vendredi 16 octobre 2015

781 Liens de discipline domestique (187 ème édition)

Au menu cette semaine : Jouer avec ses fantasmes !


C'est une constellation que j'adore. J'ai d'ailleurs à ce sujet une jolie petite garde-robe que je me suis constituée au fil des années pour le plus grand plaisir de mon homme. A vrai dire quand je parle de fantasmes scolaires dans ma petite tête se trouve presque toujours un contexte d'étudiante. Pour moi une étudiante (qui étudie ici le comportement d'un grand garçon!) est une personne dotée de la conscience d'être pleinement femme, d'une solide expérience au pays des princes charmants, ainsi que de la certitude d'accomplir un geste de séduction qui sera apprécié à sa juste valeur. Seulement ce jeu de séduction ne vise pas un rapport classique, mais une forme régressive qui m'émerveille par sa sonorité et le piquant de ses brûlures. L'enjeu est biblique, la connaissance interdite, mal acquise, la paresse au travail etc, un tout qui stimule mon besoin de punition dans le sens :

Tu ferais mieux de bûcher tes cours au lieu de penser aux princes charmants, isabelle !

Et il est vrai, après une bonne fessée sensée, le postérieur encore bien chaud, je me sens apaisée pour faire des exploits de l'esprit. Voila qui montre un vrai effet éducatif de la fessée. Procurer une satisfaction qui calme les ardeurs de la chair pour retrouver le chemin vers la connaissance... désexualisée !


Ben oui, je suis sensible à ce genre d'humour pour surprendre mon chéri au petit matin. Étant nulle pour traduire un texte, voilà en gros de ce que cela parle :

Cher Daddy, allonge moi sur tes genoux, les fesses à l'air, la culotte baissée pour me donner une sonore fessée.

Seulement, je ne savais pas au début de ma vie de couple que mon homme aussi avait un sens d'humour proche du mien. Un jour il a fait appel à une imprimerie spécialisée pour me faire une surprise. Moi qui m'attendais, vu le joli paquet cadeau, à de la lingerie de plus effrontée, je n'ai pu m’empêcher d'un grand fou-rire en découvrant quelques culottes personnalisées en coton blanc ainsi qu'une paire de longues chaussettes blanches. Bref j'ai moins rigolé le jour qu'il faillait les mettre après m'avoir comporté en très vilaine fille. Ceci dit, j'ai eu un effet fulgurant sur ma libido, retrouvant les émois des mes premiers pas au pays des princes galants.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




Symphonie à quatre mains (petite série)














Fessée en corset (petite série)







3 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Décidément, vous n'êtes pas à court d'arguments... vestimentaires !
    L'étudiante : belle plante , rivalisant de séduction pour captiver son entourage, et prête à toutes les espiègleries pour se faire rougir son arrogant popotin comme il le mérite !!!
    Et le "Daddy" en question : personne détenant l'autorité et faisant preuve de sévérité, comme il le peut pour ramener à la raison la turbulente jeune fille.
    Tiens ça me rappelle le dessin "un tonton très sévère" sur votre autre Blog.
    "Voilà une belle fessée qui te remettra l'esprit au travail, mademoiselle ! "
    Excellent scénario, non ?
    Le fantasme de l'étudiante joue sur séduction et fragilité à la fois: pour la personne tutrice , elle génère un besoin de protection et de punition, à l'occasion. De bons moments en perspective.
    Mac-Miche.

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  2. Bonjour
    Le fantasme de l'étudiante fessée, ce n'est pas trop mon truc, ça ... Non, je rigole !!
    Le rapport professeur/élève peut donner lieu à une multitude de scénarios du fait du rapport de dépendance entre celui (ou celle) qui détient le savoir (et le pouvoir par l'évaluation) et celle (ou celui) qui veut l'acquérir.
    Lorsqu'on est en position d'apprenant, on est amené à accepter plus volontiers l'autorité de l'autre, et on cherche à se montrer digne de sa confiance en respectant ses directives.
    De quoi alimenter longtemps mon imaginaire de prof fesseur! ;)

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  3. Elle est très judicieuse votre analyse, cher Professeur Max. A mon avis aussi, nous sommes effectivement dans un état de dépendance et non pas comme on lit ci et là dans un registre de soumission. Je prends bonne note... car moi aussi j'adore apprendre !

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