lundi 9 mars 2015

667 Ma fascination pour les doubles stries (Lundi cinéma)

Quand la punition marque autant le corps que l'esprit !

Pour bien cadrer mon sujet, j'aimerais d'abord pointer sur ce petit clip qui montre que l'application de la canne n'est pas forcement à confondre avec un massacre sur les fesses. Certes, dans mes fantasmes une correction ne peut jamais être assez forte. Comprenons par là que la rêverie met en rapport direct la douleur imaginée et l'excitation réellement ressentie. Dans le sens que plus la douleur augmente, plus le plaisir est intense.

Équation qui ne correspond pas forcement à la réalité de tout le monde.

Quand je me trouve réellement devant ma punition, je n'ai pas l'impression d'une partie d'excitant plaisir. Plutôt d'un sentiment d'avoir mérité ma ration, d'avoir besoin d'être corrigée. D'une atmosphère lourdement chargée qui se languit qu'un orage purificateur éclate sur mes fesses. Avec une petite pointe d'un trouble joliment pervers au fond de moi qui reste avant tout cérébral. Quand mon homme fait siffler la badine dans l'air pour tester sa souplesse, il en va de soi que je ne fasse pas la fière. Je sais également qu'...

...il est dans mon intérêt de bien tendre mon fessier, d'aguicher la canne comme aime dire mon chéri.

Car en choisissant la bonne position, le rembourrage de mon derrière absorbe au mieux l'impact. Même si une vraie punition dépasse le cadre plutôt ludique du clip, il ne faut pas perdre des yeux la juste mesure. L'enjeu aussi de la punition. Je ne me sens ni délinquante, ni pécheresse qui souhaite racheter le salut de son âme à n'importe quel prix. Ni même coupable d'un faux pas hors pair.

Je me sens surtout dérangée par mes mauvais comportements qui font tache.

Ces insolences, entêtements ou gros mots par-ci ou par-là. Parfois j'ai manqué de manière flagrante du respect à mon homme. J'ai donné en spectacle notre couple devant un public parce que je n'ai pas pu résister à mes pulsions. En gros, des petites choses de la vie courante qui certes réveillent mon besoin de punition, mais qui n'apparaissent nulle part dans un registre pénal que ce soit de loi humaine ou divine.

Nous restons dans une « législation personnelle » qui retrace les mesures éducatives d'un autre âge.

Éducation dans le sens propre du terme, d'apprendre à différer ses pulsions désirs ou envies. Et vu que mon autorité interne se montre défaillante devant trop d'exigences de ma part, je la projete à l’extérieur.
Notons que l'autorité que je confère ainsi à mon chéri lui va si bien. J'adore quand il prend son temps pour faire avec moi le tour de la question pour déterminer quel genre punition mérite mon comportement. C'est un peu comme un excellent polar à suspense... 

...qui met mes nerfs à vif avec cette pressante sensation de risquer de me faire pipi dans ma culotte.

Bref, pour provoquer les fameuses doubles stries, si importantes pour me procurer l'effet psychologique qui me met les conséquence de mes actes devant les yeux, qui confirment la réalité de ce qui m'est arrivée et surtout qui me rassurent que chez nous les mauvais comportements ont une suite douloureuse, il suffit de claquer un tantinet plus fort. Ce qui cause une belle brûlure, douloureuse sans être insupportable et les marques correspondantes au nombre d'applications. Soit 5 soit 10 selon la gravité de ma mauvaise conduite. Parfois mon homme estime nécessaire de « marquer le coup »  à l'anglaise :

Et pour finir, isabelle, une (ou deux) pour adultes !

Ce qui implique une ou deux applications supplémentaires (pour arriver à 6 ou très rarement à 12) que je sens bien passer. Puis après dans mon coin, j'aime beaucoup la sensation de glisser mes mains sur les stries, de les masser. Éphémères, elles disparaîtrons sous quelques heures. Voila de ce qui est de technique. Je parlerai dans un deuxième post de la signification de la canne dans l'inconscient collectif allemand, ainsi que de mes moiteurs dans l'entrejambe...

A suivre

4 commentaires:

  1. C'est sans doute très personnel mais je n'apprécie pas les stries.

    Quant au pipi... je demande à ma chère et tendre de se soulager AVANT de se mettre en position. Je crois qu'elle n'a jamais eu de fuite mais elle a jadis demandé à interrompre pour un tour au petit coin...

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  2. Bien évidement il y a un temps prévu chez nous pour que je fasse mon pipi avant ma fessée au cas où. Loin de mon homme de me rendre la fessée autrement désagréable que par l'intensité des claques. Nous sommes très confort, y compris pour le petit coin ou le coin pour méditer dans dans la pièce...

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    1. Mmmh. Quand madame est vraiment trop chipie le pipi d'avant fessée c'est sur un pot émaillé et avec l'air penaud. ;-)

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  3. Je pense que s'il y avait un pot sous la main, cela plairait aussi à mon homme. Pour ma part cela me rappelle la curiosité de mes grands frères pour savoir comment font les petites sœurs.

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