vendredi 30 octobre 2015

788 Liens de discipline domestique (189 ème édition)

Au menu cette semaine : Capter l'attention du monsieur en lui mettant...


Non, non ! Il n'est pas absurde ce petit gif. Des messieurs passionnés par les fesses des dames au point de vouloir capter le moindre mouvement cela existe. Sans parler - en passant et quand c'est permis- du petit geste de la main : Caresse, petit pinçon ou savoureuse claque. J'ai un spécimen de ce style à la maison qui après plus de 17 ans ne se lasse pas de vénérer mon derrière. Son activité favorite pour se ressourcer, c'est boire un bon café, préparé par mes soins en regardant mon derrière. Alors oui, le connaissant et pour un effet : « Rien que pour vos tes yeux ! » je fais parfois le service en petit jupe courte qui remonte quand je me penche en avant pour verser le café. Et effectivement, cela lui réussit, car une fois fait le plein, il se jette à nouveau dans son travail avec un sacré nombre de bonnes idées.

Unique ? Non, pas du tout.

Du moins ses amis, ceux que j'appelle les hommes nostalgiques (de la dame sexy d'un autre âge) partagent son penchant. Malheureusement pour certains entre eux passer à l'acte s'avère parfois impossible, car leur dame n'aime pas de telles attentions. Non, elle(s) n'est (ne sont) pas des femmes objet comme moi.

Pourquoi je dis cela ?

Parce que loin de moi d'avoir froid aux yeux et de me contenter d'attendre l'initiative de mon homme. Il pourrait d'ailleurs sortir une longue (très, très longue) liste de mes audaces. Par exemple j'adore le mater quand il bricole un truc ingrat. Moi de préférence, confortablement installée sur un divan pour que je puisse lui donner de précieux conseils ou pour l'égayer par mes commentaires pendant que je me vernisse mes ongles.

Une touche de sadisme de ma part ? Mais bien entendu !


Trouver le bon costume pour faire la fête est tout un art ! Avant tout il me paraît important de faire plaisir à mon chéri. Puis j'adore lui lancer en même temps de vrais défis. Je dois considérer cela un peu comme une preuve de virilité quand le monsieur reste maître de la situation. Mon faible tend vers les petites choses qui font travailler sa matière grise. Je m'imagine facilement habillée (façon de dire) comme cette dame en lui expliquant que j'ai perdu la clef de la ceinture. Évidement, il sentira de loin la mise en scène, mais me connaissant, le doute s'installera vite. Il n’exclura pas l'hypothèse que j'aie vraiment perdu la clef. Puis partagé entre le plaisir de me regarder sous toutes les coutures et la bonne volonté de me tirer de l'affaire, ce sera sans le moindre doute son côté consciencieux qui emportera.

Ne t’inquiète pas, isabelle...

Bien entendu je ne m’inquiète pas, car je me sais entre de bonnes mains. Non seulement il sait tout faire, encore mieux que mon papa, mais en plus personne ne sait flatter mon narcissisme comme lui. Notons l'insouciance des mœurs à l'époque de cette publicité...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



La fessée très sexy (petit clip et images)








Discipline traditionnelle (petite série)













Jadis dans une école (petite série)


8 commentaires:

  1. Enfant, j'ai reçu des "fessées de bonne nuit"... si je m'étais très mal comporté dans la soirée, voire dans la journée si maman n'avait pu prendre le temps de régler l'affaire avant. Maman me rosissait les fesses nues en me grondant puis me mettait au lit en me faisant la bise et en recommandant de ne plus recommencer et de méditer un peu.

    Adulte, mon épouse a repris le flambeau. :)

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  2. Bonjour Mr Pecan,


    Je ne dirais qu'un mot (enfin deux) : heureux homme.
    Il y a une sorte d'expression , en italien qui sur le ton de la plaisanterie (?) , affirme que "un homme passe des bras de sa mère à ceux de son épouse".
    Et la bienveillance de votre mère m'a rappelé avec émotion celle de ma maman : sévère mais avec tendresse.
    Mac-Miche

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    1. Ah ces pauvres mamans. S'il elles savaient que leurs fils les font passer sur des blogs de fessée...

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    2. Bonjour Isabelle,

      Ah oui, là , je vous approuve tout à fait... Que diraient nos chères mamans si elle l'apprenaient ? Amusées ou contrariées ? Du style : "Encore à raconter des histoires de fessées !!! A ton âge ! - Mais, ma petite maman, c'est pour m'amuser !!
      - T'amuser ?? Vraiment ?? Tu te moques de moi ?! Allez éteins
      çà ! Et viens m'aider.
      - Pas envie !
      - Ah, ne commences pas tes caprices !! Ou je t'en donne une !
      -T'es pas cap, maman ! Et avec tes rhumatismes, c'est dangereux !
      - Attend un peu ! Garnement ! Que je retrouve le martinet !
      Une maman reste toujours une maman !! J'aurais encore la main
      leste !!! Insolent !
      Ah, les mamans ! Maternelles jusqu'aux bout des ongles ! Rires.
      Mac-Miche.




      D'une certaine manière, on leur rend hommage à leur bienveillante et parfois cuisante autorité ! Et c'est un peu grâce à elles, si nous autres, leurs fils et éternels garnements cultivons ce goût pour la DD réciproque.

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    3. Personnellement je ne suis pas une fan de la maman collante. J'aime trop l'esprit d'indépendance dans lequel j'étais élevée. Cela doit dépendre des personnes. Mon homme par exemple aussi se verrait mal avec une femme lui rappelant sa mère. Je crois que la clef pour la compréhension de ces différences se trouve dans le contenu personnel du terme maternel ou plus précisément dans la conception disons... de la bonne mère !

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    4. Bonjour Isabelle,

      Je rebondis sur votre commentaire. La dernière phrase résume l'essentiel de notre vision des relations maternelles.
      Comme vous l'avez remarqué, je fais assez souvent référence à ma maman et à son rôle primordial dans son ménage. en particulier l'autorité parentale que lui avait délégué mon père , souvent absent pour son travail en horaires décalés. Elle avait un tempérament fort et un brin autoritaire dans notre éducation à tous les trois.
      Mes rapports avec ma maman était en mode de "sur-protection" (le terme me dérange et semble péjoratif) en raison de mes graves problèmes de santé (Mucoviscidose) qui ont failli me coûter la vie. J'ai vécu dans une ambiance faite d'un mélange d'angoisse, de souffrance et d'espoir et à l'époque (tout début années 1970) la médecine n'était pas aussi au point qu'aujourd'hui. Aucune jalousie de la part de ma sœur et de mon frère, vis-à-vis de cette tendresse particulière venant de ma maman. Bref.
      Question autorité, ma maman se réservait pour elle-même le droit de me gronder et de me punir comme elle l'entendait. C'était assez rare mais cela arrivait selon la situation . Et dans le même temps, j'essayais du mieux possible de lui causer le moins de soucis en dehors de ma santé.
      Malgré tout, rester pour moi "le grand garçon toujours obéissant avec maman" (et papa, bien sûr) me pesait parfois et j'avais envie de casser cette image et de jouer les garnements. Mais bien vite le naturel reprenait le dessus. On ne se refait pas. C'est la vie.
      D'où également ma sensibilité en matière de DD inversée dans laquelle Madame tient les rênes du ménage. Et l'abondance de mes illustrations en ce sens. Vestige lointain de mon éducation oblige...
      Je m'éloigne quelque peu de notre sujet favori mais mon présent commentaire devait rappeler ces évènements très importants pour l'appréciation de mes écrits. s'y raccroche d'une façon, dirais-je, indirecte.
      Vous m'en excuserez comme à l'accoutumée.
      Mac-Miche.

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    5. J'ai un peu l'impression que vous attribuez la provenance de vos fantasmes à un vécu particulier dans votre enfance et en partie à des comportements de votre maman envers vous. Personnellement je pense qu'il est impossible de déterminer la provenance d'un fantasme. Ce qui est possible par contre c'est de comprendre le fonctionnement de votre fantasme. Et à ce niveau-là effectivement le personnage de votre maman vu par vous semble tenir une importante partie. Enfin , les choses sont complexes à démêler...

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  3. Enfin, pas besoin d'expériences d'enfance pour qu'un fantasme de fessée se développe.Par contre élément récurant chez bien de personnes ce sont les menaces à ce sujet sans la moindre suite.

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