu en cavalier, cravache en main enjambant la dite-selle. Le slogan mettait en garde les parents contre le fait d'être surpris en pleine séance par leurs enfants et son impact sur eux. Peut-être l'avez vous déjà vu ?
Mac-Miche
D'abord les parents ont droit aussi à une vie, intime ou autre, même quand il y a des enfants. Il ne faut culpabiliser sur ce fait. La discrétion pour moi c'est s'adapter aux circonstances. Puis cette logique enfantine dont vous parlez à juste titre cher Monsieur Mac-Miche induit justement les enfants en erreur. Sans cela pas de fantasme de fessée à l'âge d'adulte par exemple ou tant d'autres originalité sexuelles.
SupprimerJe connais bien l'image dont vous parlez. Effectivement l'originalité des parents va loin. Mais nous n'avons pas besoin d'aller si loin. Il y a des feuilletons pour enfants comme par exemple chica vampiro. Je vois l'impacte chez ma fille qui rêve de se faire mordre par un prince charmant. Que dire...?
Bonsoir Isabelle,
SupprimerAu final, le moment de notre enfance reste le creuset de nos émotions dont le trop-plein risque de déborder... à l'âge adulte. Tout se joue dans les premières années de la vie, les drames comme les joies. Et comme les caractères typographiques, elles s'impriment durablement dans notre jeune esprit.
D'où parfois ces malentendus qu'on garde au fond de soi et qui auraient pu être dissipés par la parole au moment voulu.
Et que dire de l'impact télévisuel des programmes sur les enfants ? La télévision est le miroir mi-réel, mi-faussé de la réalité et le problème pour les parents est de faire admettre à leurs progénitures qu'il ne faut pas prendre cela "pour de l'argent comptant" mais au contraire y mettre de la distance. Enfin quant ils peuvent être là pour surveiller le moment des programmes. Tout à changé.
Gamin, j'ai vu l'arrivée des actuelles chaines FR2 et FR3, en 1972 et 1975 et la TV s'allumait de 14 h. à minuit maximum selon la durée des films. Mercredi et samedi l'après-midi : émission pour la jeunesse de 14 h à 18 h. Dimanche et soirée en semaine: films ou culture.
Voyez, c'était une télé très formatée et "préservée" mais cette simplicité nous convenait malgré tout.
Enfin, c'était avant.
Mac-Miche.
Exactement, c'était avant. Ma fille aime plus internet que la télé. Internet sur ordinateur! La tablette ne lui plait pas et les jeux elle n'aime pas. Heureusement elle n'aime pas non plus les Playstation et assimilés. Sa préférence va de bricoler avec son papa et quand ce dernier travaille c'est elle qui se sert de son atelier.
SupprimerSelon le psychologue Dotson: Tout se joue avant six ans, ce qui ne me semble pas faux. Après les enfants essayent d'intervenir progressivement sur la réalité... ben oui, cela passe si vite...où est resté mon bébé...
ta fille a quel age?
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerVotre fille me rappelle les filles de ma sœur ainée qui avaient chacune une horreur des ordinateurs et des jeux vidéos. Elles sont aujourd'hui maman à leur tour et leurs enfants ne sont pas du tout ordi et internet à la maison même s'ils se familiarisent avec les technologies de leur époque.
Et la TV dans leur enfance, c'était parfois Club Dorothée ou le "Disney Channel" sur la 3 (1984-85) ou Ulysse 31 ou les premiers "Mangas" japonais style Candy, ou Heidi, et alt.
Mais les filles adorent aussi travailler avec leur papa. C'est naturel. Votre petite est aussi habile en manuel qu'en activité plus "artistique". Excellent ! Vous avez un vrai petit génie !!!
Mac-Miche.
@ Anonyme: 7ans!
Supprimer@Monsieur Mac-Miche: L'ordinateur fait partie chez nous du quotidien. Ma fille a un à sa disposition pour regarder youtube, pour écouter la musique, faire des recherches etc. Nous n'avons pas une culture télé. Puis elle voit sa maman souvent en train d'écrire. Bon on a aussi une impressionnante bibliothèque, mais c'est seulement mon homme qui s'en sert. Pour ma part je ne lis que du pdf...
SupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerAh la Bibliothèque ! Le temple de la connaissance !
Le rêve (ou le cauchemar !) de tout "technicien de l'information" qui passe des heures à répertorier les livres selon la "Classification universelle de Dewey" . Le classement est même plus important que le sujet, si bon soit-il. Une erreur de classe est l'info pourra rester confinée des semaines sans être consultée. C'est la règle numéro un.
Tenez dans un autre registre, frissonnant celui-là, .
Dans la version des "Dracula" version Hammer, avec le grand Christopher Lee ( 1,93 m, le Comte !),le fameux chasseur de vampires, Peter Cushing, alias Dr Van Helsing, se fait passer justement pour un sérieux bibliothécaire afin d'approcher et vaincre son pire ennemi. Dans le jargon ciné, le Comte Dracula est surnommé : le Don Juan des Carpates. Mais vous connaissez la fin du mythe...
L'avantage du systéme PDF est qu'il encombre pas tout un pan de mur. Mais personnellement, je préfère tenir un livre en main, le feuilleter, le lire et revenir sur les passages et plus vite qu'au moyen du curseur.
C'est très personnel comme réaction . Rires.
Mac-Miche.
Je pense que tout dépend de l'utilisation que l'on fait des livres pour préférer le pdf (voir la version txt!) au vrai lire. Pour ma part j'ai plusieurs centaines d'articles traitant de sujets similaires. Alors pour retrouver une phrase ou idée précise rien ne vaut la rapidité d'une recherche sur pdf. Notamment quand j'ai oublié quel auteur à écrit l'article et dans quel livre il a été publié. Mais là nous sommes plutôt dans un travail spécialisé qui demande une organisation particulière. Notons que je n'ai plus le temps depuis des années de lire des livres... de distraction. Ceci dit j'adore les vrais livres dans la bibliothèque de mon homme pour leur odeur, leur texture etc. Et c'est moi qui fait régulièrement la poussière avec mon joli plumeau... rire !
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerNaturellement, pour effectuer des recherches, c'est hautement pratique. Je comprend que l'écriture d'un récit et ses références annexes vous demandent beaucoup de temps. Quant on est d'une nature très consciencieuse, on ne doit rien négliger.
Voyez, Isabelle, de l'ébauche d'une saynète au crayon de bois à sa finalité des dialogues à l'écran, cela peut me prendre facilement une heure de temps.
Alors je comprend ce que la rédaction de vos récits peut exiger beaucoup de temps. C'est ça les artistes:
abstraction du présent pour mieux se plonger dans l'inspiration. Rires.
J'ose espérer que la poussière ne vous gène pas ?
Ce serait fort dommage de priver votre compagnon de votre envoûtante présence en cas d'allergie !
Mac-Miche.
On peut aussi voir les choses à l'envers. Mes lectures et recherches sont au service de ma curiosité envers l'être humain et plus particulièrement les enfants. Sur ce chemin je vois tant de liens qui vont vers notre sujet. Après pour écrire pour mon blog je fais avec le temps qui me reste , un temps donné. J'aime ce défis d'écrire des article dans un tel contexte. Enfin perso je n'ai pas la notion d'une "artiste", je suis plutôt une personne qui écrit régulièrement. Le travail artistique sera pour quand ma fille sera grande... rire!
SupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerJe reste époustouflé par votre force de travail.
Votre irremplaçable Blog me fait penser à un long travail de thèse (depuis votre ancien Blog) du style : "La fessée et son implication dans un couple d'aujourd'hui".
Votre Blog est en quelque sorte à la croisée du journal intime, de la vie d'un couple et de la recherche en psychologie humaine. En tout cas un travail de longue haleine qu'il convient de saluer. Sincèrement. Vous vous dites certainement : " Ce cher monsieur Mac-Miche, toujours aussi flatteur."
Certes, je vous l'accorde. Mais , de temps en temps, ça refortifie l'ego.
Mac-Miche.
N'oubliez pas que je tiens un blog de discipline domestique. Selon ma conception de ce fantasme les composantes désexualisées comportent un gout pour l'effort, le travail, le lever tôt, la vie de famille avant tout, le couple d'antan etc. Disons que je n'ai pas la notion de travail, mais une notion de faire ce que je fais avec... plaisir.
SupprimerBonsoir Isabelle,
Supprimer"Le plaisir". Composante hautement importante dans l'existence ! la vie ne vaut rien sans le plaisir. Ces moments "magiques" où l'on lâche prise quelques instants avec les préoccupations du quotidien. Plaisirs simples de la vie, plaisir des sens. Plaisir tout court. Se faire plaisir tout en faisant plaisir aux autres, C'est une chose que j'essaie modestement d'apporter dans mon entourage. Et quant on peut allier plaisir et vie quotidienne et le bien vivre, alors la partie est gagnée.
Personnellement, participer à la vie de votre Blog me fait plaisir même si mes souvenirs ringards ne font rire que moi. Et si en retour, on en tire une certaine satisfaction, alors après tout...
Mac-Miche
Faire plaisir aux autres est une noble tache cher Monsieur Mac-Miche et il vous honore de l'apporter à votre entourage. Pour ma part je suis de bonne écoute et il m'arrive de trouver des idées de sujets justement dans les souvenirs. Ce sont d'ailleurs les souvenirs qui ouvrent le chemin pour mieux comprendre les fantasmes, pour comprendre autrui...
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerFaire plaisir, c'est une manière de montrer autour de soi que l'on existe et pour moi qui suit d'un naturel assez angoissé, c'est rassurant. On dit parfois que les petits cadeaux entretiennent l'amitié. Je trouve cette remarque assez juste. En dehors d'un contexte intéressé naturellement.
Dès que l'on donne de sa personne et de son temps pour les personnes qui nous entourent, on participe à leur bien-être et c'est une chose très importante dans la vie.
Par votre disponibilité, votre Blog et votre
écoute sans jugement, vous apportez vous aussi, Isabelle, un certain bien-être autour de vous.
Quant aux rôles des souvenirs, ces marqueurs de NOTRE temps, ils participent à notre personnalité.
Un écrivain, me semble t-il, avait dit que les rêves permettaient d'ouvrir le coffre de notre moi profond. Il n'avait peut-être pas tort...
Mac-Miche.
Vous parlez de phénomènes d'angoisse. Cette thématique m’intéresse depuis quelque temps concernant notre fantasme. Voyez comment je trouve mes sujets... rire.
SupprimerLe rêve comme dit votre écrivain contient pour moi effectivement un accès à notre moi profond qui émerge de inconscient. Enfin pour que l'introspective soit fructueuse, il faut savoir ce que l'on peut y trouver. Je pense à une grande dame de la psychanalyse qui disait il y a une quarantaine d'années:Notre puissance créatrice est confinée dans les rêves, tandis que dans les traits de notre caractère se trouve notre "noyau pervers".
Bonjour Isabelle,
SupprimerLe rêve a toujours eu une certaine importance pour beaucoup de sociétés dans le passé. Et cela en particulier, les Grecs qui les considéraient comme messages des dieux, les Indiens d'Amérique, et d'autres peuples.
Ainsi, dans le domaine de la Physique, la découverte de la chaine des chromosomes par Maxwell (?) s'est matérialisée à la suite d'un rêve étonnant : une limace !!! Similitude entre son mode de déplacement et la forme de cette chaine.
En somme notre "face cachée intérieure" peut révéler des surprises . Un peu le mythe du bon Dr Jekyll et de son double terrifiant : Mister Hyde (= le Hideux).
Explorer le moi profond équivaudrait à descendre à la cave en s'éclairant d'une simple... allumette !!
Gare aux mauvaises surprises ! D'où le sentiment d'angoisse qui peut en résulter. Angoisse qui peut à son tour engendrer des fantasmes. Fantasmes qui laisse l'imagination "théâtraliser" nos craintes. Bref, tout un cercle... vicieux très pervers ! Rires.
Mac-Miche.
Mazette !
Il n'y a pas non plus infiniment de choses que l'on puisse trouver dans l'inconscient « freudien » qui ne contient qu'une partie de ce qui est inconscient en nous. J'ai lu dans un forum que la fin d'une l'analyse se caractérise par le fait de supporter tout seul son angoisse, sans aide d'autrui. Enfin, c'est un peu simpliste à mon avis...
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerVotre explication est simple et cohérente.
Le succès d'une thérapie chez un spécialiste est obtenu dès que le patient est débarrassé de son problème ou tout au moins qu'il puisse le contrôler par lui-même. Cela exige efforts et rigueur.
Quant je suis allé consulter une doctoresse pour mes problèmes de fantasmes de fessée, il y a une douzaine d'années, la thérapie ne m'a rien apporté.
Dès lors, j'ai décidé de matérialiser mes fantasmes de DD inversée par le biais du dessin et je continue depuis cette époque, avec plus ou moins de réussite. Rien n'est facile et rien n'est gagnée d'avance.
Mac-Miche.
Je ne suis pas médecin. Je ne saurais me prononcer sur l'efficacité thérapeutique. Mais je trouve que rendre un fantasme productif est un joli résultat.
SupprimerAh, le problème de la discrétion vis-à-vis des enfants, nous connaissons.
RépondreSupprimerNous ne pratiquons que lorsqu'ils ne sont pas là, ou parfois si nous les savons endormis.
Ou encore nous utilisons un instrument, comme le martinet, plus discret que la main ou la brosse.
Je comprends ceux qui disent que ce qui se passe dans la chambre des parents ne regarde pas les enfants, au sens que nous ne nous retiendrons pas des bruits discrets de la "vanille" au motif qu'un enfant pourrait écouter à la porte. De la même façon, s'il rentrait sans s'annoncer dans notre chambre au moment de l'acte, ce serait sa faute.
Toutefois nous ne voulons pas qu'un enfant qui ne voudrait pas spécialement nous "espionner" puisse entendre des bruits incongrus... D'une part parce qu'à leur âge ils sont impressionnables. Ils pourraient d'ailleurs prendre cela pour une bagarre, ou pour des violences conjugales (même s'ils ignorent ce mot). D'autre part parce qu'à leur âge, on ne mesure pas la portée de ses bavardages et que nous n'avons aucune envie que notre famille, nos amis ou les autres parents d'élèves apprennent nos activités. Là encore, des actes fort "bon enfant" pourraient être pris pour des violences, même si la fessée d'agrément, grâce à certains succès de librairie et certains articles de magazines féminins, se "normalise".
Il y a effectivement le risque que l'enfant interprété les bruits comme une agression du père contre la mère. Freud en parle déjà de la conception "sadique du coït" qui se crée dans l'imagination enfantine. Puis comme vous dite, les enfants ne sont pas vraiment discrets et je ne souhaite pas que ma vie sexuelle soit sujet à la récréation.
Supprimercomme dans les hôtels indiqué souvent par une affichette
RépondreSupprimerne faites pas de bruit - pensez à vos voisins
En hôtel "normal" tous se sait. Perso nous sommes discrets, mais je pense surtout aux amateurs de fessée, contraints faute de mieux de se contenter d'un tel contexte.
SupprimerJ'étais ravi et flatté de voir mon commentaire resurgir dans le fil de vos messages, chère Isabelle. Ne travaillant plus à domicile, j'ai moins de temps pour laisser des messages sur votre blog mais je reste un fidèle lecteur. Quant au loopy johnny, je ne sais si c'est en raison de sa discrétion ou de son efficacité mais ma compagne en fait un usage plus fréquent que la strap. Récemment, elle a exigé que je nous débarrasse de notre cravache qu'elle n'utilise plus du tout, ne souhaitant pas encombrer l'appartement inutilement. Il ne s'agissait toutefois pas de la jeter à la poubelle mais de la rapporter dans une brocante caritative où nous avons nos habitudes avec en plus quelques ouvrages érotiques qui ne cachaient rien de mon attirance pour les femmes sévères. La cravache dissimulée dans la manche et les livres au fond du sac, j'ai donc dû aller discrètement poser ces affaires dans les rayons dédiés. Seul, bien entendu et en priant pour ne pas me faire remarquer. Mon récit offrant ensuite un peu de distraction à Madame et l'assurance que je lui obéis y compris lorsque cela me fait honte voire me chagrine (j'aimais beaucoup cette cravache et je suppliais fréquemment Madame de s'en servir) J'ai bien conscience que le but d'une punition ne saurait être de voir Madame se plier à mes fantasmes. Mais c'est toujours utile de se l'entendre redire, surtout de cette manière
RépondreSupprimerElle ne manque pas de subtilité votre dame, cher Monsieur Arthur. Nous sommes vraiment dans un registre de punitions de plus originaux et il est intéressant de se mettre à votre place pour sonder ses propres émotions.
SupprimerÉvidement nous sommes loin de mises en scènes en clubs spécialisés, mais c'est justement qui fait le charme de la discipline domestique. Enfin quelle idée de se débarrasser d'ouvrages érotiques. Nous n'avons pas beaucoup, mais mon homme y tient… rire.
Pour les livres, rassurez-vous, il s'agissait d'une édition de poche de "l'image" de Jean de Berg (alias Catherine Robbe-Grillet) que j'avais depuis rachetée en édition originale et offert à Madame car c'est un livre qui m'a beaucoup marqué jeune. Et l'autre un livre sans intérêt sur la fessée. Madame n'a rien contre quelques livres érotiques à la maison mais elle se méfie de ma tendance à accumuler les choses. Pour les plus explicites, il me faut désormais son autorisation pour les acheter et ils finissent parfois sous clé et c'est très rare que je sois autorisé à me détendre en les consultant. Quant aux vidéos porno, j'ai beau réclamer, depuis plusieurs années et l'installation d'un filtre parental sur mon ordinateur, c'est toujours non. Avec le temps, je n'imagine plus jouir sans son autorisation et dans ce cas, il est entendu que c'est à elle seule que je dois rendre hommage
SupprimerVotre réponse me rappelle un peu un article que j'ai lu - il y a bien longtemps - qui parlait entre autres de la jouissance dans la non-jouissance. Avec des mots plus romantiques je retrouve chez vous la galanterie d'un autre âge quand les chevaliers accomplissaient maintes prouesses pour plaire à la dame de leur cœur. La virilité s'exprimait selon une dame allemande qui pratique la fessée conjugale pour éduquer son mari par le fait que le mari se languit d'endurer les épreuves infligées par sa dame sans se plaindre...
SupprimerJe tire effectivement beaucoup de jouissance dans le fait de ne pas pouvoir jouir autant que je veux ni quand je veux. Après un peu d'attente mes orgasmes sont bien plus intenses, et c'est parfois un cadeau de ma compagne de me faire languir quelques jours afin de me donner un orgasme inoubliable. Le sommet du plaisir est alors atteint lorsqu'elle me laisse venir dans sa bouche et que je peux m'y abandonner complètement. C'est une très jolie manière de me récompenser pour ma patience. Il ne faudrait toutefois pas laisser penser que cela constitue notre quotidien. En général, Madame m'accorde du plaisir quasi quotidiennement. Elle a simplement mis fin à mes mauvaises habitudes qui par le passé me poussaient parfois à me masturber plusieurs fois par jour en son absence(et manquant d'entrain le soir venu pour l'honorer). Il est désormais très clair qu'il n'y a jamais de plaisir sans son accord et c'est cela qui me plait. Pour parler concrètement, il y a parfois des pauses de 1 ou 2 jours qui n'empêchent nullement les calins et m'incitent à me montrer galant. Parfois Madame décide qu'elle sera seule à jouir, ce qui est une manière sensuelle de me faire languir et ne constitue donc pas une punition, bien au contraire. En revanche, en cas de grosse bêtise, elle peut m'imposer une longue période de chasteté. Un jour où je lui avais envoyé un mail désagréable qui l'avais beaucoup fâché, elle a attendu une semaine pour me pardonner. Au bout, il y avait la promesse d'une réconciliation mais ce fut difficile de rester stoïque jusqu'au bout, d'autant plus que je savais que si je me montrais trop obsédé, elle m'enverrait aux toilettes me calmer sur le champ, ce qui est beaucoup plus dévalorisant que d'attendre patiemment son heure. Mais ce genre de punition reste exceptionnelle car Madame considère à juste titre que son plaisir sexuel est primordial et qu'elle n'a pas à se priver par ma faute. Pour les grosses bêtises, elle opte donc en général pour des punitions qui n'ont rien de sexuel en têtes desquelles on trouve des lignes de copie (qui peuvent me prendre de très longues heures) ou des courses à pieds dont j'ai horreur. C'est très efficace et cela m'aide beaucoup à améliorer mon comportement par crainte des représailles de Madame qui avec le temps deviens de plus en plus sévère
SupprimerBonjour Mr Arthur,
SupprimerJe musardais hier dans les commentaires précédents et votre récit perso ressemblait à un commentaire de notre chère Isabelle qui citait une pensée de Simone de Beauvoir concernant le rapport à la frustration sexuelle et sentimentale des hommes et des femmes.
C'était en 2014 et en Septembre, me semble t-il.
Enfin, A vérifier.
Mac-Miche.
Il me semble important comme vous le soulignez cher Monsieur Arthur qu'il y ait réelle récompense. D'ailleurs cette récompense me semble un élément primordial dans la discipline domestique en couple, peu importe son sens. Seulement la plupart de récits sur la DD passent par pudeur ou discrétion sur cet aspect et il ne reste pour le lecteur qu'un listing plus ou moins long de punitions qui semblent se suffire à eux mêmes. Vous l'avez compris, j'adore apprendre comment les relations disciplinaires se passent dans d'autres couple et je vous remercie pour ces jolies confidences.
SupprimerPour Monsieur Mac-Miche: C'est Dolto qui parlait de la résistance à la frustration orgasmique des dames... ce qui est bien différent de la frustration sexuelle!
SupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerMaxi mea culpa !!! Quelle maladresse !!!
Je devrais relire mes sources avant d'écrire.
"La routine est l'ennemie de la prudence ".
Je suis bluffé par votre mémoire ! Wahou !!!
Bien sûr, deux grandes dames dans leurs domaines respectifs mais aux investigations fort différentes, j'imagine.
(Je sais, Isabelle : j'en mériterais bien une ! Comme vous le dites si familièrement.
A nouveau, j'implore, tel un gentilhomme d'un autre temps, votre souveraine indulgence !!!
(J'en rajoute un peu mais bon... rires.)
Mac-Miche.
Bonjour Isabelle,
SupprimerLa récompense me fait penser au vieux système de "la carotte ou le bâton". Du style : "c'est ça ou rien d'autre !". Arbitraire comme choix, j'en conviens. Souvent dans la vie, tout revient à un problème de choix. On a rien sans rien, dit-on.
Vous souvenez-vous sur votre Blog de Maitresse , le thème de l'amour courtois ?
Mac-Miche.
Pour ma part, j'assume complètement ce système de la carotte et du bâton et j'aime que ma compagne en fasse de même. C'est le fait que les choses soient dites (ou faite) explicitement qui me plait le plus. Jaime que ma compagne me dise "si tu veux une fellation, il va falloir te montrer beaucoup plus galant que cela" ou encore "tu as intérêt à te calmer tout de suite si tu ne veux pas que je t'envoie courir". Nous avons à la maison une liste de punition où ma compagne peut piocher lorsqu'elle manque d'idées. Concernant les récompenses, je me confie souvent à elle sur mes envies en particulier fétichistes qu'elle contente seulement quand je le mérite. Et je sais que si je veux qu'elle mette ses porte jarretelles ou qu'elle m'offre une douche dorée, il faut que je sois à la hauteur du cadeau qu'elle me fait. Je lui demande d'ailleurs les choses de cette manière "si je suis sage, est-ce que tu voudras bien ...". Je crois qu'elle apprécie de sentir qu'elle a le pouvoir de faire la pluie et le beau temps sur mes envies à coup de carottes et de bâtons et ainsi réguler mon comportement de sorte de maintenir l'harmonie dans notre couple. Et pour ma part, cela m'aide à faire les choses avec plaisir
SupprimerBonsoir Mr Arthur,
SupprimerC'est tout à votre honneur. Il faut réussir à vivre touts les jours en bons termes avec les gens que l'on aime.
Et, ma foi, quelques accommodements sont parfois nécessaires et permettent au final que toutes les parties y trouvent leur bonheur. C'est le plus important dans la vie.
La recette miracle n'existe pas mais comme en cuisine, il faut expérimenter plusieurs recettes avant de réussir "Ze" gâteau ! Qui régalera les invités.
Mac-Miche.
Merci pour votre message Mr Mac-Miche. Davantage que des "accommodements", j'y vois personnellement plutôt du "piment" ou du "sel"! Bref un petit truc en plus qui ajoute de la fantaisie et de l'amusement au quotidien. Mais effectivement à chacun sa propre recette qui s'améliore au fil du temps
SupprimerJe pense que le principe de la carotte et du bâton existe dans n'importe quel couple. Seulement cela reste bien souvent un non-dit qui par ce fait ne prendra pas une apparence ludique de mise en scène. Il en va de soi - pour les petites gâteries – que ce n'est ni la fessée, ni même une supposée excitation de l'ordre sexuelle qui me motivera, mais tout basiquement une revalorisation narcissique. Certes chez nous cela ne prend pas une forme de DD inversée, mais j'ai bon nombre d'exigences au quotidien qu'il convient de respecter scrupuleusement. Sinon pas de sucette, ni de porte-jarretelles d'ailleurs. Ceci dit notre couple rodé depuis de nombreuses années, plus besoin des mots pour reformuler les désirs, autant pour l'un que pour l'autre. Voila qui pourrait donner l'impression - pour une personne extérieure de notre couple – d'une harmonie naturelle qui est autant une légende urbaine que la grâce naturelle. D'ailleurs je suis toujours étonnée de la naïveté de bien personnes qui imaginent de mettre une DD en très peu de temps...
SupprimerA vous lire, cher Monsieur Arthur, j'ai plutôt l'impression d'une situation évolutive se nourrissant des apports des deux côtés. Voila qui me semble important, réinventer son couple et les relations intimes au lieu de se perdre dans une routine...
Bonsoir Mr Arthur,
SupprimerLes meilleurs crus se bonifient avec le temps, dit-on. Il convient de ne pas en abuser mais au contraire en déguster chaque lampée avec presque recueillement. Et le plaisir, comme toute bonne chose, est à consommer avec modération. Naturellement
Mac-Miche.
Bonjour Mr Arthur,
RépondreSupprimerNotre chère Isabelle est une hôtesse pleine d'attention pour ses invités...
Vous avez donc fait d'une certaine façon "table rase" de vos "vieux souvenirs". Ah, qu'il est difficile de se détacher de ses vieilles habitudes. Personnellement, j'aurais agi de même, d'une façon discrète et furtive.
Ca me rappelle quant je présentais à la caisse du buraliste le fruit de mes recherches en "dames autoritaires", sous le regard de la patronne, amusée peut-être de mon trouble.
Avec le temps, j'en souris mais sur le moment, je m'esquivais bien vite. Est-on bête quant on est jeune...
Mac-Miche
Bonjour Cher Mr Mac-Miche, je me souviens aussi que je ne faisais pas le fier lorsque j'allais acheter la revue "dresseuse" en boutique. Je culpabilisais beaucoup et bien avant d'avouer mes fantasmes à ma compagne, j'avais jeter la pile avec une VHS de fessée dans une poubelle lorsqu'elle a emménagé chez moi à l'époque de la fac de peur qu'elle ne les découvre. Cela nous aurait pourtant fait gagner pas mal de temps ;-)
SupprimerBonsoir Mr Arthur,
SupprimerNous sommes sur la même longueur d'onde concernant le trouble provoqué par nos "recherches" (On ne rit pas, chère Isabelle. Rires.).
Je culpabilisais aussi en me demandant si j'étais sensé ou devenu fou ! En revanche, depuis cette époque et n'ayant pas encore pu partager mon fantasme avec LA bonne personne, je conserve toujours ma doc spécial "DD inversée". On craint toujours de choquer les personnes qui nous sont chères.
Quoiqu'il en soit, j'ose espérer que votre harmonie conjugale est au beau fixe.
Vous avez certainement comme moi "dévoré des yeux" le contenu de ce magazine, qui n'existe plus en kiosque (excepté sur le site de laboutiquedezaza.fr ?).
Dés la fin de mes études supérieures, en 1991, j'ai recherché des magazines et des films de DD inversée. En 1990-92, il y avait le magazine "Vidéo 7 " (le connaissez vous ?) qui proposait en encart des films (surtout US) de DD inversée et également le catalogue Talisman au même contenu. Mais les deux magazines ont cessé leur publication quelques années plus tard. Avant donc l'apparition de la revue "Dresseuse" en 1998.
J'avais proposé à l'époque vers 1998-2000 des dessins de DD inversée à sa rédactrice mais refusé poliment car pas dans la ligne éditrice de la revue.
Aujourd'hui, il y a heureusement notre chère Isabelle et son Blog inimitable qui m'a permis de m'exprimer sur mon fantasme lorsque je l'ai découvert en 2006 (?)
Qu'elle en soit ici chaleureusement remerciée.
Voilà en quelques lignes les étapes de mon fantasme.
("Carton rouge, cher monsieur Mac-Miche !" Rires).
Mac-Miche.
Non, il n'y a pas de carton rouge. Les secrets des grands garçons m’intéressent beaucoup. J'ai deux grand frères dont un qui possède une collection (non fessée) de magazines stimulantes... impressionnante. Ado il m'arrivait de feuilleter certaines magazines pour "m'informer"... Les hommes collectionneurs de magazines ne me dérangent pas.
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerVisiblement, votre frère n'a pas réussi à préserver ses lectures intimes. Rires.
Comme vous le savez, chez les hommes, le visuel contient l'essentiel de notre potentiel nécessaire à notre imagination, notre stimulant érotique, propice à toutes sortes de scénarii. Et on l'accumule tel les couches d'un mille-feuilles. Et je n'échappe pas à la règle, moi non plus.
A l'époque de mes parents, les revues coquines n'existaient pas au sens actuel du terme et pour s'informer "des choses de la vie" , fallait attendre le service militaire ou braver l'interdit.
Personnellement, j'ai pu approcher le "mystère féminin" grâce aux pages "Lingerie" des catalogues de VPC de ma Maman. Merci La Redoute, les 3 Suisses, Damart et Daxon !!! Et encore en cachette !!! Quant j'y pense...
Mac-Miche.
Mon frère n'est pas discret du tout. Il avait des piles immense dans sa chambre qui ne pouvaient pas échapper aux regards.
SupprimerJe crois que les magazines coquines existaient déjà à l'époque de vos parents, mais ils n'en parlaient pas. Sartre mentionne les magazines illustrés dans les gares déjà à la fin des années 30 et plus particulièrement les ouvrages destinés à la fessée...