Un
temps qui n'a jamais existé peut-être...
Du vrai cinéma pour une fois avec une
jeune dame qui se trouve après sa fessée pour des raison évidentes sur un coussin. Excellente idée
du scénario pour mettre l'imagination en route. Pour ma part qui
connais bien la situation sans toutefois la rendre publique en ayant
recours à un coussin. Je garde la brûlure de mes fesses pour moi,
« je souffre en silence », en me disant comme les chosent
étaient plus simples au bon vieux temps. Seulement mis à part des
fessées enfantines, puis envers les ados aussi, nulle part la
moindre trace de la fameuse discipline domestique.
Il
paraît même que « Plan de Spencer » n'est rien d'autre
qu'une légende urbaine.
Ce « plan » attribué à une dame du nom Dorothy Spencer et
établi selon selon les différentes sources vers la fin des années
20 aux années 30 du siècle dernier est en gros un accord par écrit
sur l'emploi de la fessée dans le couple. Rien que l'existence d'un
tel « plan » prouverait que la discipline domestique
n'existait pas il y a 100 ans. Mais notons l'aspect résolument
égalitaire de ce plan qui prévoit également des punitions (au
fouet!) pour le mari.
On ne trouve nulle part des avis
contemporains sur ce « plan » et ses premières traces ne
semblent apparaître que tardivement vers la fin de années 60 comme
j'ai lu sur un défunt forum anglais de DD. A croire alors dans un
contexte comparable aux années 20 quand les dames cherchent leur
émancipation. Peut-être s'agit-il d'une pure invention pour
rassurer du moins fantasmatiquement les messieurs ? De leur
fameuse angoisse de la castration dont la fessée est un excellent
calmant. Ou pour les dames l'envie du pénis dont le fouet en main
peut faire l'affaire.
Quoiqu'il en soit je suis très
sensible à poésie de ce plan, déjà par le fait qu'il s'annonce
consensuel. La dame a son mot à dire et sans son accord pas de
fessée conjugale. Étant un pur produit de la libération de la
femme, loin de moi de vouloir renoncer à mes acquis sociaux. En
aucun cas je m'imagine aux pieds d'un monsieur, même pas
fantasmatiquement.
C'est
moi et moi toute seule qui accorde ou non les droits sur moi !
Comme je ne suis pas trop contrat écrit
( nous ne sommes pas mariés!), nous avons tout de même une sorte de
« plan » de Spencer par accord commun. Mon chéri
s'occupe de mon besoin de punition et il en tire un très grand
plaisir. Et moi aussi par la même occasion.
Alors là chez nous, pas de coussin après la fessée, plutôt le contraire.
RépondreSupprimerS'il y a repas, c'est assis normalement sur une chaise ordinaire et sans coussin. S'il y a dodo, on peut imposer une période sur le dos. S'il y a coït, c'est souvent sur le dos ou en levrette... et si par aventure le ou la partenaire fessé(e) est au dessus, son postérieur sera peloté voire fessé pendant l'acte.
Je ne crois guère aux "plans" de "discipline domestique" organisée, je pense comme vous qu'il s'agit d'une invention tardive attribuée à une période mythifiée.
RépondreSupprimerPar contre, je pense fort plausible qu'il était assez admis dans les faits qu'un mari donne la fessée à sa femme... il y a jusque dans les années 1960 aux USA beaucoup de films et de séries qui dépeignent la fessée comme un moyen de traiter caprices et imprudences de conjointes voire d'autres relations féminines — par exemple la série I love Lucy, où le mari donne des fessées à sa femme pour punir ses incongruités.
Je pense que tant qu'il ne s'agissait pas de coups trop douloureux ou laissant des "bleus", cela n'était pas considéré comme "battre sa femme".
Il semblerait que la « fessée conjugale » fût admise dans certaines circonstances comme montre
RépondreSupprimercet article de journal concernant Cary Grant. C'était une autre époque. Enfin je préfère la version fessée en couple de nos jours qui laisse le libre choix à la dame à chaque instant !