dimanche 21 septembre 2014

575 Oser le « sans culotte »

Quand mon chéri marque un temps d'arrêt !

Depuis mon adolescence j'ai souvent éprouvé un étrange et irrésistible désir (illustration en bas de l'écran) que je me suis soigneusement gardée de dévoiler à mon entourage. Sans toutefois me priver de le réaliser dans un cadre de plus discret quand l'occasion se présente.

J'adore poser mon auguste postérieur tout nu sur un fauteuil ou un canapé en cuir.

De préférence quand il s'agit d'un meuble impeccablement entretenu et qui sens bon la cire fraîche. Je passe sur l'aspect jouissif de coller ma peau contre ce matériel si vivant. Ma première expérience date vers mes quinze ou seize ans. Découvrant pleinement ma lubie, je n'ai pu résister à l'appel du fauteuil du bureau de mon papa. Outre qu'il tourne, il avait un dossier qui s'incline ! Sachant mes parents hors maison, j'ai donc baissé mon jeans et - un peu hésitante – ma culotte aussi, avec un sentiment quelque peu coupable de m'adonner à une activité légèrement perverse. Puis au contact, ce fut une révélation sensorielle.

Confortablement installée, je me suis perdue dans une « rêverie sévère ».

Qu'un tuteur en charge de mon éducation me découvre ainsi, dans une posture plus qu'équivoque. Un tuteur avec un sérieux à l'ancienne, ne tolérant point ce genre de laisser aller chez une jeune fille et me soupçonnant fortement d'activités manuelles. Ne pouvant pas imaginer que cette jeune fille puisse s'enivrer simplement d'un contact charnel d'une autre nature. J'ai donc fini sur ses genoux prenant une sacrée déculotté, terme parfaitement adapté à la situation.

Je me souviendrai toujours de la tête de mon homme en tout début de notre relation, son temps d’arrêt clairement marqué, quand je lui ai confessé ingénument ma petite lubie en voyant le superbe fauteuil en cuir dans son bureau. J'avais l'impression d'assister à l’émerveillent d'un homme en direct. Puis, réflexion faite, en parfait gentleman, il a eu le bon réflexe :

Qu'est-ce qui t’empêche de le faire, isabelle ?

Et voilà, à moi le tour de marquer un temps d’arrêt. Surtout que j'étais en jeans ce jour-là. J'avais trop envie de lui répondre :

Ta présence mon chéri !

Bref, je me suis heurtée à une de mes idées préconçues sur les comportements qui ne conviennent pas à une dame en présence d'un monsieur. Sans penser que justement pouvoir entre dans l'intimité d'une fille fait partie de fantasmes majeurs de bien de messieurs. Alors hésitante, en bafouillant, je lâché quelques mots maladroits sur la sensualité du matériel, avant de me décider de baisser mon jeans et ma culotte pour essayer ce fauteuil moelleux.

C'est en contemplant mon très court gazon anglais, parfaitement entretenu aux ciseaux et à la pince à épiler, que Monsieur a commencé à me parler de son attirance pour l'aspect tout lisse du cuir. Du plaisir de glisser la main sur cette texture et sur l'odeur dégagée. Tant de terrain en commun. Petite question timide si je portais des jupes en cuir. Question coquine, réponse coquine :

Cela dépend pour qui !

Et très vite nous étions au beau milieu d'une discussion sur l’entretien du gazon et du cuir. Voila des sujet bien originaux qu'il a su développer en me faisant rire aux larmes. Ainsi ai-je compris qu'il serait à mon avantage, femme moderne et constamment en manque de temps par une vie bien chargée, d'opter pour un entrejambe plus adapté à ma situation. En renonçant au reste de ma pilosité pour établir un meilleur contact entre mon entrejambe et les surfaces de cuir. Bref au prochain rendez-vous j'étais aussi lisse que son fauteuil pour savourer effectivement des sensations encore plus intenses. Ajoutons, vu que je semblais avec mon jeans et ma culotte baissée comme prédestinée pour une bonne fessée à la main sur les genoux de mon amoureux, nous avons profité de la situation. C'est à ce moment-là que j'ai compris quel complément de mon fantasme « sans culotte » avait sommeillé dans mes profondeurs. Ajoutons également que mon homme aime beaucoup quand je me promène sans culotte que je pose mes fesses directement sur l'assise en soulevant préalablement ma jupe ou ma robe. Notamment sur les banc des parcs ou autours des lacs...

12 commentaires:

  1. Oh Oh on m'a régulièrement aussi demandé de me délester de tous vêtements superflus et de bien soulever la jupe pour asseoir mon séant à même certaines surfaces émouvantes... :)

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  2. Fantasme assez récurant chez certains messieurs. Pour ma part je trouve mon compte de manière sensuelle, mais ces messieurs serait-ils purement cérébraux?

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    1. Hmmm uniquement cérébral certes non mais j'avoue bien aimer un certain assaisonnement cérébral, avec les échanges de regards et de paroles qui enrobent le tout ;)

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  3. Bonjour Isabelle,

    Je viens de passer une période, je n’oserai pas dire éprouvante, mais néanmoins où je n’ai pu bénéficier d’une seule minute de répit : cela commença par une montagne de documents administratifs dont je suis sure qu’ils sont pour la plupart inutiles ou au moins superfétatoires, mais dont nombre de fonctionnaires se délectent certainement, et alors que je commençais tout juste à voir la sortie du tunnel, nous avons eu la visite de mes beaux-parents et il a bien fallu que j’assume aussi quotidiennement un rôle complet de « maitresse de maison ».

    Ouf ! c’est fini pour un temps, et alors que je lis rapidement votre dernier billet, le premier que je peux parcourir depuis celui où vous m’aviez fait l’honneur de me citer (quand était ce donc ? j’ai vraiment beaucoup de lecture qui m’attend ….), c’est pour découvrir votre thème du « sans culotte » !

    Comme je vous l’avais dévoilé il y a longtemps, cela fait de nombreuses années que je n’en porte plus jamais. Au début, ce fut en raison de ma tendance aux pertes blanches. Est-ce que, pour celui qui n’était pas encore mon mari, ce fut aussi un prétexte pour me rendre plus accessible en tout temps et en tout lieu pour des caresses , je ne jurerais pas du contraire ….

    La plupart du temps, je m’assois de façon « conventionnelle », ne serait-ce que par hygiène, et mes jupons évitent de salir mes jupes. Mais il est assez fréquent qu’étant avec mon mari, il me dise de relever jupe et jupon pour que mon postérieur soit directement nu contre le siège, et que, selon son expression, je me sente « ouverte » au contact de la matière telle que cuir, moleskine, ou bois notamment quand il s’agit de lattes laissant l’air passer entre elles. Je vous avoue que j’y trouve un réel plaisir, et je crois qu’alors, il émane de moi une certaine sensualité qui plait à mon mari.

    J’ai tellement pris maintenant l’habitude d’être sans une culotte ou quoi que ce soit qui pourrait y ressembler, que bien qu’elle était ouverte, je m’en serais volontiers passée lors des fois où j’ai porté ma tenue burlesque.

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  4. Bonjour Christine,

    je me doutais bien que la rentrée vous porte un surplus de travail. Il m'arrive également de faire du « secrétariat paperasse » pour mon homme. Par conséquence j'admire votre ténacité dans une tache aussi ingrate et comme me semble aussi, en partie inutile. Il est ô combien plus gratifiant de faire « la maîtresse de la maison » je trouve.

    J'ai vous ai cité, il y a un peu plus d'un mois, donc il y a eu environ 13 post à mon rythme de publication.Votre commentaire a été autant intéressant qu'inspirant et j'avais envie de montrer votre vision à côté de la mienne. Ce qui me plaît c'est la qualité de votre réflexion.

    Concernant le sans culotte, pour ma part j'aime beaucoup les prétextes. Que ce soit plus hygiénique, en contact avec de l'air frais ou pour éviter les pertes blanches, cela m'évoque aussitôt un monsieur soucieux de sa dame. Présenté de telle manière, cela me donne envie de ne pas mettre une culotte. Et comme votre mari, mon homme affectionne aussi le contact de mon séant tout nu avec bon nombre de matériaux. Toutefois je ne suis pas aussi catégorique que vous pour le sans culotte. Le plus souvent je porte sagement un string qui du côté postérieur ne change pas grand chose. Je me verrais mal aussi en tenue burlesque dans une soirée de me passer de culotte. Mais j'adore lire vos aventures au sujet des soirées.

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  5. Dans notre jeunesse, nous avons beaucoup pratiqué la nudité en intérieur: pourquoi s'embarrasser? Avec les enfants c'est plus difficile...

    Un inconvénient: pour ainsi s'asseoir sur les sièges, il faut avoir une bonne hygiène. C'est alors que madame a compris un grand intérêt du bidet.

    Madame mon épouse, l'été venu, aime bien, si elle met une robe ou jupe longue, ne pas mettre de culotte dessous. Comme vous, Isabelle, elle aime les prétextes: c'est plus sain, cela évite la macération de la sueur, dans le temps les dames allaient ainsi, etc. Et disons le franchement, c'est parce qu'elle aime parfois être troussée (l'incongruité d'être fessée ou coïtée jupe relevée pimente le jeu).

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    1. Comme vous dites, avec un enfant il faut changer les habitudes. Mais on est richement récompensé en échange ! Je pense que le jeu des prétextes convient à beaucoup de dames. Cela correspond peut-être, malgré ce que l'on essaye de nous faire croire, à ce que bien de dames ne se retrouvent pas dans les approches et vocabulaires vulgaires. Et, notons-le, beaucoup de messieurs non plus.

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  6. Puisque vous parlez de "sans culotte", j'aimerais évoquer certaines des "petites punitions" que nous pratiquons parfois: outre la toilette intime devant et derrière faite de façon consciencieuse et embarrassante, il y a le bain de siège. Difficile de ne pas se sentir ridicule quand on est invité à méditer un peu avec le derrière dans l'eau (et bien entendu interdiction de se laisser aller à la vilaine main!).

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  7. Je ne suis pas un spécialiste du bain de siège. Mais je pense, en apercevant une telle scène, que j'aurais du mal à rester sérieuse avec une nette impression du ridicule de la personne exposée.

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  8. Bonjour Isabelle,

    Excusez moi, Isabelle, mais l'expression "bain de siège" me toujours fait rire. Je ne peux m'empêcher immédiatement de penser à cette "polémique" autour de l'ouvrage sur les remèdes naturels (et "100% Bio " dirait-on aujourd'hui) supposé à l'époque (1980-1985) écrit par l'ex-chanteuse Rika Zaraï ( souvenez-vous de sa chanson fétiche: "Ce soir, nous irons danser sans chemise, sans pantalon " ou encore :"Casatchok"...). Elle avait remis à la mode ce remède de nos grand-mères qui était prétendu universel pour toutes sortes de maux. Ceci dit , il calme les brulures fessières et autres petites démangeaisons. A chacun sa méthode . C'est toujours le bénéfice du résultat qui compte. "la fin justifie les moyens" dit-on. Encore une fois, mille excuses pour cette amusante digression. Mac-Miche

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  9. Pour ma part j'aime bien la médecine naturelle, là où elle peut se révéler utile, cher Monsieur Mac-Miche. Ceci dit je ne suis pas une spécialiste de la musique française qui date et la célébrité de Dame Zaraï, n'a pas dû dépasser les frontières de la France ! Donc je ne connais pas son livre.
    Je viens de regarder un peu sur le net pour le bain de siège et l’apprend que cela se pend comme kit, ce que je ne savais pas. Cela semble se pratiquer également pendant les cures. Peut-être Monsieur Pecan aurait-il d'autre renseignements sur cette pratique que j'imagine également fort agréable après une fessée.

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