vendredi 12 septembre 2014

571 Liens de discipline domestique (131 ème édition)

Au menu cette semaine : Ravir la petite dame


Deux belle filles, plaisamment costumées et souriantes à souhait, qui s'adonnent aux joies de la fessée. Petite bulle d'oxygène dans un petit monde qui semble le plus souvent abonné aux personnes quelque peu constipées. Loin de moi de vouloir me moquer d'une telle attitude, car moi-même la première, quand une punition me pend au … derrière, je n'ai aucun mal pour me passer de mon habituel sourire. Passons. J'adore l'ambiance entre filles et particulièrement la superbe couleur du popotin de celle qui reçoit les claques. Nous sommes là pour moi dans un registre d'intensité que j'appellerais érotique. Enfin de temps en temps une claque bien savoureuse ne ferais pas de mal. Cette couleur m'évoque ma sensibilité mise à vif et une susceptibilité particulière aux caresses. Et vu que nous sommes loin de toute allusion à une punition, il en va de soi que je ne m'oppose pas quand mon homme commence à laisser vagabonder sa main. J'ajoute que parler de ce registre avec mon entourage proche me poserais peu de problème. C'est la punition qui me semble quelque peu indécente à communiquer. Difficile d'admettre pour une femme moderne que j'aime « marcher au pas », rester dans « le droit chemin » et être « rappelée à l'ordre » quand mon homme le juge utile. Et visiblement je ne suis pas la seule. J'ai lu, il y a peu de temps sur un « spankingblog » anglais, une dame faire la confidence qu'elle fantasmerais parfois pendant la fessée ludique qu'elle reçoit de son mari sur... la fessée punitive !


Un post made in "Waldo", plaisamment distrayant et instructif, mettant en scène (entre autres) un joli martinet (et un encore plus joli fessier d'une jeune dame). Et là, subitement le déclic. Je sors mes lunettes pour vérifier. Ce qui est fort rare quand je fais du net récréatif. Geste remarqué par mon homme qui ne se prive pas de me chamailler :

Qu'y a-t-il mon inspecteur ?

Regarde ces lanières de près !

Depuis nos débuts, je commence à m'y connaître en texture de cuir des lanières. Étant été en bonne école avec mon homme (c'est le cas de le dire), il m'a enseigné de choisir des lanières qui - selon lui - ne sont pas nuisibles pour la peau d'un fessier. Faudrait tout de même qu'il explique sa philosophie à mon derrière. Surtout quand ce dernier à été châtié pour un de mes nombreux manquements. Enfin, on se comprend, il veut dire, qu'il n'y pas de risque de blessure, ni de marque persistante quand on sait s'en servir. Bref ce que je voulais dire, c'est que j'ai pris subitement conscience de mon allure quand les martinets se vendaient encore aux supermarchés du coin. En examinant de près (je suis très myope) martinet par martinet, concernant la qualité de ses lanières. Pour sortir avant de me décider mes lunettes, faisant le coup de la cliente exigeante, pénible, chia...nte pour encore mieux inspecter la marchandise. Et là, la honte, à l'idée du spectacle involontaire livré à un éventuel observateur

A ce point mon chéri ?

T'aurais du te voir, isabelle !


Ce n'est pas très agréable comme situation. J'imagine mon homme expliquer le pourquoi, mon insolence, mon manque de respect, ma recherche de limites. Puis, le connaissant, il va insister sur le fait que pour les grandes filles comme moi qui ont la peau dure, il lui paraît inefficace d'augmenter l'intensité de la fessée. Il s'agit de me punir et non pas de me massacrer le fessier. Par conséquence, mieux vaut utiliser la finesse pour trouver une rude épreuve autant pour ma pudeur que pour mon amour propre. Bref, il est plaisant de l'écouter quand il expose ses théories sur les punitions de grandes filles. Mais pas forcement en étant allongée sur ses genoux, mon jeans et mon string baissé et mes fesses déjà bien rouges. Le tout en affrontant le regard de notre témoin involontaire. Par contre... inversement de la situation, moi à la place de de celle qui devient témoin involontaire, c'est du bonheur pur. J'aime bien « la fessée pour tous », veut dire qui s'applique aussi à une dame disons de la cinquantaine que je n'aime pas du tout, mais vraiment pas du tout et qui ne m'épargne jamais le dédain pour ma petite personne. Dans ce cas, la vengeance est un plat qui se mange froid et je crois de la voir s'en prendre une bonne par son mari devant mes yeux émerveillés serait (littéralement) jouissif pour moi.


Petit fantasme sadique, car sans vouloir me vanter, je sais marcher sur des hauts talons d'une manière très agréable à regarder. Alors ce contexte me convient bien. J'aurais le loisir de voir les autres candidates trébucher et se faire rappeler à l'ordre par de sonores claques sur leurs fesses. S'il y avait un cours de genre, j’évaluerai sérieusement de m'inscrire...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















Un fantasme scolaire (petite série)


2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Ah les excuses pendant et après la fessée! j'en ai entendu beaucoup avec les promesses qui vont avec. Pas plus tard que vendredi soir, c'est une épouse punie qui les a prononcé (il y avait de quoi). cela entraine le pardon et la réconciliation, heureusement.
    Milu

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  2. Je crois que les excuses les plus sincères sont celle qui se font pendant la fessée, Monsieur Milu, car on espère toujours adoucir ainsi un peu le châtiment...

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