lundi 2 mars 2015

663 Un fantasme bon enfant (Lundi cinéma)

Quand la jolie infirmière donne un...


J'avais déjà parlé de ce sujet ici, matériel visuel à l'appui,mais je ne puis résister pour vous montrer cette trouvaille. Je trouvé ce petit clip tellement adorable que j'aie envie une de ces mâtinées quand mon chéri a envie de se plaindre de sa santé (cela lui arrive assez rarement !) pour me présenter devant lui dans ma tenue d'infirmière. Achetée dans un magasin de farces et attrapes et qui a servie une année pour le carnaval. Sans oublier le petit chichi pour les cheveux qui va avec. Pour faire plus crédible. D'ailleurs mon homme connaît bien son infirmière privé et il se méfie généralement quand il la voit rappliquer avec les gants en latex, le tube de vaseline et le thermomètre entre les mains. Avec d'autres mots, il aime beaucoup me déculotter , de mettre me fesses à l'air, mais pour sa part il n'aime pas trop se trouver dans le cas contraire. Pour ma part par contre, je prends mon pied pour lui rendre la pareille. Ne me méprenons pas. Je me verrais mal le fesser. Mais je suis facilement partante pour tout genre de jeux ambigus qui jouent sur le flou qui existe entre un acte purement médical d'un côté et la nudité imposée et les attouchement aux endroits sensibles de l'autre côté.

Puis c'est tellement agréable de voir un homme baisser sur commande son pantalon devant une dame !

A ce niveau, rien à dire, mon chéri se laisse faire. D'abord son éternel 501, puis un son caleçon. Bref, il connaît la musique. Par contre je suis sure qu'il ne s'attendra pas pour le moins du monde que je débute ma prestation par un :

N'ayez pas peur, jeune homme, je vais vous montrer d'abord exactement ce qui va se passer...

« Chorégraphie » d'une simplicité déconcertante dans un but purement médical. Sans trop rentrer dans les détails, il s'avère que le passage de « Nurse isabelle » lui procure à chaque fois un coup de fouet pour le remettre sur ses pieds. Oublié le bobo. Et je ne parle pas de la libido.

Notons l'effet frappant sur bon nombre de messieurs quand la fille devant leurs yeux se met quelque chose dans son... enfin, vous m'avez comprise.

Par contre moi, je n'ai su percer à ce jour le mystère de cette fascination de nos grands garçons.

A moins que ce clip réactive certains souvenirs du fameux catalogue « La redoute », bien connu par les hommes d'un certain âge comme une publication qui permet en toute tranquillité de regarder les filles en sous-vêtements. N'oublions pas l'appareil de massage qu'y apparaît , si évocateur par sa forme et semblant quelque peu inadapté pour les joues d'une dame.

Peut-être ce clip joue sur la découverte de la différence entre filles et garçons et qui apparaît comme sujet d’arrière plan.

Pour finir une association perso. Ben oui ! Mon blog est truffé d'associations persos et je suis toujours contente de découvrir celles de mes lecteurs.

C'est beaucoup plus intéressant, je trouve que le histoires de c..l.

Alors je m'imagine, en jouant à la vilaine infirmière isabelle, celle qui incite le monsieur à explorer ou du moins à contempler les chemins de traverse, rappelée à l'ordre par une dame qui défend les mœurs par les « bonnes, veilles méthodes ». Pas la peine de me déculotter. Il suffit de retirer le thermomètre pour m'appliquer une très claquante fessée. Et mon homme dans tout cela ?

Il sera ravi du spectacle et le terme est faible !

31 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Le Clip est très explicite et invite à un cours très... particulier. Au regard de la pellicule, j'ai pensé à un court-métrage de Nu-West Leda ou Shadow Lane Vidéos. Mais bon... Le contraste "presque-nudité et coiffe" joue sur le point de séduction qui titille notre... for intérieur, si je puis dire à nous autre les messieurs quadragénaires et plus. Rires.
    Et merci pour l'évocation-souvenir des pages lingerie des vieux (?) catalogues de La Redoute qui ont "contribué" (à moindre frais) à notre éducation intime. Perso, je piquais en cachette ces catalogues pour feuilleter mode classique et lingerie. Mais je retournais les ranger dès que j'entendais les pas de ma Maman dans l'escalier. Elle me trouvais trop jeune pour feuilleter les revues coquines. Et connaissant le caractère assez autoritaire de ma Maman, je ne voulais pas risquer une bonne fessée pour... désobéissance. Hé oui, le vestige d'une autre éducation...
    Mais c'est un temps que les moins de trente ans ne peuvent pas connaître.
    Merci Isabelle,
    Mac-Miche

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  2. J'aime bien évoquer un autre âge cher Monsieur Mac-Miche parce que cela me rappelle ce que j'entends par mon homme et ses amis. C'est très troublant pour moi de m'y plonger dans un passé que je n'ai pas connu. Quant aux dames nues, on en trouvait et trouve encore partout en Allemagne. Dans quasiment toutes les journaux populaires, il y a la fille de la page 2 (ou 3, j'hésite ; rire!) Puis il y a avait un parc pas loin de mes parents où on pouvait faire du nudisme, version marche et vélo. Quant à mes frères, ils avaient de collections impressionnes de magazines.

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    1. Bonjour Isabelle,

      Je suis toujours étonné par le contraste qui existe entre France et Allemagne en matière de moralité, si je puis dire.
      Malgré le *siècle de Lumières qui avait pour but de libérer la société du carcan des "vieilles habitudes", la France reste malgré tout attaché à une certaine décence morale alors qu'en Allemagne, visiblement, les choses semblent avoir évolué de ce point de vue là, alors que l'on prêterait à nos voisins d'Outre-Rhin un attachement plus strict à l'évolution des mœurs. Souvent , dans l'esprit du grand public,
      Le pays de Goethe reste synonyme de rigueur, de travail, d'effort et de moralité stricte. Mais comme pour toute chose, tout évolue avec le temps. Et c'est tant mieux dans certains cas. Ce n'est qu'un constat de ma part, vu de l'extérieur ,et vous êtes plus qualifiée que moi pour en parler. Je ne cherche à juger personne, loin de moi cette idée.
      Mais certains clichés perdurent parfois...
      Au passage, dans un domaine proche, j'avais lu dans un article du journal "Le Monde" (de 1997-98 ou 2000) que les autorités sanitaires suisses avaient mis en place des auxiliaires "à domicile" pour permettre les ébats intimes entre personnes handicapées physiques et cela semblait être une première en la matière. Belle initiative, non ?
      Une initiative que nos têtes soit-disant pensantes (ha, je ris !!!) n'ont jamais mis en place et qui pourtant concerne une certaine catégorie de population ( Un de mes cousins d'Alsace, en particulier). Notre altruisme indécrottable nous perdra. M'enfin !
      Mac-Miche.

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    2. Ne soyez pas étonné, Mac-Miche, parce que la différence n'est pas si grande que ça. Ma mère née dans l'immédiat après guerre a vécu à plein la libération sexuelle et a adoré le nudisme. Lorsque Isabelle parle du sauna, du nudisme qu'elle a vu les adultes pratiquer dans son enfance, je ne suis pas vraiment surprise. C'est ce que j'ai vu faire à ma mère aussi.
      Maintenant que j'en parle, c'est peut être pour ça que j'ai pu parler relativement facilement de sexualité avec ma mère. Mais je n'ai pas vraiment eu l'impression qu'elle soit une exception.

      Constance

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    3. Mmmh. Dans la génération d'après guerre devenue adulte dans les années 70 il y a ceux qui ont profité de la liberté des mœurs (sexualité, nudisme...) et ceux qui l'ont déplorée (ma mère assez coincée).

      C'est vrai que quand j'étais enfant on parlait de plages nudistes et je ne sais pas si c'est aussi populaire de nos jours.

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    4. Pour Monsieur Mac-Miche

      Je pense en Allemagne comme en France, il ne faut pas oublier l'entourage dans lequel on grandit. Tous les Allemands ne font pas du nudisme et il doit exister bien de Français en font. Mais disons pour profiter de l'innocence de mœurs, il faut savoir respecter certaines règles de jeu. Faire la part des choses. Savoir où on fait quoi. Savoir quand on fait quoi. Être assez discipliné pour s'en tenir. En gros la loi doit intervenir quand le bon sens échoue... Et à ce niveau bon sens cela marche assez bien (les exceptions confirment la règle) en Allemagne. Pour comprendre la législation française par contre, il me manque la connaissance de leur histoire. Notons, cher Monsieur Mac-Miche comme montre votre exemple que la Suisse est un pays particulièrement permissif sur certains niveaux. Dans un centre commercial un sexshop ne dérange personne et peut se trouver entre une boucherie et une crèmerie. Et j'étais étonnée de voir les maison avec la lumière rouge, littéralement, qui invitent aux activités inter-humaines. Enfin chaque pays sa spécificité...

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    5. Pour Constance :

      Un peu pareil comme pour toi. Ma maman est née en fin de guerre. Dotée d'une grande ouverture d'esprit et d’expérience de la libération sexuelle, je me trouve même pour ma part bien sage à rapport d'elle. Et comme vous, nous parlons très librement de la sexualité.

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    6. Pour Monsieur Pécan :

      Concernant l'Allemagne le nudisme en club me semble un truc des vieux !

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    7. Bonjour Isabelle, Constance et Mr Pécan,

      En effet, le débat au sujet du nudisme a ses détracteurs et ses partisans. Mais comme l'éducation, cela concerne chaque couple et par extension chaque famille.
      Je comprends tout à fait votre point de vue et celui de Constance.
      Je rejoindrais plutôt le constat de Mr Pécan, en ce sens que mes parents nés bien avant guerre, ont réagi par rapport à l'éducation stricte qu'ils ont reçus et ceci explique cela.
      Je me souviens que le nudisme choquait ma Maman surtout par le fait que cette nudité semblait "imposée" aux enfants. Mais avec l'âge, elle était devenue plus tolérante envers certaines libertés de mœurs.
      Comme le dit si bien Mr Pécan, nos parents de l'ancienne génération, semblaient un peu "coincés" côté mœurs. Difficile de porter un jugement de notre part, d'autant que de nos jours, l'évolution de la société et la TV ouvre l'esprit vers d'autres façons de vivre sa sexualité. A leur époque, il n'y avait que la radio pour distraire et informer . Le nudisme était surtout pratiqué par certaines catégories de personnes, au confort financier et matériel qui se permettaient ces "caprices" (Rires). Perso, ce n'est pas vraiment le genre d' "exhibition" qui m'attire mais bon , c'est mon sentiment perso. Chacun/e est libre de la vivre comme il l'entend, du moment qu'il/elle ne dérange pas les gens qui l'entoure. Autres temps, autres mœurs...
      Mac-Miche

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    8. Loin de moi aussi cher Monsieur Mac-Miche de critiquer l'ancienne génération. D'ailleurs que chacun vive sa sexualité à sa manière à condition de ne pas nuire à autrui. Loin de moi aussi sur mon blog de chercher des témoignages exclusivement vécues. Ce qui m’intéresse aussi ce sont les fantasmes, les idées, les réflexions, les association etc. Que chacun raconte ce que le sujet lui inspire sans toutefois trop dévier du point de départ. Enfin, vous me connaissez, je vois très large.
      Pour finir, loin de moi d'amener mon enfant pour faire du nudisme. Je suis plutôt classique et je donne facilement une impression de coincée, ce qui ne me gêne pas. Au contraire, je crois que je me fâcherai pour de bon, si on me prenait pour une hédoniste ou libertine...

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    9. Il est curieux comment les tabous de la pudeur et de la propreté se manifestent différemment selon les pays.

      Aux États-Unis, une fois les enfants suffisamment grands pour tenir un thermomètre dans la bouche (disons vers 5 ans pour un thermomètre au mercure), on abandonnait le plus souvent la température rectale. Pas de suppositoires hors les laxatifs. En revanche, dans les années 1950, lavements aux enfants plutôt courants pour divers motifs (constipation, fièvre...) et ça se faisait encore visiblement de façon non négligeable dans les années 1970. Pas de nudisme (du moins hors espaces très restreints). Circoncision quasi généralisée.

      En France c'est un peu l'inverse. Températures rectales pour les bébés, puis le plus souvent on continuait en rectal en demandant au patient d'insérer le thermomètre. Beaucoup de suppositoires aux enfants. Lavements rares, seulement sur prescription médicale. Nudisme à partir des années 1970. Peu de circoncision hors motifs médicaux ou religieux.

      En Allemagne, il me semble qu'il y avait du nudisme, mais pas de température rectale ni de suppos.

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    10. Le nudisme est dans la culture Allemagne. Bien de villes mettent à la disposition des nudistes des endroits pour s'adonner à leur passion. Ce sont des endroits accessibles à tous, un peu à l'abri du regard.

      La prise de température rectale existe aussi en Allemagne pour les bébés. Après c'est une question de la famille qui préfère l'une ou l'autre méthode. Par contre je ne suis pas au courant pour le milieu hospitalier.
      Quant aux suppositoire, les fameux Zäpfchen, on en trouve facilement pour chaque groupe d'âge et quand je vois mon docteur en Allemagne, je demande souvent cette forme de prescription (qui tout de même se justifie dans mon cas!).

      Passons enfin au lavement, très en vogue dans un certain milieu dans les années 80 qui faisaient des jeunes pour le bien-être du corps. C'est ainsi que j'ai entendu parler pour la première fois de cette pratique.

      Enfin et c'est là, la question qui me semble importante. Pourquoi les uns développent « une addiction à ce genre d'amusement », tandis que d'autres s'en détachent complètement ? On peut certainement expliquer ce « goût » par un vécu dans l'enfance, mais en creusant plus profondément on tombe sur le terrain favorable qui -selon moi- ne s'explique par rien...

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  3. Chez nous c'est plus simple, pas de tenue spéciale: si je suis malade ou si j'en ai l'air, madame, après le cas échéant m'avoir fait défaire mon pantalon, me dit "sur le ventre!" ou "sur les genoux!", me baisse le pyjama ou le slip et le moment de honte arrive quand elle m'écarte les fesses. Soit vaseline, soit gel. Numérique si nous sommes un peu pressés, en verre si elle veut taquiner. Puis elle remonte le slip ou le pyjama après l'éventuel suppo de paracétamol (ou, pire, celui contre le mal de gorge).

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  4. D'ailleurs quand je suis malade madame mon épouse prend son allure "maman poule" dorlotante... et un peu autoritaire. Cela va de me mettre au lit tôt à m'administrer un lavement si je suis encombré en passant par la préparation de tisanes ou d'autres petits soins.

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  5. Ne croyez pas que je passe ma vie dans des tenue pas possibles cher Monsieur Pécan. J'aime bien sans que cela soit une obligation. Notons quand il nous manque du paracétamol en comprimé pour mon homme, qu'il a droit à un de mes suppositoires. Dans l'ensemble je suis assez « Maman poule » aussi sans manquer de fermeté surtout quand mon homme travaille trop...

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    1. Ah ici pour le paracétamol c'est tendance suppo le soir, parce que madame aime bien l'expression "un suppo et au lit".

      Pour le "travaille trop", quand nous avions une vie plus régulière c'était fessée en cas de coucher trop tardif sans excellente raison ("une fessée et au lit").

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    2. Il y a un truc qui m'intrigue. Le travailler trop m'arrivait aussi fréquemment dans le temps et il fallait la fessée pour me calmer efficacement. Nous sommes là loin de la fessée pour bêtises et plutôt dans la fessée thérapeutique...

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    3. Vous savez, chez nous aussi l'agitation, la nervosité etc. excessives étaient (et sont encore, sous réserve des enfants) cause d'un passage sur les genoux: température (des fois qu'il y ait un problème) puis fessée. En cas de fatigue, c'est une fessée et au lit.

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  6. Ah oui, l'agitation et surtout la nervosité je connais bien. S'ajoute un tempérament à s'emporter facilement. Enfin cela ne m'arrive pas tous les jours. Notons aussi ma réelle volonté de limiter de tels dégâts. Souvent, rien que de penser à ce que pendra mon fessier en cas de mauvais comportement, me permet efficacement de me calmer. C'est devenu un sorte de réflexe...

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  7. Chère Isabelle,

    Je pense qu'il faut en partie chercher les origines des fantasmes dans la culture des personnes.

    En France, pour une personne de la génération de mes parents, il était naturel non seulement de prendre la température rectale des petits enfants, mais aussi de la prendre soi-même de cette façon et de la faire prendre ainsi à ses enfants. Comme mes souvenirs et la BD "Bidochons" l'indiquent, c'était ainsi que l'on faisait dans les hôpitaux aussi (demander aux patients de la prendre ainsi). Même si de nos jours cela fait peut-être "vieux jeu" de prendre sa température ainsi, cela se pratique encore couramment, j'en ai l'impression.

    Par contre, aux États-Unis, il est il me semble très rare que des adultes ou des adolescents prennent leur propre température rectale. Du temps de l'enfance de mon épouse, soit on avait affaire à de très petits enfants et on la leur prenait rectalement, soit ils étaient suffisamment grands pour utiliser un thermomètre oral. J'ai même vu un blog où une jeune américaine disait que l'usage plus "tardif" du thermomètre rectal par sa maman était un reste de l'origine européenne de celle-ci!

    J'ai l'impression que, par conséquence, la prise de température rectale est plus associée dans l'esprit américain à une humiliation infantilisante que dans l'esprit français.

    Le choix des instruments est également très culturel. J'ai l'impression, en lisant des souvenirs d'enfance ou des bandes dessinées, que pour un américain l'instrument maternel par excellence est la brosse à cheveux, pour un français c'est le martinet, pour un maghrébin la babouche, et si j'ai bien compris pour un argentin la pantoufle. À part que le martinet n'est guère vendu hors de France, il n'y a pas de raison particulière à cela si ce n'est l'habitude.

    Il me semble que vous avez mentionné une amie ayant subi la brosse, de quel pays était-elle? L'usage de la brosse me semble peu fréquent en France, même il y a 30 ou 50 ans.

    Quant au lavement, c'est il me semble un fantasme typiquement américain, en raison de l'usage répandu de ce remède dans les familles et les hôpitaux il y a 60 ans, avec décroissance depuis. La génération baby-boom a connu éventuellement le lavement maternel pour cause de fièvre ou de constipation, le lavement à l'hôpital avant les opérations et les accouchements, etc.

    La brosse et le lavement "débordent" maintenant des États-Unis en raison de la prééminence de la production pornographique de ce pays. Je me demande si par exemple Constance aurait pris cet instrument si elle n'avait pas lu ou vu des fessées "à l'américaine".

    En revanche, les américains et britanniques utilisant peu le suppo médicamenteux, il est très rare de lire des histoires en anglais les mettant en scène... sauf parfois si l'histoire est censée se passer en France ou Espagne!

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  8. Elle est intéressante votre étude culturelle cher Monsieur Pécan. N'oublions pas non plus la question du milieu. Il y avait une grande étude en Allemagne sur la « génération battue », les personnes ayant plus de 40 ans en gros. Il en ressort que bien de gens se servaient de ce qui leur tombait sous la main pour « corriger leurs enfants ». Et que le Rohrstock( la canne) était plutôt lié à un rituel de punition, donc reversé à un certain milieu. N'ayant pas connu cette époque, il en va de soi que je ne puis apporter autre chose que les témoignages de mon homme et de ses amis. En gardant toutefois une grande pudeur sur le sujet pour ne pas « dénaturer «  mon blog. Mais culturel/socio-culturel ou pas, nous ne sommes pas égaux devant les fantasmes. Ne perdez jamais le « terrain personnel qui est favorable » des yeux quand il s'agit de mettre lumière dans nos propres fantasmes.

    Quant à mon amie, elle est française et sa mère aussi. Je ne saurais expliquer l'emploi de la brosse » dans cette famille. Comme vous je constate une grande présence de la brosse dans les clips autour de notre sujet et du paddle en bois aussi. Je n'en montre que rarement parce que souvent l'état des fessiers traités heurte ma sensibilité personnelle.

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  9. Il me semble qu'il y a une différence entre la brosse et le paddle: ce dernier, comme le martinet, est un instrument uniquement punitif, qui n'a pas d'autre justification, tandis que pantoufle et brosse peuvent se trouver dans chaque domicile et ne nécessitent pas un achat compromettant.

    Je peux imaginer une mère de famille achetant une brosse en bois solide mais hésitant à acheter un "paddle".

    Pour la brosse et le "paddle" (chez nous, une planchette à découper), si on en prend une avec une surface large et pas trop de bras de levier et qu'on ne prend pas un grand élan, cela fait beaucoup de bruit et rougit mais sans plus. Il y a longtemps j'avais provoqué des traces avec une brosse sur le fessier de madame mais je pense que c'était la forme de la brosse qui était mal choisie. Depuis nous avons acheté une brosse plutôt large et plate...

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  10. A vrai dire je me suis toujours demandée à quoi puisse bien servir un paddle autre que fesser. Là avec votre commentaire j'ai eu enfin le déclic.
    Parfois ma lenteur d'esprit m'effraye. Rire ! Ceci dit comme bien d'Allemandes qui se respectent, j'ai des petites planchettes à découper à la maison qui servent pour le petit déjeuner. Je vois donc parfaitement de quoi vous parlez. Enfin, mon homme n'est pas un fan des pervertibles.

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    1. Comme vous dites, acheter un objet spécifique pour la punition (martinet ou Rohrstock) indique une sorte de rituel prémédité, avec aussi tout le côté compromettant de pareil achat, alors qu'un "pervertible", même acheté avec une double intention, laisse le bénéfice du doute.

      C'est pour cela que je pense qu'il était plus facile pour une mère de famille américaine de chercher une brosse à cheveux solide (comme elle avait reçu dans son enfance ou qu'elle avait vu recevoir) que de chercher un "paddle"... même si apparemment on en vendait comme "novelties".

      Il fut un temps où l'on trouvait ce genre d'objets dans le commerce:
      http://img0.etsystatic.com/017/0/5852969/il_570xN.486693600_imwm.jpg

      "For the cute little deer with the bear behind" qui se lit phonétiquement comme
      "For the cute little dear with the bare behind"...

      La psychologie est évidemment différente pour un jeu entre adultes consentants.

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  11. Vous pouvez acheter un Rohrstock dans les magasins pour bricolage ou jardineries sans que cela attire de l'attention et pour un prix de rien du tout. En s'y connaissant un peu, c'est un excellent matériel de dépannage.
    Mais disons que pour éviter tout genre de dégâts, mieux vaut l'acquisition d'un Rohrstock gainé de cuir de veau. Ceci dit ayant acheté dans le temps bon nombre de martinets en commerce traditionnel ou en supermarché, personne ne fait des remarques généralement. Je pense que cela devrait être pareil aux Etats Unis pour les paddles, non ?

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    1. Je ne sais pas à quel point les "paddles" étaient largement en vente. Je n'en ai jamais vus mais je pense être arrivé aux USA à une époque où ces objets étaient déjà largement obsolètes... là du moins où j'allais (états "progressistes").

      Là encore, difficile de demander à la belle famille!

      Reste aussi que ce modèle "amusant" est bien petit par comparaison aux paddles scolaires... toujours en usage dans les highschools de certains états.

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  12. Disons que l'on a tout fait pour culpabiliser les anciennes générations, là où elles croyaient bien faire. Le dialogue me semble donc difficile. J'ai relu, il y a quelques jours le fameux livre du psychologue Dodson : « Tout se joue avant six ans » qui date de 1970. J'avais oublié avec quel naturel il parle de la (petite) fessée. Voila pour dire que ces méthodes étaient approuvées par une élite pensante. Alors il me paraît un peu facile de jeter la pierre sur les personnes d'un certain âge. (Notons si je me laissais aller, j'aurais beaucoup de mal à dire sur les méthodes « cool et 68tardes » de mon enfance.) Pour ma part il m'arrive d'aborder de tels sujets avec ma belle mère qui avec le recul se trouve trop sévère à l'époque.

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    1. Ni ma femme ni moi-même n'en voulons à nos mères pour les fessées qu'elles nous ont administrées. Elles ont agi en personnes de leur époque et, en tout cas pour moi, je n'ai jamais eu l'impression de m'en prendre une sans de bonnes raisons. C'était plus honteux que douloureux.

      Je préfère sans doute cela à des chantages psychologiques comme j'ai entendu mentionner dans certaines familles.

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    2. Bonjour Mr Pécan,

      Comme vous je partage ce même sentiment vis-à-vis de l'autorité et des fessées que nous avons reçus de nos Mamans et de nos Tantes.
      Né au milieu des années 1960, j'ai vécu la fin "officielle" -c'est relatif-de l'usage de la fessée mais pour ma Maman (et d'autres mères certainement) elle restait un moyen efficace pour ramener l'ordre à la maison, L'impact psychologique d'une déculottée était plus importante que la douleur physique. Et puis à l'époque, elle nous inculquait les notions de respect, d'obéissance, de politesse en particulier, les règles de bases de la vie en société. Mon frère a été plus souvent fessé que moi en raison de son caractère, plus disons fondeur que le mien. Mais lui non plus n'avait gardé aucune rancune envers notre Maman. On trouvait cela justifié.
      Quant ma Mère me fessait, j'éprouvais en même temps de la douleur, certes, mais également un sentiment de protection comme si la sévérité de ma Maman constituait une sorte de garde-fou contre les débordements de mon comportement.
      Personnellement, j'ai l'impression que les fessées que nous recevons , nous les garçons, de la part de nos Mamans , nous marquent durablement puisque bien des années plus tard, nous en évoquons encore le souvenir !
      "On aime parfois qui l'on craint" ai-je parfois entendu dans mon entourage. Un auteur avait dit : "l'Amour et la Haine sont les fruits d'un même arbre".
      A méditer... Mac-Miche

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    3. Pour monsieur Pécan

      Votre position et celle de votre dame rejoint ce que dit mon homme. Lui aussi trouve qu'il y avait de bonnes raisons quand sa mère "intervenait". Malheureusement cette attitude que je trouve franche et saine, n'est pas bon à sortir devant tout le monde, notamment devant les adeptes de du chantage psychologique. Bien évidement il ne s'agit pas de faire l'éloge des méthodes anciennes, mais de passer l'éponge sur un passée pour pouvoir passer à autre chose...

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    4. Il est très intéressant votre commentaire cher Monsieur Mac-Miche !

      « ...un sentiment de protection comme si la sévérité de ma Maman constituait une sorte de garde-fou contre les débordements de mon comportement »

      Je pense que vous résumez là la source de bon nombre de fantasmes de fessée qui tournent autour du fait de chercher un sentiment de protection. Sans oublier de mentionner de différentes constellations enfantines dont celle où est vécu la dépendance envers l'adulte avec crainte ( On aime parfois qui l'on craint). Ainsi qu'une autre qui décrit le besoin de rester attaché à l'adulte de référence (même quand on est adulte soi-même) avec une farouche envie de s'en détacher, de s'enfuir, de s'en défaire etc avec un plus ou moins grand succès. Situation qui peut générer par phase une sorte de révolte, de la colère la fameuse ambivalence amour/haine. La thématique que vous abordez est très complexe et dépasse le cadre des commentaires par la richesse de détails et variantes selon les personnes.

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