Qui
déculotte et qui réculotte ... concernant la fessée devant des
tiers ?
Question fort intéressante ! Et
vu la qualité de la réponse, je me fais un plaisir de poster ce
texte de Monsieur
Doumik comme sujet à part entière. Pour ceux et
celles qui aimeraient de plus amples renseignements sur l'expérience
dont fait allusion ce texte, j'ajoute le contact en fin de texte.
Je
cite Monsieur Doumik
S’agissant de la fessée
disciplinaire d’adulte, contrairement à ce qui arrivait
anciennement aux enfants, elle a toujours été consentie dans son
principe. Elle intervient parce que l’adulte ne s’est pas
pleinement comporté en adulte et, au-delà de son caractère
cuisant, la première humiliation est de l’avoir mérité. Ce n’est
pas un pur acte d’autorité mais une situation dans laquelle la
personne punie s’est mise elle-même. La seconde humiliation est la
nature même de l’acte : une « grande personne » va recevoir une
authentique « fessée déculottée ». Même si on en admet le
principe, ce n’est pas une situation « normale » et elle est
d’autant plus honteuse qu’elle correspond à ce que l’on
appelait à l’époque de Rousseau « la punition des enfants ».
C’est pourquoi, je pense que de manière général il faut laisser
l’adulte se déculotter lui-même. En le faisant il manifeste
matériellement qu’au-delà du principe, il acquiesce aussi à la
punition qu’il va recevoir ici et maintenant, qu’il admet qu’elle
est méritée, que c’est bien ça qu’il lui faut. Et, à défaut
de s’être comporté comme il aurait dû le faire, il se rattrape
et montre qu’il reste un adulte en assumant la fessée par le fait
de se déculotter lui-même. A la fin de la punition, l’affaire
sera soldée par une explicite et humiliante autorisation de se
reculotter, donc d’agir lui-même, « comme un grand ».
Dans le coaching privé directif tel
que je le pratique, je réserve le fait de déculotter et de
reculotter moi-même la personne punie au cas où, non seulement elle
a été fautive, mais surtout son comportement a été
authentiquement infantile. C’est alors une humiliation
supplémentaire infligée à titre pédagogique pour bien marquer le
coup et par ce moment d’impuissance totale, la personne punie ne
maîtrise même plus la position de sa culotte, la dissuader de
recommencer.
Par ailleurs, au titre de l’humiliation en cas
de comportements infantiles (et en l’occurrence répétés), et
dans un cadre strictement disciplinaire, je vais corriger devant des
tiers à la rentrée une jeune femme de 22 ans que je coach depuis
quelques mois. Je choisirai des personnes averties en accord avec
l’intéressée qui m’a elle-même dit qu’une fois dans le passé
cette méthode avait été très efficace la concernant. Ce sera une
première pour moi. Je suis près à en discuter en privée avec ceux
d’entre vous que cela intéresse (si notre chère Isabelle accepte
que cette proposition passe initialement par son blog naturellement).
Si,
si elle accepte, isabelle !
(Pour contacter Monsieur Doumik :
coachperso@aliceadsl.fr)
Pour nous cela dépend.
RépondreSupprimerComme dit M. Doumik, devoir se déculotter pour prendre une fessée c'est être complice de l'acte honteux, mais se faire déculotter et renculotter est encore plus infantilisant, ou donne l'occasion d'un examen embarrassant: mon épouse aime bien me déculotter et me jeter un regard moqueur si une turgescence la gêne...
Par contre, ce qui casse un peu l'ambiance c'est quand le déculottage est difficile: ce n'est pas forcément facile de défaire la ceinture, défaire les boutons, baisser un jean sur une autre personne, même si avec le temps on prend de l'entraînement...
Excellente remarque, monsieur Pecan ! Selon moi aussi le déculottage peut se révéler comme un acte difficile, plus proche du ridicule que du glamour
RépondreSupprimerbonsoir chers amis .... ;Isabelle ; monsieurs Doumick ; monsieurs Pécan :;monsieur mac-Miche
RépondreSupprimerpour la séance de discipline:souvent mon cheri se réserve le droit du déculottage il semble y tenir , surtout s"il est trés en colére ! la je n'ai pas mon mot a dire celà est evident ... je me contente d' obeir
mais celas est trés humilliant et me fait vraiment prendre conscience de la l"importance de ma bétise !
tres cordialement Jacqueline
Je pense chère Jacqueline que la DD en couple permet une plus grande intimité concernant les gestes que le coaching. Je trouve d'ailleurs le travail d'un coach sérieux assez complexe pour garder les distances sans faire des concessions au niveau de la discipline physique et psychologique et sans s'égarer sur une terrain de D/s. N'est pas coach qui veut !
SupprimerSinon comme chez vous, mon homme aussi aime bien me déculotter quand j'ai vraiment abusé de sa patience...
@isabelle: Oui c'est pourquoi les fesseurs avisés n'essayent pas de défaire eux-même un jean... Mais le pyjama, par contre...
RépondreSupprimerVoila, j'ai enfin compris pour mon chéri ne touche qu’exceptionnellement à mon jeans quand j'en porte un.
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