Au
menu cette semaine : Petits non-dits de la vie intime !
Voila un truc quasi infaillible pour
booster la libido de son chéri.
Se
transformer en docile créature pendant un petit instant ?
Admettons que les apparences pointent
dans cette direction. Mais pour ma part je verrais surtout une
inversion momentanée des rôles :
Pour
une fois c'est la dame qui attend.
Sachant ô combien il est jouissif de
faire attendre un homme, au point parfois de ne plus s'en rendre
compte de cette jouissance et de la considérer comme une donnée
naturelle, il est donc facile de comprendre le plaisir de son chéri.
De
toute façon il sera encore plus à nos petits soins... après !
Je veux dire après les festivités
quand la vie de tous les jours reprend son cours.
Un joli couple et une jolie fessée (petit clip)
On nous dit joli couple et ce
compliment me va droit au cœur. Entendons par là une présentation
soignée et harmonieuse dès le petit déjeuner. Mon homme, rasé de
près avec une chemise impeccablement repassée (par mes soins) et
moi pomponnée, sans tomber dans l'exagération. Par conséquence,
s'il y a visite à l'improviste, peu importe de l'heure, nous sommes
toujours présentables. Et cela se remarque. Quelle belle récompense
pour des efforts continuels. Chez nous pas de tenue de détente comme
des joggings ou sweats. Ceci dit une tenue correcte n'est pas moins
confortable comme on essaye parfois de faire croire. Il suffit de
bien choisir ses vêtements et surtout leur tissu. Et là mon chéri
est champignon. Même notre petite lui fait entièrement confiance.
Sommes
nous des clichés ambulants de la discipline domestique dans la pure
tradition des années 50 ?
Je pense que oui. S'attribuer une place
pour ses fantasmes les plus intimes, émane du même esprit que nos
efforts vestimentaires :
S'embellir
la vie !
(Le non-dit : Les
personnes comme moi avec un sourire quasi permanent et de la bonne
humeur dès le petit matin semblent agacer pas mal de monde...)
Sans me trouver vraiment une âme
d’exhibitionniste, j'aime beaucoup exposer ma nudité intégrale ou
partielle devant mon chéri. Sentir son regard parcourir mon corps.
Voir la joie dans ses jeux quand mon entrejambe commence à briller.
Surtout quand c'est involontaire. Pendant que je trépigne de colère
parce que je vais être corrigée. Quand je jette le martinet contre
le mur au lieu de le ranger sagement à sa place. Quand j'ai mal aux
fesses au point de me demander si je peu déjà remettre mon jeans ou
s'il ne serait pas plus prudent de continuer ma journée en jupe.
Bref
c'est une histoire d'une petite brillance qui fait tant rêver
certains hommes !
Le fonctionnement d'un besoin de
punition me semble bien différent de la fessée ludique.
Il
ne s'agit pas d'atteindre les sommets de la jouissance, mais de
rétablir un bien-être psychologique.
Pour arriver à ces fins, les questions
techniques prennent une moindre importance. Il y a moins le souci de
« bon fesseur », mais de bon metteur en scène qui sait
faire monter la tension psychologique et lui proposer un dénouement
adéquat. Dans ce mécanisme la présence d'un témoin, du moins sur
un niveau fantasmatique, me semble fort important comme stimulant
supplémentaire. Avec un certain comble se trouvant dans les
réactions supposées de ce spectateur...
Rencontre entre un fessier et une pantoufle (petit clip)
Le rituel permet de mettre en phase les
émotions. Parfois, même si je sens bien méritée la correction qui
m'attend, je n'ai pas envie de me choper une paire de fesses chaudes.
Mais au fur et à mesure que notre rituel avance, sans parler de la
préparation verbale, il y a une tension qui se crée en moi et qui
demande une décharge cuisante. Alors à chaque fois quand je vois un
clip qui se limite à l'essentiel, c'est l'histoire autour qui
m'intrigue.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Le strap au bureau
(petite série)
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