Pour
que chacun y trouve son compte !
Parmi les plaisirs partagés, mon homme
et moi, nous avons un faible pour la sonorité d'une bonne fessée. Ce penchant comble mon
narcissisme, car je sais mon derrière hautement apprécié et il
comble le narcissisme de mon homme comme celui qui sait s'appliquer
avec un bon sens de musicalité. Enfin, s'il avait un sens de rythme
tout sera vraiment parfait.
Quelle
mauvaise langue cette isabelle !
Tu
t’ennuierais vite sans ma mauvaise langue.
Bref se taquiner fait également partie
de nos plaisir partagés. Puis aussi ce côté délirant concernant
mes tenues. Parfois monsieur à des idées bien précises et assez
classiques et je me fais une joie de m'habiller selon ses désirs.
Mais le plus souvent je lui fais des surprises et déjà en
effectuant mon shopping je me perds dans de joyeuses anticipations.
Comme
il me tarde le moment de la vérité !
Quand ma tenue est trop osée, elle
sera pour un dîner à la maison, en tête à tête. Quand elle est
décente sans manquer de suggestion, c'est pour une sortie le soir.
Ou encore pour une soirée chez des amis, car mon homme aime me voir
attirante dans de telles occasions. Évidement l'effet de mes tenues
sur mon chéri ne m'échappe pas et mieux encore, me donne une sorte
de gentille insolence qui fait vite bouillir son sang.
Alors
un prétexte est vite trouvé pour me passer sur ses genoux.
Loin du registre de la discipline
domestique, ma fessée restera hautement ludique et mes petits rires
et le sérieux de mon chéri créeront une belle ambiance. Induite
par mon déculottage, considéré par mon homme comme le vrai
dessert. Pour mieux le taquiner, je renonce souvent à mes
inévitables strings et le « toute nue » sous mes jupes
le ravit autant que des culottes blanches, très sages d'un autre
âge. J'adore le moment quand mes fesses se trouvent vraiment à
l'air. Il y une impression de frais qui se languit d'un coup de
chaud. Sans oublier mes sursauts quand la main de monsieur s'égare
dans mon entrejambe.
Oh !
Et moi qui te croyais un éducateur incorruptible !
Il prend le temps de me préchauffer
l'épiderme avant de s'élancer avec plus de fermeté. En restant
dans une gamme de claques d'une intensité bien précise, il sait que la chaleur
de mon derrière va vite envahir l’intégralité de mon entrejambe
pour me mettre dans un de mes fameux états dépourvus de toute
retenue...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVos bonnes (?) fessées ressemblent d'une certaine manière à la préparation d'un concert : une sorte de rituel bien rôdé. Ce moment d'excitation et un peu d'angoisse pendant lequel les artistes "mettent la dernière main" (quoi de mieux pour une fessée) aux réglages de la sono et des instruments !!! Pas question qu'une fausse note vienne gâcher l'ambiance ! Quelle déception pour les fans venus en nombre applaudir leurs idoles !
Et j'imagine bien votre compagnon cherchant la note sonore qui garantira le rythme et le succès de la prestation. Qui plus est, s'il a gratté dans son adolescence un peu les cordes à ces moments perdus. Et de votre côté, vous vous échauffez la voix, pour donner le meilleur de vos vocalises, au moment tant attendu !
Et comme vous le savez, Isabelle, le public, aussi fidèle soit-il... en veut toujours pour son argent. Of course !
Mac-Miche.
Quelle perspicacité, cher Monsieur Mac-Miche. Nous aimons effectivement le côté concert dans la fessée. Accorder instruments et chants plait beaucoup à mon homme et bien entendu c'est lui le chef d'orchestre. Enfin, nous sommes discrets et nous choisissons bien l'heure pour notre musique de chambre...
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerQuelle concordance entre musique et fessée. Les deux côtés ne sont pas incompatibles au final.
Et j'imagine bien votre compagnon en parfait
"Kapellmeister" comme le fut le grand Beethoven à ses débuts. Bien des grands noms de la musique classique ont débuté leur carrière comme "maître de chapelle" au service d'une grande famille, souvent protectrice des arts. Et ont servi avant tout la musique religieuse.
Alors, musique, Maestro !
Mac-Miche.
Enfin, ce n'est pas un grand musicien et loin de mon sens de rythme et surtout de celui de notre fille. Mais le cœur y est...rire!
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