Un
comportement irréprochable ?
Mon chéri y tient ! Même en
voyage il ne me perd pas de l’œil ! Infatigable, il est au
service de mes bonnes manières et... de ma petite personne. A se
demander où il trouve son énergie. Je vois la discipline domestique
avant tout comme un moyen d'épanouissement en couple. Un besoin de
punition et un besoin de punir qui essayent de s'accorder.
Donc
quoi de plus important que de prendre en compte les petites
situations qui titillent la personne que l'on aime ?
Et bien qu'il s'agisse avant tout d'une
punition qui est appliquée, il serait bien hypocrite de passer sur
l'aspect émoustillant pour celui qui s'en charge...
...et
celle qui bénéficie de ce traitement !
En voiture et surtout pendant les longs
trajets, je sais me montrer particulièrement pénible. Tenace à ma
vérité, agaçante par mes bêtises, tandis que mon chéri s'occupe
du volant. Certes, la patience est l'une de ses plus grandes
qualités, mais quand je dépasse les limites, après plusieurs mises
en garde, il réagit. Et pour que cela soit dit, s'il ne réagissait
pas, et surtout de la manière qu'il emploie, mon attirance sexuelle
pour lui risquerai de bien baisser. En gros cela semble se résumer
par une construction fantasmatique du style :
Un
homme, un vrai !
Inutile de chercher la rationalité
derrière mon expression. Imaginons plutôt mon frisson quand mon
homme décide de me punir sur le champs. Ou plutôt dès qu'un
endroit propice pointe son nez. Et vu que nous faisons souvent les
mêmes trajets, hein bien, il sait déjà où cela va se passer. Et
moi aussi ! Ayant d'habitude une très mauvaise mémoire pour
les aspects pratiques de la vie, je peux compter sur mon fessier qui
lui se souvient à coup sur du lieu de mon déshonneur. Voilà qui
prouve en quelque sorte que...
...les
bonnes, veilles méthodes marquent autant le derrière que l'esprit.
Pendant que le paysage défile devant
mes yeux, j'ai largement le temps pour réfléchir. Je ne fais plus
depuis longtemps des tentatives pour amadouer mon chéri. C'est peine
perdue! Il a une réponse imparable :
T'as été
prévenue, isabelle !
C'est du bon sens que j'approuve.
Toutefois je surveille étroitement la petite bête qui me piquait au
début de notre couple, en me faisant méchamment monter sur mes
grand chevaux. Ce qui est autant plus facile quand on est de mauvaise
fois. Réaction de plus stupide, me valant régulièrement - outre
une fessée particulièrement mémorable - une révision complète de
notre code de bonne conduite une fois de retour à la maison. J'ai
vite retenue la leçon. Depuis je suis exempte de ce comportement
dans de telles occasions. Et dans tant d'autres également.
Voila
qui prouve que la discipline domestique, rigoureusement employée,
livre de résultats vérifiables.
Fière ? Mais oui, je suis fière
de mes progrès. Je sais reconnaître mes erreurs. Là, j'ai dépassé
les bornes. En attendant ma punition, mille choses me passent par la
tête. Mon chéri, a-t-il glissé le martinet dans le coffre de la
voiture avant de partir ? Va-t-il me pencher sur le capot de la
voiture pour m'appliquer mon châtiment ? Car ce ne sont que les
filles sages qui ont droit de se faire pencher sur le capot pour
autre chose. J'aime particulièrement cette dernière
récréation. Mais visiblement, il y a toujours quelque chose qui me
rend nerveuse, qui balaie mes bonnes intentions pour rester sage.
S'ajoute que pour ce genre de voyage,
j'ai l'habitude « de me faire belle » avec une jolie
touche de glamour qu'aime tant mon chéri. Alors il sait que me
déculotter se présente comme une jolie aventure qui ne manque pas
de surprises. Une nouvelle culotte ou pas de culotte du tout. Parfois
un petit bijoux intime, car j'aime beaucoup la sensation, causée par
les vibrations de la voiture et dues au relief de la route. Ce qui
explique d'ailleurs selon mon chéri, mon état de nervosité
exaspérante et dont il n'existe qu'un seul remède efficace :
Une bonne
fessée cul nu !
Et... il a raison. Il suffit de me
voir, une fois corrigée, sage comme une image pour le reste du
voyage. Petite tentative pour qu'il me fasse plus tard le coup du
capot...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerMême en vacances, on ne sacrifie pas aux bonnes manières !! Voilà un homme plein d'attention pour son épouse chérie. Il en va aussi de son image de chef de famille, du style : Qui c'est l'Homme, ici ? Et quelle sainte patience. Un homme pondéré mais pas trop ! Rires. Vous êtes une jeune femme comblée: espiègle mais élégante en toutes circonstances ! Et nous applaudissons à cet équilibre. Curieux comme la fessée est un remède pour détendre l'atmosphère... après on se sent mieux , pour les deux protagonistes. Votre dernière phrase m'a fait sourire : on connaît le fameux "coup de la panne" mais celui-là ...
Bon appétit . Mac-Miche.
Mais oui, cher Monsieur Mac-Miche, mes attentes envers mon chéri, ne se limitent pas à ses capacités de me donner une bonne fessée. C'est le sujet de mon blog qui fausse la réalité. J'ai envie de briser un peu ce cliché de la femme qui est imaginée en froid avec la vanille, sous prétexte d'aimer la fessée. Le coup du capot rentre pour moi clairement dans ma fantaisie d'un homme, un vrai, qui s'y connaît un désirs vanille. Comme une femme, une vraie, encore en rapport avec mes fantasmes, ne va pas se gêner pour faire au monsieur le coup de l’ascenseur, enfin je m'égare... rire.
RépondreSupprimerLes voyages sont propices à certains mauvais comportements. J'avais volontiers un tempérament bougon en cas de fatigue ou d'impondérables, et madame avait une certaine propension à l'imprudence, notamment automobile (je dis "avais" parce qu'avec l'âge ça s'est un peu arrangé). Autant dire que nous avons parfois eu à "solder" des problèmes à l'étape... parfois avec un peu de retard pour des raisons de discrétion.
RépondreSupprimerLes voyages en voiture sont également propices aux provocations. Madame a parfois les mains baladeuses ou fait de petites allusions...
J'ai déjà mentionné que madame aime parfois, l'été, porter de longues robe ou jupes sans mettre de culotte dessous. Le motif officiel est que "c'est plus sain de laisser ça à l'air", mais un avantage est de permettre le "troussage"... Puisque vous mentionnez le "coup du capot": une fois en vacances en Italie madame m'avait abondamment taquiné dans la voiture. Nous avions loué une petite maison dont un des avantages était la discrétion. Au retour, madame s'est retrouvée robe relevée penchée sur le véhicule, quelques bonnes claques sur les fesses puis saillie.
Un autre avantage du "troussage" est qu'il permet de reprendre une tenue présentable plus qu'un pantalon à renfiler. Nous avons ainsi quelquefois pratiqué la "vanille" rapidement dans des lieux où nous pouvions nous isoler temporairement mais sans trop de sécurité (ce n'est pas arrivé souvent: nous sommes prudents et ne souhaitons ni choquer ni risquer l'arrestation). Même si l'on ne peut pas prendre proprement son temps et que le tissu gêne le contact, nous trouvons cela très excitant et madame trouve troublant de sentir ensuite entre ses jambes le produit de nos actions...
(Puisque nous avons mentionné Lady Jane, j'avoue que ce qui me trouble dans cet épisode de "birching", où pourtant on ne voit rien, est comment la jeune fille doit se pencher sur le petit banc et se fait relever les jupes par des domestiques après que l'on ait fait sortir les messieurs. On imagine la robe, puis le jupon, et le derrière dressé pour subir le châtiment...)
Ah vous connaissez bien le sujet, Monsieur Pecan. Il est intéressant de lire que ce phénomène vous titille d'autres aussi. Je me demande toujours sur la « part de responsabilité » des vibrations du moteur dans ce petit ménage. Comme votre dame j'opte habituellement pour les longues jupes ou robes pour le côté pratique qui permet d'être présentable en une fraction de seconde quand il le faut. Sans parler de l'aspect esthétique et agréable pour voyager. Mais je sais aussi à quel point mon homme adore les jeans bien moulants et son plaisir de me les baisser. Il faut donc vraiment bien connaître l'endroit pour ne pas se donner en spectacle.
RépondreSupprimerJe trouve également l'extrait de Lady Jane bien suggestif. Il ne me faut pas vraiment du explicite pour que ma fantaisie s'emporte. Je dirais même que l'explicite tue souvent mon imagination...