Oh,
il est encore tout petit ce kiki !
Monsieur m'a offert un jour un bâillon
qui affiche coquinement un attribut mâle à mi chemin entre repos
et envol vers toute sa splendeur. Il m'a rappelé tout de suite la
pause café de mon chéri quand il ne s'est pas encore décidé s'il
va rapidement se remettre sur sa lancée ou si une récréation pour se changer des idées s'impose. J'aime
l'aider pour résoudre cette question existentialiste, non pas en
apportant mon avis, mais en apportant une solution. Hors de question qu'il soit obligé de se
« tâter » en cachette.
C'est
mon domaine... exclusif.
Voila qui est dit sans prétention. Car
si je lui pose sur l'oreiller la question, s'il lui arrive de
recourir à la vilaine main, sa réponse est invariablement la même
depuis de nombreux années.
Comment
veux-tu qu'avec tes exigences que je trouve encore l’énergie. Je
n'ai plus 20 ans depuis longtemps.
Au début de notre relation il était
un peu gêné de se présenter « mollement » devant moi
quand je ne faisais que suivre une subite envie de ma part. J'ai su
vite le mettre à l'aise :
Laisse-toi
faire...
En lui expliquant que ce « laisse-toi
faire » se nourrit de sa passivité qui me laisse toute
initiative. Une petite gâterie clef en main, menée de moi de A à Z
et dont le Monsieur s'en sort aussi mollement qu'au début de
l'aventure.
C'est
ici qu'intervient mon fantasme de fessée.
Déjà ado je nourrissait une
émoustillante culpabilité de mon acte, imaginant par la suite
d'être rappelée à l'ordre pour mon audace*.
J'en ai parlé à mon homme qui - après une détente complète –
et par conséquence « détendu » sous son caleçon avec
la tête libre pour se consacrer entièrement à mes fesses, s'est
fait depuis un plaisir de me passer sur ses genoux. Souvent toute
nue, parfois avec le bas de mon corps dénudé en gardant seulement
mes bas et porte-jarretelles.
Je
trouve que mon homme fraîchement débarrassé de toute tension, s'en
prend autrement à mes fesses.
Plus exigeant, plus demandant je peux
compter sur un fessier rouge uniforme qui brûlera encore le soir.
Absence de bleus et la jolie teinte rouge m'incitent à maintes
reprises dans la journée de passer devant la glace pour admirer le
superbe travail de mon chéri. Inutile de dire que je suis fière de
lui.
(* Une piste pour l'interprétation
de ce fantasme. Ne cherchons pas tout de suite du côté de l’œdipe,
mais dans les identifications primaires avec le père qui se passent
bien avant. Une identification par... dévoration intégrale à sa
base qui devient partielle plus tard ! Bref il y a quoi de se
mériter une bonne fessée avec de telles intention inconscientes!)
Ma femme considère aussi que je n'ai pas à me livrer à la "vilaine main", sauf si un éloignement prolongé le rend nécessaire. Elle aime aussi contrôler cette partie de mon anatomie et ne veut pas que je risque de faire "baisser ma tension" alors que je devrais conserver celle-ci pour l'honorer.
RépondreSupprimerJ'ai d'ailleurs été quelques fois puni pour ne pas avoir respecté cette règle!
> Au début de notre relation il était un peu gêné de se présenter « mollement » devant moi quand je ne faisais que suivre une subite envie de ma part.
Moi aussi. Heureusement, ma femme considère que c'est "son job" que de faire durcir. Avec l'habitude, elle a toute une palette de caresses pour cela, dont la fameuse sucette et les chatouilles entre les fesses, mais aussi la petite fessée...
Contrairement à vous elle pratique rarement cela jusqu'au bout, pour elle c'est plus un hors d'œuvre avant le coït, pour lequel elle a ses exigences de régularité.
Parfois, s'il n'y a pas coït, elle poursuit pour me soulager, si elle même n'a pas d'envie. Dans certains cas elle a accompagné cette stimulation par devant d'un doigt ou plug par l'arrière!
Je vais au bout... de mes idées quand mon homme fait une pause de travail ou alors sur les longs voyages. Situations en gros où il ne se sentirait pas de faire des galipettes, mais ne refuse pas de me laisser faire...
RépondreSupprimerCeci dit, nous utilisons la fellation dans notre vie sexuelle de couple comme votre dame comme prélude ou petit stimulant pour Monsieur.
Comme votre dame j'aime également l'expression « mon job ».
« Situations en gros où il ne se sentirait pas de faire des galipettes, mais ne refuse pas de me laisser faire... »
RépondreSupprimerHéhé... chez nous madame dans ce cas fait parfois par la main et la bouche, mais le plus souvent elle m'intime de me mettre sur le dos et dirige le coït. « Reste dur et laisse-moi faire ! »
Il travaille tout de même mon homme...rire! Après le soir une fois dans notre chambre à coucher tout est possible!
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