Au
menu cette semaine : Ravir la petite dame
Oh la jolie culotte fendue
(petit clip)
Deux belle filles, plaisamment
costumées et souriantes à souhait, qui s'adonnent aux joies de la
fessée. Petite bulle d'oxygène dans un petit monde qui semble le
plus souvent abonné aux personnes quelque peu constipées. Loin de
moi de vouloir me moquer d'une telle attitude, car moi-même la
première, quand une punition me pend au … derrière, je n'ai
aucun mal pour me passer de mon habituel sourire. Passons. J'adore
l'ambiance entre filles et particulièrement la superbe couleur du
popotin de celle qui reçoit les claques. Nous sommes là pour moi
dans un registre d'intensité que j'appellerais érotique. Enfin de
temps en temps une claque bien savoureuse ne ferais pas de mal.
Cette couleur m'évoque ma sensibilité mise à vif et une
susceptibilité particulière aux caresses. Et vu que nous sommes
loin de toute allusion à une punition, il en va de soi que je ne
m'oppose pas quand mon homme commence à laisser vagabonder sa main.
J'ajoute que parler de ce registre avec mon entourage proche me
poserais peu de problème. C'est la punition qui me semble quelque peu
indécente à communiquer. Difficile d'admettre pour une femme
moderne que j'aime « marcher au pas », rester dans « le
droit chemin » et être « rappelée à l'ordre »
quand mon homme le juge utile. Et visiblement je ne suis pas la
seule. J'ai lu, il y a peu de temps sur un « spankingblog »
anglais, une dame faire la confidence qu'elle fantasmerais parfois
pendant la fessée ludique qu'elle reçoit de son mari sur... la
fessée punitive !
Un post made in "Waldo", plaisamment distrayant et
instructif, mettant en scène (entre autres) un joli martinet (et un
encore plus joli fessier d'une jeune dame). Et là, subitement le
déclic. Je sors mes lunettes pour vérifier. Ce qui est fort rare
quand je fais du net récréatif. Geste remarqué par mon homme qui
ne se prive pas de me chamailler :
Qu'y a-t-il
mon inspecteur ?
Regarde
ces lanières de près !
Depuis nos débuts, je commence à m'y
connaître en texture de cuir des lanières. Étant été en bonne
école avec mon homme (c'est le cas de le dire), il m'a enseigné de
choisir des lanières qui - selon lui - ne sont pas nuisibles pour la
peau d'un fessier. Faudrait tout de même qu'il explique sa
philosophie à mon derrière. Surtout quand ce dernier à été
châtié pour un de mes nombreux manquements. Enfin, on se comprend,
il veut dire, qu'il n'y pas de risque de blessure, ni de marque
persistante quand on sait s'en servir. Bref ce que je voulais dire,
c'est que j'ai pris subitement conscience de mon allure quand les
martinets se vendaient encore aux supermarchés du coin. En examinant
de près (je suis très myope) martinet par martinet, concernant la
qualité de ses lanières. Pour sortir avant de me décider mes
lunettes, faisant le coup de la cliente exigeante, pénible,
chia...nte pour encore mieux inspecter la marchandise. Et là, la
honte, à l'idée du spectacle involontaire livré à un éventuel
observateur
A
ce point mon chéri ?
T'aurais du te
voir, isabelle !
Ce n'est pas très agréable comme
situation. J'imagine mon homme expliquer le pourquoi, mon insolence,
mon manque de respect, ma recherche de limites. Puis, le connaissant,
il va insister sur le fait que pour les grandes filles comme moi qui
ont la peau dure, il lui paraît inefficace d'augmenter l'intensité
de la fessée. Il s'agit de me punir et non pas de me massacrer le
fessier. Par conséquence, mieux vaut utiliser la finesse pour
trouver une rude épreuve autant pour ma pudeur que pour mon amour
propre. Bref, il est plaisant de l'écouter quand il expose ses
théories sur les punitions de grandes filles. Mais pas forcement en
étant allongée sur ses genoux, mon jeans et mon string baissé et
mes fesses déjà bien rouges. Le tout en affrontant le regard de
notre témoin involontaire. Par contre... inversement de la
situation, moi à la place de de celle qui devient témoin
involontaire, c'est du bonheur pur. J'aime bien « la fessée
pour tous », veut dire qui s'applique aussi à une dame disons
de la cinquantaine que je n'aime pas du tout, mais vraiment pas du
tout et qui ne m'épargne jamais le dédain pour ma petite personne.
Dans ce cas, la vengeance est un plat qui se mange froid et je crois
de la voir s'en prendre une bonne par son mari devant mes yeux
émerveillés serait (littéralement) jouissif pour moi.
Petit fantasme sadique, car sans
vouloir me vanter, je sais marcher sur des hauts talons d'une manière
très agréable à regarder. Alors ce contexte me convient bien.
J'aurais le loisir de voir les autres candidates trébucher et se faire rappeler à l'ordre par de
sonores claques sur leurs fesses. S'il y avait un cours de genre,
j’évaluerai sérieusement de m'inscrire...
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Devoir s'excuser les fesses en l'air (petit clip)
Un fantasme scolaire (petite série)
Bonjour,
RépondreSupprimerAh les excuses pendant et après la fessée! j'en ai entendu beaucoup avec les promesses qui vont avec. Pas plus tard que vendredi soir, c'est une épouse punie qui les a prononcé (il y avait de quoi). cela entraine le pardon et la réconciliation, heureusement.
Milu
Je crois que les excuses les plus sincères sont celle qui se font pendant la fessée, Monsieur Milu, car on espère toujours adoucir ainsi un peu le châtiment...
RépondreSupprimer