Au
menu cette semaine : Fessée initiatique !
A l'adolescence on essaye de faire son
entrée dans la cour des grands. On ne joue plus pour faire semblant
comme font les petits, car subitement cette notion perd son intérêt
et on souhaiterait faire pour du vrai. Il ne s'agit plus de petits
bisous factices pour imiter Papa et Maman, on mets maintenant la
langue. Et contrairement à ce qu'imaginent les tout petits ce n'est
plus considéré comme « dégoûtant » (pour citer ma
fille), mais la nature s'impose avec une telle force que l'on y
trouve excitation et plaisir.
Pénétrer
et se faire pénétrer comme bases de la vie sexuelle.
Certaines filles comme moi ne rêvaient
pas seulement de galipettes tendres avec leur prince charmant, mais
se languissaient aussi de passer sur ses genoux pour une claquante
fessée. De préférence dans un joli cadre avec de jolis habits,
autant pour le garçon que pour la fille. On ne parle pas pour rien
d'un âge romantique !
Je
pense justement qu'une fessée bien menée ne manque pas de
romantisme !
Il y a un dévoilement, le fameux
déculottage qui met à nu les charmes charnelles de la jeune dame.
Et ne manquent pas de princes susceptibles à ce genre de spectacle.
Au lieu de foncer « droit au but », nous restons dans un
registre plutôt timide qui se contente de la surface, de la peau des
fesses de la dame qui va expérimenter une forme de stimulation
particulière, cuisante, rougissante. Pas besoin de claquer des
toutes ses forces. Une application modérée et subtilement dosée
fait l'affaire. L'oreille du jeune prince, attentif au moindre soupir
de sa bien-aimée, lui sera un précieux guide dans cette forme
d'érotisme si particulier. Pas besoin de hâte non plus, car les
parents sont sortis et les circonstances propices pour un laisser
aller. Puis la jeune dame étant plus que proche de l'épicentre du
plaisir du jeune homme, sent se réveiller la vigueur du mâle et
durcir sous son pantalon. C'est une situation que j'apprécie
particulièrement pendant une fessée, surtout punitive. Cette
confusion des sens qui rapproche l'érotisme et morale. Qui trahit
leur origines communes. Cette résexualisisation de la morale qui
fait que la punition se voile d'un aura de plus jouissif...
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Il ne fait pas semblant ce monsieur
(petite série)
Monsieur explore les sonorités ?
(petit clip)
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimer"Morale, romantisme, prince, fessée" : hum... le classique, toujours le classique ! In-con-tour-nable !! Eh oui, difficile de l'effacer...
On peut l'habiller de différentes façons et comme le vilain méchant (pourquoi, au juste ?)loup, il jettera ses fripes au sol à la dernière seconde pour bondir sur les trois petits gorets et n'en faire qu'une bouchée.
Gageons que cette fois, le Chasseur visera juste et parviendra à terrasser la Bête !!!
Mac-Miche.
Ne devenez pas mon prince charmant qui voulait. Et vu que j'ai un côté très superficiel, mieux vaut ne pas se déguiser en loup pour me jouer un jeu. Je ne prendrais pas le temps de voir ce qui se cache sous les apparences...
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerUn soupçon d'exigence élimine les importuns!
Quant à se déguiser en loup, je choisis plutôt la redingote stylée du Loup de Tex Avery. Of course.
Mac-Miche.
Merci Isabelle d'avoir référencé ma parodie du "déjeuner" dans vos liens. J'ai vu d'un seul coup la fréquentation de mon blog faire un bond!
RépondreSupprimerJ'adore vos liens du vendredi! Mes préférés de cette semaine vont à la pureté : "vintage pur" et "classicisme pur"
Quant à savoir pourquoi cette jeune étudiante a besoin d'avoir les fesses à l'air, j'avoue me perdre en conjectures . Si quelqu'un a une explication ...
Moi aussi j'ai un faible pour le vintage cher professeur Max! Mais plus encore j'adore les images qui semblent raconter une histoire comme celle de notre étudiante!
SupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerLe bon vieux classique indémodable (comme la mode des années 1980. Rires): y'a que ça de vrai. Comme je le dis souvent.
Cela fait :ringard, rétro, has-been et tout ce qu'on voudra. Mais il fait recette à chaque fois. Comme le tube planétaire de Monsieur Hernandez en dancing .
Mac-Miche.
Pour ma part je suis une grande fan du rétro. Plutôt années 70, musique de ma petite enfance qui s'écoute encore dans chaque fête en Allemagne.Et peu importe si on me traite de ringarde ou autre chose...
SupprimerBonjour Isabelle,
SupprimerVous avez bien raison de vous moquer des "Quant-dira-t-on". Le principal est de s'amuser et de tirer le meilleur parti du moment. Ah, les années 1970 !! J'étais au Primaire à cette époque.
Voyez, je ne connais que peu d'artistes musicaux d'Outre-Rhin à part le groupe Nenna (1983-84)avec son fameux "99 Luftballon", ou encore Falko ( 1986- Der Kommissar).
A l'inverse, qu'en est-il pour nos artistes ? Rires.
Mac-Miche.
Désolé pour cette énienne digression).
Je crois qu'il faut être allemand pour connaitre les chanteurs allemands des années 70. Nous avons entre autres une sorte de Johnny Halliday qui s'appelle Peter Maffay, puis les liedermacher "faiseurs de chansons" style Frederic Mey, puis du vrai ringard comme le célèbre Heino.
SupprimerBonsoir Professeur,
RépondreSupprimerVous ici ? Quelle surprise !! J'espère que la semaine de cours n'a pas été trop pénible ? Ces nouveaux étudiants et étudiantes (les demoiselles me semblent très agitées et un soupçon arrogantes!) ne respectent plus les traditions. Que voulez vous...
Pour répondre à votre question, tout simplement, cette demoiselle doit méditer sur ses erreurs et exposer la cuisante conséquence de ses actes à la vue de la noble assemblée de ses condisciples.
Mac-Miche.
Pour ma part j'ai l'impression qu'elle cherche à faire une impression impérissable sur le monsieur!
RépondreSupprimerBonsoir Isabelle,
SupprimerEn se montrant docile après la punition, elle pense peut-être ainsi "amadouer la bête". Et influer sur ses prochaines bêtises. Qui sait...
Mac-Miche.
(NB : Blogger a agencé différemment vos commentaires hier et ce matin. L'avez-vous remarqué ?)
Les filles qui ont peur des garçons cela n'existe pas, cher Monsieur Mac-Miche! Rire. Alors si elle se montre docile, elle doit avoir une idée derrière la tête.
SupprimerNB: Blogger n'y est pour rien. J'ai quelques problèmes techniques avec ce blog et j'ai tenté différents manœuvres pour y remédier.
Un début d'érection pendant l'administration d'une fessée, c'est très ... bandant, ce qui ne fait qu'amplifier le phénomène. "Cette confusion des sens qui rapproche l'érotisme et morale. Qui trahit leur origines communes." C'est tout à fait cela et si cela vous ravit, le fesseur le montre bien aussi : plus je suis sévère, plus j'ai du plaisir et plus j'ai du plaisir, plus je suis dur et inflexible, dans tout les sens du terme.
RépondreSupprimerMerci pour cette extension du sujet cher Monsieur Bertrand. Effectivement j'ai pu aussi constater de mes propres fesses si j'ose dire que le plaisir du monsieur et la notion de la sévérité sont... intimement liés.
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