Ambiance
discipline domestique
J'ai un faible pour les clips qui mettent en scène monsieur et madame tout le monde
dans leur salon. De préférence de manière assez pudique et loin des fessées professionnelles
qui trouvent leur credo dans un toujours « aller plus loin ».
J'aime regarder ce qui arrive à d'autres dames qui trouvent leur
plaisir dans le déplaisir d'une punition domestique appliquée par
le monsieur. Contrairement de la fessée à la main qui me paraît
impossible à détacher d'une intimité charnelle, les instruments me
permettent de glisser sans ambiguïté dans une situation purement
punitive. Bien évidement il me faut un motif valable qui justifie
cette sanction. Comme un mauvais comportement, une transgression d'un
interdit, une insolence, un manque de respect etc. Pour éclore le
plaisir dans le déplaisir le monsieur aussi doit être crédible
dans son intention de vouloir punir pour de bon. Ma préférence va
vers une attitude ferme d'une éducation traditionnelle d'un autre
âge qui implique une touche paternellement bienveillante :
Nous allons
travailler tes bonnes manières isabelle !
Une telle formule flatte mon
narcissisme par le « nous », veut dire un homme à mon
service, puis par la perspective d'atteindre un certain idéal.
Ce
dernier je ne le conçois pas vraiment dans le sens d'une valeur
morale, mais plutôt comme un état apaisant, sorte de nirvana qui me
libère de mon besoin de punition.
Hélas comme dit le dicton les dieux
ont placé la sueur en avant de la vertu. Ou avec des mots plus
simple :
J'en connais
une qui va passer un très mauvais moment !
Il n'y a pas pour moi de jouissance
propre dans la punition domestique. Il s'agit plutôt de chasser un
mauvais état d'esprit qui ne cède que par le biais d'un traitement
intense. L'attitude moqueuse de mon chéri fait partie de la
préparation psychologique. Idem mon mea culpa dans lequel il
convient que je m'explique :
Qu'est-ce qui
t'a pris isabelle ?
Ayant un peu de mal d'associer ma
nudité dans un contexte punitif à la honte, les mots sont plus
propices pour préparer ma rédemption.
Si tes copines
pouvaient te voir...
Ben oui, je ne fais pas la fière du
tout. Déjà déculottée je me trouve devant mon chéri qui tient le
martinet entre ses mains pendant qu'il m'interroge. Le rapport
d'autorité se met tout naturellement en place. Mon homme ne
s'éternise pas pour me punir et souvent en à peine dix minutes, ma
confession y compris, toute l'affaire fâcheuse est réglée.
Seulement ces dix minutes me paraissent comme une éternité...surtout
pour la partie finale qui concerne mon derrière...
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