T'as pris ton
pied pour m'emm..der la vie, isabelle, maintenant je prendrai le mien
en me rinçant l’œil.
Mon homme aime parfois m'infliger en
sortant de mon coin du ménage toute nue ou habillée de manière
très sexy. Infliger c'est peut-être un peu exagéré. Il sait que
je connais ses préférences et compte sur mon ingéniosité pour le
surprendre. Il ne prétexte pas une philosophie éducative ou une
élévation spirituelle pour que j'accomplisse cette punition
supplémentaire... mais pointe sur les évidences. Ben oui, la poésie
de la ménagère sexy au fesses toutes rouges le titille fortement.
Un
glaçon pour apaiser la paume de ta main, mon chéri ? Tu dois
avoir mal après la fessée que tu viens de m'appliquer !
Comme d'autres hommes de sa génération,
il a gardé la nostalgie pour les indiscrets aperçus de l'anatomie
féminine via les souvenirs de sa maman ou des voisines en faisant le
ménage pendant son enfance. Une jupe ou robe qui remonte en passant
l'aspirateur, dévoilant ainsi un haut de bas, frontière où
commence le territoire du papa. Voila la version sexy du complexe
d’œdipe. Pour trouver un heureux dénouement, il faut que le petit
garçon abandonne ses illusions d'une exclusivité de sa Maman à son
service. Il faut qu'il comprenne aussi que c'est en imitant son papa
qu'il puisse un jour espérer d'explorer à son tour la terre
promise. Mon homme se souvient d'ailleurs fort bien d'avoir observé
son géniteur glisser sa main sous la jupe de maman pour s'avancer
vers ce qui reste défendu au petit garçon.
Quand je
serais grand, je ferai comme papa !
Voici venu le temps que mon chéri peut
enfin réaliser ses fantaisies de jadis. Il veut voir, il veut
toucher aussi. Ben oui, c'est cela une relation amoureuse et
charnelle entre adultes. J'aime beaucoup sa sollicitude, car cela met
du piment dans notre couple. J'adore particulièrement la sensation
de sa main qui remonter le long de mes jambes pour se perdre sous mes
jupes droites. C'est un peu étroit comme endroit et il faut se
serrer pour un petit plaisir qui agrémente le quotidien.
Tiens, tu as
mis une petite culotte aujourd'hui, isabelle ?
Devine
sa couleur !
Nous voilà partis pour un jeu de
piste. Mon chéri en me tripotant et moi en rigolant bêtement.
J'aime bien rigoler bêtement quand je trouve une sensation
sexuellement agréable. De toute façon je sais que ma très vaste
gamme de rires et le fait que je sois souriante et de bonne humeur
dès mon réveil, est source d’émerveillement pour mon homme. Puis
j'ai le sens de m'amuser et de me laisser taquiner. Combien de fois
je me fais pencher sur ses genoux pour une petite fessée « joie
de vivre ».
Puis,
si c'est possible il ne va pas se gêner pour mettre mes fesses à nu
pour une plus belle sonorité.
Habituellement la fessée me désinhibe,
bien que selon mon homme ce soit déjà pas mal sans, à l'état
naturel quoi. Donc quand je sors du coin après une bonne fessée
punitive l'effet est décuplé. J'aime me produire aguichante devant
lui et le prétexte de la punition interdit un tripotage surprise.
Chez nous la bonne correction se respecte. On touche uniquement avec
les yeux, ce qui n'est pas sans effet secondaire sur nos
émoustillements réciproques.
Vu
ma nudité au bon endroit, je ne puis lui cacher que je suis en train
de jouir littéralement de la situation.
Mon entrejambe de plus lisse, brille de
sa moiteur naturelle. Il m'arrive aussi de mettre une crème luisante
et la sensation de sentir tout glisser en faisant un travail de
frottement comble mes aspirations névrotiques. Le tout pour pouvoir
m'adonner à une perversité éhontée, une transgression suprême de
nos codes sociaux, le fantasme de la dame qui aime s’occuper de son
foyer, de sa famille, de son homme. Le plaisir de balancer mes fesses
toutes rouges devant ses yeux, le plaisir de lui offrir des
inévitables aperçus de plus indécentes de mon intimité.
J’assouvis
mes tendances névrotiques sans me sentir coupable, car n’oublions
pas que je viens juste recevoir ma punition !
Passer l'éponge, frotter et cirer avec
ardeur, activités hautement rythmiques que dit-on se conçoivent
chez certaines dames comme des équivalents masturbatoires. Me
concernant, je confirme que je suis sensible à l'érotisme sur un
mode Bree Vandenkamp.
Désespérée,
avez vous dit désespérée ?
Certainement que non, car de l'autre
côte je sais aussi que mon homme sera au top de sa forme le soir au
lit.
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerPour résumer, le petit garçon est innocemment curieux.
Et le papa plutôt... amoureux... ou vicieux... ou vicieusement...amoureux ?
Enfin, son for intérieur de "grand garnement très turbulent" y trouvera sa réponse. Rires. Mais la maman l'y aide souvent un peu... beaucoup... passionnément.
Rires. Ah les Femmes !! Délicieux tourment de notre existence...
Mac-Miche
Je ne sais pas si le petit garçon est innocemment curieux. Quand on voit les théories sexuelles des enfants ce n'est pas de tout repos et ne manque pas "d'originalité". Quoiqu'il en soit ce sera plutôt cette parti conservée dans l'adulte qui demandera satisfaction d'où la belle part du vice qui est en fait une mauvaise compréhension de ce qui se passe entre adultes...
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