Au
menu cette semaine : Petits instants précieux
Quand je ne souris pas, ou plutôt
quand j'arrive à ne pas sourire, je n'ai pas l'air commode.
D'ailleurs incommodée par le fait de passer pour l'agréable potiche
du service, je me suis vite orientée au début de ma vie
professionnelle vers une présentation affichant une certaine
rigidité du caractère. Sorte de bas bleu qu'il ne vaut mieux pas
titiller de près. Quoi qu'il en soit, autant la potiche ayant un air
quelque peu bêtasse, autant le bas bleu ayant un air trop
inapprochable, ont un point en commun : Une passion pour créer
de petits instants d'un laisser aller complet pour mon homme, qu'il
puisse se détendre, se ressourcer.
Je
n'ai trouvé rien qui ne lui réussit mieux que la petite gâterie
sans contrepartie.
Pendant sa pause café, le matin dans
son bureau. Quand il lit son courrier. Sur un parking pendant un long
voyage en voiture. En foret pendant qu'il écoute le champs des
oiseaux et aussi quand il se repose sa main après m'avoir appliqué
une fessée « joie de vivre » en pleine nature.
Soumise,
avez vous dit soumise ?
Pour quelle raison donc ?
Peut-être me rend-il la pareille quand je me vernis mes ongles.
Quand je prend mon petit déjeuner. Quand j'écris un texte pour mon
blog. Sauf que je n'en parle pas ici.
Dans mon
bureau isabelle, tout de suite ! Notre martinet se languit de
ton derrière !
Motif de punition: Dévoilement abusif
de sa vie privée. Même en tenant mon blog je risque gros pour mes
fesses !
Souffrance ou jouissance (petit clip)
Pour ma part, quand je fais un bruitage
semblable à celui de la petite dame, il ne s'agit pas forcement
d'une expression de souffrance à cause d'une brûlure dans mes
fesses. Il y a le plaisir de pouvoir tendre, j'allais dire
impunément, mon fessier tout nu à une personne qui apprécie
pleinement le spectacle sans me dire que cela ne se fait pas en
public. Ô monde des adultes comme tu es bien fait! Alors outre une
sacrée revalorisation narcissique, il y a aussi une question de
rythme qui me travaille . Veut dire que j'arrive parfois à
contracter mon entrejambe en cadence avec les claques. D'où mes
petits soupirs de volupté.
T'as pas honte
de te masturber sur mes genoux, isabelle !
Euh....
si!
Mon faible pour une allure de bas bleu
n'as échappé longtemps à mon nouveau amoureux. Mon futur
partenaire de vie ne s'est donc pas privé pour tester mon sens
d'humour :
Un vrai bas
bleu, isabelle ?
Sur ce en guise de réponse j'ai
remonté la jupe droite de mon tailleur. L'occasion pour lui
d'admirer la tenue impeccable que garantit un porte-jarretelles à
six attaches. Quelque peu désuet de nos jours, mais en parfaite
concordance avec son idée personnel d'un bas bleu.
… non seulement pour la petite dame
qui risque de se casser une jambe parce que la petite culotte autour
de ses chevilles lui joue un sale tour. Mais disons que depuis des années
j'ai rêvé de trouver de jolis post sur la discipline domestique en
langue française. Me voilà donc ravie, même si le sujet est de
plus sérieux. Espérons que les messieurs prennent bonne note enfin
du désirs des dames.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Sévères corrections (plein d'images)
Lorsque madame me fesse plus ou moins "ludiquement", voire simplement s'apprête à le faire, un de ses jeux est de faire remarquer la rigidité de mon sexe ("what a naughty boy!"). Quant à moi, quand madame est sur les genoux, je pratique parfois l'inspection digitale... et c'est vrai qu'il lui arrive de pratiquer des contractions...
RépondreSupprimerAh du coup je me sens moins seule! Rire!
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