mercredi 12 octobre 2016

947 La jouissance dans la fessée punitive

Regarde-moi quand je te parle, isabelle !

Contrairement à la vanille dans la fessée punitive nous ne cherchons pas forcement un dénouement orgasmique, mais de provoquer et maintenir un état d'intense tension qui se nourrit d'éléments aussi hétéroclites que l'appréhension de la douleur et une rude mise à épreuve de la pudeur. Ce qui est dans la vanille la condition sine quoi non pour rendre possible la pénétration, le dévoilement des parties intimes, devient ici un acte d'exhibition imposé sous prétexte de rétablir les bonnes manières. Contradiction manifeste, car montrer ses fesses nues à autrui est considéré par l’éducation comme le prototype d'un mauvais et irrespectueux comportement. Par conséquence je suis partagée entre mon plaisir jouissif de mettre devant le nez de mon chéri mes fesses nues et la petite voix en moi qui me rappelle strictement les règles élémentaires de la bonne conduite pour les filles.

Tu n'as pas honte, isabelle ?

Mais bien heureusement j'ai honte ! Sinon je me sentirais volée de ce qui rend la fessée punitive si particulière. Honte de devoir aguicher si effrontément par ma nudité partielle ou intégrale avec la grande satisfaction que cela marche à tous les coups. Voir ou mieux encore ressentir dans une correction sur les genoux de mon homme que la défense de la morale façon maison n'est pas un acte innocent. Au contraire, l'acte est chargé d'une sexualité torride qui lui fait un effet monstre sous son pantalon.

C'est ainsi que se dévoile pour moi le non-dit de la vraie punition !

Mon homme, attaché à mes bonnes manières, renonce héroïquement - malgré la tentation devant ses yeux, à porté de sa main si j'ose dire - à la l'impulsion de me faire ma fête sur le champs. Montrant lui-même le b.a.-b.a. d'une bonne éducation, savoir différer ses désirs. Voila qui est rassurant, un homme qui sait poser des priorités. Ce qui ne l'empêche pas d’exprimer bruyamment sa déception en se prenant à mon fessier.

Je vais t'apprendre..., isabelle !

Il reste obscure, ce qu'il souhaite vraiment m'apprendre, mais il y a de l'émotion qui se transmet par sa main. Un agacement qui s'exprime et concerne les petits trucs non-dits de notre vie quotidienne qui mettent à l'épreuve ses nerfs. Nous sommes dans le langage des corps qui connaît une infinitude de nuances qui échappent au langage verbal. Ce dialogue fort intime m'aide à prendre conscience de ma part de responsabilité dans le mécontentement de mon chéri. La fessée se détache de sa fonction érotique, elle devient ce qu'elle est censée être à sa base, un acte qui invite à réfléchir sur le dépassement d'un règlement inhérent à une structure et qui demande réparation. Le côté névrotique de cette pratique
s'impose avec force me poussant à un comportement hystérique sous les claques qui pleuvent. UN psychodrame à son sommet qui va vers une décharge... émotionnelle.

Je ne le referai plus...

Reste au font très vague aussi ce que je ne referai plus. Toutefois j’apprends à chaque fois que la douleur ne devient pas une habitude, que les bonnes manières se méritent durement.

Tu as besoin de sentir une main ferme de temps en temps, isabelle !

Comme c'est bien dit. En fait, en matière de ce qui est charnel, le ciment du couple en quelque sorte, outre un réel besoin de faire l'amour quand je me sens coquine, j'ai besoin aussi que mon homme me claque régulièrement les fesses quand je me sens vilaine. J'attends de lui une double satisfaction, chacune en son temps, sans confondre l'une avec l'autre.

24 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Ca ne rigole pas avec Monsieur 183 ! Très à cheval sur les principes. On est le chef ou on ne l'est pas ! Non mais !
    J'aime bien cette phrase "magique" , comme un sésame de notre bonne conscience : "Je ne le ferais plus !". Sans elle, la punition manquerait de sel !
    Vous avez raison : ne plus refaire quoi, au juste ? Des caprices ? Des insolences ? De l'irrespect ? Des gros mots ?Au choix. Phrase incontournable de notre "Mea Culpa" .
    Combien de fois ai-je inclus cette phrase dans mes saynètes de DD inversée. Rires. On redevient le temps d'une bonne fessée le chenapan ou la garnemente, pris/e "la main dans le sac" et jurant tous les dieux d'amender son comportement. Mais rien n'y fait et nos tourmenteur/e/s restent bien sûr inflexibles !
    L'adage populaire ne dit-il pas : "battre sa coulpe" ... ou sa croupe ! Au choix ! Curieux parallèle !!!!
    Mac-Miche.

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    1. Je ne vois pas trop mes fessées comme un tourment, mais plutôt comme une correction dans son sens noble. Je ne suis plus une gamine pour y voir un acte infligé par une instance qui me dépasse. Ce qui ne change rien de chanter comme quasiment toutes les personnes enclines à la fessée punitive: Je ne le ferrai plus! Rire!

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    2. Bonjour Isabelle,

      En effet. D'ailleurs, j'ai hésité entre les mots "tourmenteurs" et "punisseurs". Le tourment peut être surtout d'ordre psychologique, je pense, et la punition , je la verrais plutôt comme une blessure physique. Certes, l'amour propre et l'estime de soi en prennent un sacré coup mais bon, il faut souffrir pour obtenir. Obtenir une punition ? me direz-vous. "Get a spanking" comme disent nos voisins Anglo-Saxons. Obtenir une fessée: un peu comme un prix d'excellence. Curieuse récompense, non ?
      Presque une bouffée de masochisme. Enfin, chacun fait selon ses goûts. Evidemment.
      Quant à cette (vaine) promesse de devenir à l'avenir raisonnable, nous l'avons tous et toutes crié à tous les tons. Jusqu'à la prochaine fois.
      Mac-Miche.

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    3. J'ai l'impression que vous raisonnez-là de la perspective d'un enfant. Pour un adulte une punition eut-être un acte constructif et je pense que cet état d'esprit règne dans la discipline domestique. Puis même si je ne le dis pas explicitement, la fessée est avant tout une satisfaction érotique...

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    4. Bonjour Isabelle,

      On a besoin de temps en temps de cette étape nécessaire mais humiliante de la fessée pour corriger les mauvais côtés de son comportement. Si cela peut aider à redevenir raisonnable et agréable à son propre entourage, eh bien, pourquoi pas !
      "Rétablir l'assiette" comme dit le jargon des fanas du tarmac.
      Pour ce non-dit très, très intime émanant de notre "for intérieur", il est bien difficile de s'y opposer. Ce serait nager à contre-courant de notre nature propre... que toutes les méthodes existantes ne peuvent brider. Et c'est tant mieux parfois.
      après tout, "y'a pas de mal à se faire du bien! " .
      Curieux paradoxe verbal, non ?
      Mac-Miche.

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    5. Nous vivons une époque où beaucoup de personnes voient le mal partout. Ceci dit je crois que dans certains courants puritains, il est mal vu de se faire du bien, surtout sous forme charnelle...

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  2. il y a aussi et très connu : "je promets d'être sage ..."

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    1. Ah c'est promesses que l'on ne tient pas...

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    2. Bonjour Isabelle,

      Très juste. Mais au fond, les promesses sont peut-être formulées pour ne jamais être tenues. Et ainsi donner du grain à moudre pour les Père et Mères Fouettard de tous poils ! Rires.
      (Ma bonne conscience me murmure alors à l'oreille:
      Ne fait pas trop vite ton crâneur, Mac' ! Ca pourrait t'arriver plus vite que tu ne le penses !!!".
      Ce à quoi je rétorque : Tais-toi ! Rabat-joie ! ).
      Mac-Miche.

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    3. Difficile pour une grande fille d'être sage...

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  3. Bonjour Isabelle,


    Affirmation à laquelle je me permet de rétorquer :
    "pour les grands garçons, aussi !". Rires.
    Est-on en cela plus tolérant aux écarts de conduite des garçons ?
    Mac-Miche.

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  4. Bien évidement! Une filles pas sage risque de se faire traiter des tous les noms, tandis qu'un garçon pas sage est revalorisé par ses prouesse de la chair...

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  5. Ce traitement peut bénéficier aussi aux grands garçons...

    Madame mon épouse m'a indiqué qu'elle profiterait de l'absence des enfants pendant les vacances de la Toussaint pour reprendre nos "conversations du soir" qu'elle pratiquait cet été. Je ne sais pas si je vous en avais parlé.

    Cette "conversation" avait lieu en général sur les genoux de mon épouse, parfois allongé sur un coussin ou le sofa. Dans tous les cas je devais montrer mes fesses. Un thermomètre en verre était inséré, et, tandis que mon épouse lui accordait généreusement plusieurs minutes pour une mesure correcte, je devais faire le bilan de ma journée et confesser mes manquements. Bien entendu, tout manquement à l'hygiène constaté en cette occasion me valait un nettoyage en règle par madame et une sanction; aussi je me préparais sur le bidet à la "conversation". Parfois madame procédait elle-même à cette préparation.

    Une fois la "confession" terminée et l'instrument retiré, madame passait à la fessée. Si je n'avais rien à me reprocher, celle-ci consistait en fait en un pelotage de mon arrière-train et en guilis qui parfois descendent entre les cuisses. Si par contre mon attitude laissait à désirer, c'était pan-pan cucul, à la main ou à la brosse, parfois à la pantoufle ou au martinet. Madame laissait d'ailleurs souvent la brosse bien en évidence au moment de me prendre sur ses genoux, même si elle pensait ne pas avoir à s'en servir. J'ai dû une fois tendre la main à sa demande pour lui passer la brosse sur le chevet, et c'est étrange de devoir soi-même ainsi passer l'instrument de punition!

    Vous vous doutez également ce qui suivait en cas de nervosité ou de transit intestinal perturbé.

    Dans tous les cas, ces "conversations" étaient un bon préliminaire au coït du soir. Vous connaissez madame, ce n'est pas parce que j'ai été vilain qu'elle doit se priver...

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    1. Elle ne manque pas d'imagination votre dame, cher Monsieur Pecan. Une confession avec un thermomètre dans le derrière est effectivement une belle trouvaille. J'aime bien ces registres qui jouent plus sur la finesse psychologique que sur le tape-cul mécanique. Question de terrain bien préparé!

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    2. Ne vous en faites pas, une fois que madame est décidée à bien fesser, elle est plutôt méthodique et régulière, du style à alterner fesse gauche et droite et à bien répartir pour avoir une jolie teinte partout.

      Mais comme vous dites, elle aime bien les touches psychologiques. Par exemple, laisser sa brosse en évidence. On peut s'étonner de l'usage d'une brosse aussi large et carrée sur une chevelure pas si abondante que cela, mais il n'y a que moi qui connaît les raisons de ce choix...

      Cet été, elle laissait bien en évidence dans la chambre le thermomètre en verre planté dans le pot de Vaseline. Elle peut laisser d'autres accessoires en venue (coton et alcool pour nettoyer l'instrument, suppos, martinet...). L'important est de me rappeler ce qui m'attend.

      Ou alors, au moment de m'installer sur ses genoux, elle garde sa brosse à portée de main, même si elle n'a pas l'intention de s'en servir et que la "fessée" se résume à un pelotage et un chatouillage de mon postérieur.

      Parfois, elle s'est installée, a commencé à la main, puis m'a demandé de lui passer sa brosse oubliée sur la table de chevet... j'ai donc dû m'étendre, toujours sur ses genoux, pour lui passer l'instrument!


      Pour en revenir à la confession avec le thermomètre dans le derrière, c'est effectivement une bonne mise en scène, l'instrument et la position mettent vraiment dans la bonne ambiance. Parfois j'ai eu aussi droit au suppo contre le mal de gorge avant la fessée et, plus rarement, au suppo de glycérine.

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    3. Votre dame me semble un excellent metteur en scène. La subtilité de laisser les instruments bien en vue me rappelle un peu la poésie des manuels éducatifs d'un autre âge. Quoi de mieux pour mettre les nerfs à vifs sans recourir aux grandes paroles. L'ambiance monte toute seule dans la tête quand on se trouve à la place de celui ou de celle qui va recevoir une correction. Mon homme fait pareil quand nous nous trouvons seuls et il lui arrive de mettre en vu le martinet des heures avant de s'en servir...

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    4. Toujours dans la mise en scène... il y a parfois des petites réflexions à double sens. Cet été des amis nous disaient qu'il faisait vraiment trop chaud en journée, mon épouse a dit que même vers 21h il faut prendre garde aux températures trop élevées... la "petite conversation" avait lieu vers cette heure là!

      Parfois les choses sont plus explicites, quand cela ne risque pas de produire un embarras durable (nous sommes discrets avec famille et amis). Une fois j'avais été particulièrement agaçant en voyage en voiture, prétextant un mal de ventre. Madame s'est arrêtée à un drugstore, a acheté le nécessaire pour me purger, et m'a annoncé devant le caissier (et en anglais) que j'aurais mon traitement dès que nous arriverions à notre chambre.

      Pour en revenir aux instruments de fessée, nous apprécions les "pervertibles" (brosse, pantoufle, raquette de ping-pong) pour des raisons émotionnelles (ambiance "punition maternelle" et non "sex shop") mais aussi pratiques... on peut laisser une brosse à cheveux près d'un lit ou l'embarquer dans des bagages sans qu'un visiteur, femme de ménage etc. ne tique. Ce n'est pas le cas du martinet ou d'autres instruments spécifiques.

      Mes parents vont venir chercher les enfants aujourd'hui et ma conjointe m'a annoncé que vu mon comportement et ma nervosité récents (je l'admets) elle ne va pas perdre du temps pour me remettre sur le droit chemin.

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    5. Bonjour Mr Pécan,

      Je lis avec émotion et intérêt vos récits personnels. Et je constate une certaine harmonie réciproque dans votre couple. Ce qui est rare de nos jours. Il faut avoir une grande confiance entre les conjoints. Bref.
      Visiblement, la fessée s'ordonne chez vous comme une sorte de rituel. Je me permets cette petite question : votre épouse est-elle issue d'un milieu médical ?
      Je vous pose cette question par rapport au recours avant "fessée conjugale" de matériel à usage médical telle que poche à lavement, thermomètre et autres accessoires. Ou est-ce tout simplement une habitude familiale ? Cela donne l'impression de soigner le côté "physique" de la punition au moyen de la médecin et ensuite le côté "psychologique " avec l'usage de l'instrument choisi.
      (Vous m'excuserez, Mr Pécan, si je vous parais très curieux. Mais ayant été depuis très jeune confronté au monde médical, ma question m'est venue à l'esprit. A défaut, ma question est nulle et non avenue. Bien sûr).
      Mac-Miche

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    6. Cher Mac-Miche, mon épouse n'est pas du tout issue du monde médical. Tout simplement, elle et moi avons été marqués par des gestes médicaux subis dans l'enfance (elle, lavements, et aussi température rectale; moi, suppositoires et touchers rectaux). Cela a réémergé à l'âge adulte.

      Nos fessées ne sont pas forcément des "rituels", ça peut être très spontané... du genre madame me taquine et je lui baisse la culotte et je la fesse sur mes genoux! Toutefois, avec les enfants dans la maison, les actes spontanés sont plus difficiles qu'avant, il faut souvent patienter jusqu'au prochain "créneau".

      Là madame avait trouvé qu'un petit "rituel de coucher", thermomètre, fessée puis coït, et parfois lavement, ferait du bien à ma nervosité et mes insomnies.

      Si on cherche à analyser, il y a sans doute que tant notre mode de fessées très "familiales" (à la main ou avec des instruments "maternels", sur les genoux...) que nos actes "médicaux" (remèdes ou examens naguère fort courants dans les familles) relèvent d'une nostalgie de dorlotage. Quand on est cul nu sur les genoux de son conjoint, un thermomètre inséré ou en train de se faire fesser, on n'est certes pas fier mais on se sent "dorloté"!

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    7. Comme Monsieur Mac-Miche moi aussi je lis avec plaisir et intérêt vos confidences sur vos pratiques en couple, cher Monsieur Pécan. Cela reste toujours dans un registre qui nous est cher, les pratiques bon enfant dont on trouve peu de textes sur le net. Le coté cœur et le côté "cul" dans un joli équilibre qui caractérise pour moi le couple amoureux.
      Idem cette abstraction de la recherche de prouesses et performances, mais plutôt d'une recherche de bien-être que vous décrivez si bien par le mot dorloter.

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    8. Bonsoir Mr Pécan,

      Merci pour toutes ces précisions.
      Il semble qu'une certaine harmonie règne dans votre ménage et c'est toujours réconfortant. A l'image de celui de notre chère Isabelle.
      Vous avez écrit le mot "dorloté" qui à mon avis, résume à lui seul ce "retour" momentané sur un temps passé dont on conserve la trace en mémoire. Un passé plutôt recomposé où l'on renoue avec certains gestes issus d'un vécu familial réciproque. On reproduit une ambiance protectrice qui satisfait les deux partenaires et c'est le principal. Une sorte de garde-fou dans la mesure où chacun veille au bon confort de l'autre.
      Comme moi (je suis quinquagénaire depuis peu), vous avez peut-être vécu avec un papa très très occupé par son travail et qui, comme le mien, a du, par nécessité, délégué son autorité parentale à votre maman. Qui a du imposé l'autorité d'une part, et la tendresse maternelle, d'autre part. Double tache très délicate.
      Ma maman, Italienne d'origine, avait ce tempérament très "mère-poule" avec ce mélange de tendresse et de d'autorité (elle aimait bien être obéie)et elle devait régenter la maisonnée et ses enfants. Et cette "autorité maternelle" nous a marqué à mon frère et moi-même. Et notre vision des femmes s'en est trouvée modifiée. De même,les notions de respect et de travail nous étaient transmises comme dans les foyers simples de notre époque. J'espère que ces principes sont encore en vigueur. J'ose le croire.
      Mac-Miche.

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    9. Merci encore Isabelle pour ce qualificatif de "bon enfant", qui me semble très bien résumer nos activités!

      Comme vous dites, nous ne sommes pas dans la course à la prouesse, aux performances, à l'étrangeté, aux pratiques intenses.

      Pour la "vanille", même si nous varions les positions, nous trouvons que nombreuses propositions en la matière relèvent plus d'une gymnastique destinée aux caméras que du plaisir du couple. Pour tout dire, nous pratiquons assez souvent le "missionnaire"!

      Quant à la fessée ou aux petits jeux hygiéniques ou médicaux, nous ne pratiquons rien qui soit franchement douloureux ou qui laisse plus de traces qu'une rougeur momentanée, un certain inconfort cuisant, une lubrification insolite pour l'endroit, ou l'envie d'aller à la selle. Le tout avec des pratiques naguère courantes dans les familles.

      Pas de quoi fouetter un chat!

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  6. Bonjour Isabelle,

    C'est juste. Pour le commun des mortels, une grande fille, future femme, se doit d'être réservée, prudente, chaste (l'incontournable mot !). A défaut, elle sera une vilaine fille, voire affublée de qualificatifs peu reluisants. Au mieux surnommée "Messaline", l'épouse de l'empereur romain Caligula qui fut une maitresse-femme aux nombreux amants.
    Le garçon, qui multiplie les conquêtes féminines passagères, passera pour un Don Juan ou un Casanova. Bref, un séducteur patenté. Mais gare au retour du bâton si Madame porte la culotte !
    Mac-Miche.

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  7. Justement, le charme de la fessée est rehaussé en appliquant la poésie de la grande fille à une vraie femme. Pas besoin de copier Messaline qui elle n'a pas semblé été très sage...

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