dimanche 12 juillet 2015

738 Même pas peur, même pas mal (Lundi cinéma)

Quand la fessée provoque un fou-rire !

Pour ce long week-end un vrai film, orientation fessée P de presque une heure. Ben oui, je tiens un blog pour adultes et même si j'ai un faible pour la fessée disciplinaire, cela n'exclue pas que je ne garde pas mon esprit ouvert. La fessée P ne me dérange nullement et à vrai dire, je la préfère aux massacres industriels. Il s'agit du vintage, visiblement des années 80 qui a vu arriver ces superbes mini-jupes en cuir si cher à mon chéri. Bien entendu ces jupes ne faisaient pas partie du quotidien, mais plutôt de la vie intime des couples, mais aussi pour les sorties dans certaines boites de nuit. Pour ma part, trop jeune à l'époque, je n'ai pas connu ni l'un, ni l'autre. Époque des poils partout aussi, toutefois pas non plus une coutume immuable comme me firent comprendre très tôt certaines habitudes raz-motte de ma maman. Passons !

Ce qui rend ce petit film unique à mes yeux, c'est une petite dame blonde qui semble déjà depuis le début du film se battre avec ses envie de rire et elle tire même la langue à monsieur le fesseur (16m02s). Mais ce n'est rien à côté de...

...son long et héroïque combat contre le fou-rire en voyant une de ses collègue recevoir le martinet (à partir de de 40min 45 sec environ) !

Voila qui me semble du inédit dans ce genre de film. Tandis qu'au premier plan le martinet sévit (manière de parler dans ce contexte plutôt soft) sur un fessier féminin, au deuxième plan la petite dame nous offre une riche panoplie de mimique qui montre clairement le plaisir hilarant qu'elle retient de cette séance. Je pense qu'il y a interaction par échange de regards avec la dame qui reçoit et dont on ne voit pas le visage.

Puis son comportement « inadmissible » commence à agacer le monsieur qui applique. (44m06s)

Chanceuse, elle s'en tire d'abord à bon compte sans toutefois cesser ses grimaces. Elle commence même à échanger des moqueries sur l'infortunée avec l'autre dame en deuxième plan. Les choses se gâtent encore plus quand son tour à elle arrive (vers 45m40s). Comme on peut constater par de très courtes aperçues par la suite, elle ne perds pas sa bonne humeur jusqu'à la fin de ce film qui offre d'ailleurs une finale avec trois dames nues qui se font rappeler à l'ordre. Bref de l'humour involontaire dans une scénario qui rappelle du « slapstick » (bâton claqueur en français significativement). De l'humour contagieux et d'où ce petit post quelque peu atypique pour mon blog, car j'ai toujours mal au ventre de ma crise de fou-rire en regardant ce chef-d’œuvre du comique avec mon chéri. D'où mon conseil à moi :

A voir en couple absolument !

Enfin pour ceux et celles qui partagent la passion de la fessée avec leur partenaire. Notons que le vieux monsieur qui arrive à la fin pour féliciter le vaillant fesseur de sa prestation est un célèbre producteur de films de fessée avec une (petite) histoire et l'inventeur des spanking parties. A son actif aussi le vilain fantasme de bien de messieurs de se venger d'une contractuelle d'une manière bien particulière pour son pv.

46 commentaires:

  1. Cela me rappelle un petit film vu je ne sais plus où, où une dame entend corriger une femme plus jeune qui, je crois, fainéante en prétextant qu'elle est malade. Elle envoie une autre jeune femme chercher le thermomètre, celle-ci revient hilare en annonçant à la victime qu'elle le recevra "dans le derrière"... Après cette vérification, une fessée s'ensuit sous le regard amusé de la
    comparse.

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  2. C'est le genre de gaieté qui me plairait aussi. Enfin, il y a tellement de joli matériel sur le net qui attend encore d'être commenté. Notamment quand il s'agit de fessées pas bien méchantes..

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  3. La petite blondinette est sans doute la plus mauvaise actrice jamais vue dans ce genre de film mais qu'est ce que c'est rigolo de la voir exprimer toutes ses émotions sur son charmant minois : le fou rire mêlé d'un peu de peur. Parfois je me dis qu'elle débarque sans du tout connaître ce qui l'attendait. Peut - être est - elle novice en matière de fessée, peut-être même ne savait - elle pas que ce genre de film se faisait ? D'où son effarement hilare avec en même temps l'appréhension : "Ça va être bientôt mon tour". Très joli film !

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    1. Parfois il suffit d'une mauvaise actrice pour sauver un film, cher Bertrand. Je pense que cette dame montre ses émotion à l'état brut sans les déformer par une « prétention artistique ». Enfin le monsieur fesseur n'a pas un allures très rassurant...

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    2. Il est carrément glauque! En plus j'ai l'impression qu'il parle hollandais. iI est clair que ce film satisfait surtout la gente masculine. La gente féminine elle n'a que ce père fouettard/pervers pépère à se mettre sous la dent.

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    3. Peu-être un effet de l’époque qui dans tous ce qui touchait aux films P semblait utiliser des têtes masculines vraiment peu avenants.

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  4. Bonsoir Isabelle,

    Assez drôle, comme clip. Les agnelles dans l'antre du looooup !!
    La première partie du clip a pour fond musical l'air joué à la guitare dans le film " Jeux interdits" (1952 - avec Brigitte Fossey et Georges Poujouly).
    Des magazines de "Spanking" (Kane) trainent sur le bureau de la petite brune sans que celle-ci ait la curiosité de les feuilleter , du moins à l'écran.
    Quant au clip sur la fessée de la contractuelle, il me rappelle la scène de la "Pervenche" qui est fessée dans la cave de la boulangère par le héros dans le film "La Fessée" (1976).Et pourtant ces dames font simplement leur travail...
    Quoiqu'il en soit, ces dames portent bien l'uniforme et cela leur donne une petite touche à la fois stricte et... sexy.
    Mac-Miche

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    1. Ne cherchons pas un scénario en finesse dans une production qui a dû se passer à la va vite, cher Monsieur Mac-Miche. Mais comme dans le film « La fessée », au moins on essaye de fournir une petite histoire et c'est déjà louable...

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  5. La Fessée ou les Mémoires de monsieur Léon maître-fesseur de Claude Bernard Auber, quelqu'un que j'ai (un tout petit peu) connu.
    Le clip Janus de l'aubergine anglaise fessée dans la boutique est génial. Le fesseur est un peu léger mais elle, elle est magnifique et "so british".

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    1. Pour le peu que je connais de Janus, c'est mon clip préférée!

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  6. Bonsoir Mr Bertrand,

    Je suis tout à fait d'accord avec vous. Le film "La Fessée" reste, à mon avis, une bonne référence dans notre cinéma. Bien qu'il commence à dater, on le regarde toujours avec le même plaisir. Et puis, retrouver cette ambiance
    "kitsch", ça tranche avec le tumulte actuel. Ce chef-d'oeuvre en la matière me fait penser à une longue leçon de fessée" dispensée par un maitre-ès fessée. D'ailleurs, il me semble que l'acteur qui joue Maitre Léon n'est plus apparu dans aucun film. Du moins à ma connaissance. Ah ces insouciantes années 1970 !!! Un autre temps... révolu !
    (PS : quelle chance d'avoir cotoyé le monde du cinéma, même si c'est parfois éphémère. )
    Mac-Miche

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    1. Cher monsieur Mac-Miche,j'ai un aveux à vous faire : je n'ai jamais vu le film "La fessée", c'est une lacune que je pense réparer bientôt.

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  7. Bonjour Mr Bertrand,

    Ne vous excusez pas ! J'ai moi-même vu très tardivement ce film car il était assez difficile à retrouver en vidéo. J'ai réussi à le dénicher chez l'éditeur vidéo
    "Alpha-France" en 2002, qui rééditait également les films où jouait la talentueuse Brigitte Lahaie, autre icône du cinéma français "porno". C'est vrai que le thème de la fessée dans notre cinéma , ça n'abonde pas beaucoup. J'oserais dire que ce film fait office de "fossiles" dans sa catégorie. Rires.
    Mais c'est un bon moment en vidéo. Enfin, à mon avis.
    Mac-Miche

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    1. Tenez, chers Messieurs, je connais quasiment toutes les scène du film, mais je ne l'ai jamais vu en entier non plus. Rire!

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  8. Au sujet du "rase-motte".

    La mode actuelle dans le P est le rasage ou épilation intégrale. Cela n'a pas toujours été le cas; sans être un expert du P "vintage" années 1970-80 il me semble que les femmes avaient toujours le pubis garni.

    J'ai vu récemment, peut-être dans vos liens, une photo d'une jeune femme recevant la "tawse" penchée en avant, jupe relevée et culotte baissée, d'une dame plus âgée. On distingue son sexe poilu. Hé bien, je trouve cela plus approprié. Pourquoi?

    On sait que dans certains pays, on a poursuivi assez tard l'usage des châtiments corporels scolaires, y compris dans les lycées publics - le "paddle" est encore d'actualité dans les parties les plus conservatrices des états-unis, et l'était bien plus il y a 50 ans (voir les allusions dans ma belle-famille). Vous connaissez peut-être la scène de paddling dans le Cercle des Poètes disparus?

    Bien entendu, dans ce cadre scolaire on l'administre par dessus les vêtements... mais il ne me semble pas impossible que dans certains établissements privés ou familles on ait relevé la jupe, voire, horreur, baissé la culotte. Or, une jeune femme de ces époques avait certainement ses poils.

    Cela peut sembler largement excessif, mais, dans le film Magdalen Sisters (basé, il me semble, sur des témoignages), on voit des religieuses habillées passer en revue des jeunes femmes nues et commenter leur toison, et aussi leur infliger des châtiments corporels jupe relevée. Je pense que ces actes relevaient d'un certain sadisme, d'un fantasme de toute puissance de la part des religieuses... mais je m'interroge sur l'existence de châtiments disons "intermédiaires".

    Dans le domaine de la fiction, je me rappelle d'une histoire où une jeune femme recevait la fessée cul nu parce que la "principale" qui devait lui administrer la fessée par dessus les vêtements avait remarqué que la jeune femme avait tenté d'atténuer le châtiment par un "rembourrage" de sa culotte. Comme la jeune femme s'agite, la dame lui dit quelque chose comme "stop moving, we do not need to see your sordid little bits"...

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  9. Concernant mon entourage en France et en Allemagne surtout, l'épilation intégrale est assez courante. Sans toutefois que ce soit une généralité. Ceci dit dans les clips il s'agit sans exception de personnes majeures qui reçoivent la fessée... contre rémunération. A partir de là on peut imaginer ce que l'on veut.

    Il en va soi, qu'outre sur un point de vue de genèse du fantasme et de son acheminement, je ne souhaite pas rentrer dans les détails de punitions réelles appliquées aux adolescents. Ce n'est pas le sujet de mon blog. Par contre ce que je trouve vraiment troublant, c'est une personne adulte et dans ce cas peu importe son âge qui souhaite une discipline réelle. Justement parce qu'elle a le choix et son choix va vers une punition. Je pense que cette thématique n'est que rarement abordée et tant que la discussion sur ce sujet reste rare, on verra toujours la fessée sous un aspect de domination ou de sadisme. Toutefois il me semble difficile de croire aux bonnes motivations strictement éducatives des religieuses dans certains films...

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  10. Dans les Magdalen Sisters, il s'agit il me semble de jeunes femmes majeures... sous le coup de je ne sais quelles lois autorisant l'envoi en maison de correction de "filles perdues".

    Il n'en reste pas moins qu'elles sont détenues contre leur gré et qu'elles subissent des punitions non consenties. Ce film est hélas basé sur des faits réels, je ne sais pas à quel point certaines brimades du film sont inventées ou basées sur des épisodes vraiment arrivés.

    Bref, c'est le fantasme de la punition par une religieuse... mais en vrai, et en bien plus sordide.

    Quant aux jeunes femmmes des clips actuels, quasi toutes épilées ou rasées, j'ignore si c'est juste leur façon d'être, ou si l'industrie P impose systématiquement cet usage, même pour la fessée. Il est vrai que cela donne parfois des poses intéressantes...

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  11. Sans parler que des religieux, il me semble que ce genre de maltraitance a bel et bien existé. C'est condamnable, il n'y a pas d'autre mot. Enfin, sans me voiler la face sur la réalité, je suis très prudente pour choisir du matériel pour mon blog. L’élément du consentement m'importe beaucoup.

    Quant à l'épilation intégrale ou du moins partielle poussée, il semblerait bien qu'elle soit rentrée dans les mœurs. Il y a presque à chaque coin de rue un institut qui propose ce service...pour vous dire !

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    1. Ma femme a songé à se faire épiler en institut mais elle n'arrivait pas à se faire à l'idée d'exposer son sexe à l'esthéticienne...

      Même si elle est très "kinky" par certains aspects, elle a des habitudes de pudeur très traditionnelles! Une autre génération !

      Et le médecin, sage-femme ou gynéco? Cela ne compte pas car il s'agit de professions de santé! ;-)

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  12. A vrai dire à ce niveau je ne suis pas pudique du tout. Mais mon épilation définitive je l'ai faite chez un médecin, un dermatologue! Mieux vaut être prudente pour ce genre d'endroit..

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  13. Il me semble qu'en France, en théorie du moins, seul un dermatologue peut pratiquer les épilations "technologiques" (définitive au laser, lumière pulsée...), tandis que les esthéticiennes sont limitées aux méthodes traditionnelles (cire...).

    Madame a parfois des envies de sexe glabre, mais pas au point de vouloir cet état à titre permanent, du moins sans l'avoir longtemps expérimenté avant. Donc, elle envisageait une épilation temporaire en salon de beauté. Comme ça l'intimide, et que pour le moment nous nous arrangeons fort bien par des séances périodiques de toilettage aux ciseaux, elle n'a pas passé le pas.

    Pour la pudeur, chez madame c'est compliqué. Les premiers examens gynécologiques ont été pénibles, mais elle rationalise cela avec "c'est un personnel médical", respect de la blouse blanche tout ça. Elle ne verrait pas forcément non plus de mal au nudisme style bains japonais (que je lui ai décrit). En revanche, écarter les cuisses devant une esthéticienne, ça lui pose un problème.

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    1. Pour une épilation intégrale à la cire il faut aussi écarter les fesses, cher Monsieur Pecan. Rire. De plus, la première fois c'est... douloureux. Après c'est quasiment indolore. Je suis allée voir parfois une esthéticienne avant mon épilation définitive, mais je sais y procéder moi-même aussi. J'ai même « préparé » certaines copines quelque peu honteuses d'aller dans un institut. Quand au gynéco, cela ne me fait ni chaud, ni froid.

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  14. Au sujet des poils, il faut aussi vous dire, chère Isabelle, d'où vient fantasmatiquement mon épouse.

    Jeune adulte, elle avait le fantasme de la gouvernante: qu'une dame plus âgée surveille son hygiène de vie et son travail et lui applique si besoin la punition. Elle se voyait, habillée en "jeune fille rangée" (robe ou jupe et chemisier), se faire interroger par la dame, prendre sur ses genoux, et aussi penchée en avant cul relevé, position qui peut être révélatrice si la jupe est relevée et la culotte baissée.

    Peut-être que la gouvernante lui aurait adressée quelques remarques hygiéniques concernant ses "parties honteuses", voire aurait vérifié si elle était de bonnes mœurs et l'aurait interrogé sur ses manipulations digitales. Et bien sûr, à l'époque, elle avait ses poils. Et on ne pense pas qu'une "jeune fille rangée" les aurait rasés ou épilés!

    Donc voilà, la posture de la jeune femme qui se cache d'une main la toison pubienne sous le regard de la gouvernante, ou qui, penchée en avant, laisse apparaître son sexe garni, voilà qui la trouble. ;-)

    (À noter qu'il y a quelques dizaines d'années, aux États-Unis, on rasait systématiquement les parturientes. De nos jours c'est l'inverse, on ne rase plus avant accouchement, mais les femmes se rasent d'elles-mêmes!)

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  15. J'aime bien la poésie de la vilaine fille qui montre au monsieur : Regarde je suis toute lisse et je le fais parce que cela me procure des sensations plus intenses. Voila, ma première motivation de m'épiler était sexuelle. Et j'ai vu dans le temps l'effet d'une telle opération sur bien de messieurs ! Puis il y a parfois ce petit contexte de me faire punir pour mon audace. Je vous raconte cela car j'aime bien le fantasme de votre dame. Étant assez pragmatique je voyais dans ce genre de fantasme un strict secours pour rester motivée dans mes études au lieu de perdre trop de temps avec les princes charmants. Sorte de coup de main pour mieux apprendre à gérer les pulsions de mon corps...

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  16. Oui, à cet âge ces considérations sur la "gouvernante" se mêlaient aux études... Elle avait songé par exemple au cas de la jeune femme de bonne famille, à qui les parents payent un précepteur privé, mais qui est un peu frivole et étourdie. Pour des raisons de décence évidentes, ce n'est pas le précepteur qui applique la discipline, mais la gouvernante, sur son signalement. Et aussi la gouvernante qui surveille les "fréquentations" et le fond de culotte de la jeune femme.

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    1. Alors chez moi, les histoires de précepteur tournaient vite après la fessée sur un terrain purement classique entre un homme et une dame. En gros trop banal pour en écrire sur un blog. Voilà pourquoi le monde de la gouvernante présentait une alternative plus sérieuse en vue d'une réussite de mes études. La fessée restait une fessée sans prendre l'aspect de petite perversion (dans le sens d'un contournement) pour rejoindre la vanille...

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    2. Chez ma femme c'est un peu compliqué. Comme chez moi la punition fantasmée était appliquée par une dame plus âgée, en aucun cas par un homme.

      Quant à la "vanille", mon épouse a eu un cheminement... compliqué. Ses premiers essais hétérosexuels furent fort décevants, quant aux essais lesbiens elle était tentée mais c'était trop intimidant. Je ne veux pas paraître prétentieux mais c'est avec moi qu'elle a pris un fort goût pour la "vanille" et notamment le coït vaginal.

      Cela se retrouve dans certains fantasmes qu'elle a eu "en couple", de me punir ou de se faire punir en présence de dames ou par des dames, jamais des hommes.

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    3. Ben oui, jouir d'une pénétration vaginale s'apprend. Il faut trouver le bon partenaire et je pense que bien d'hommes se prennent comme un .. manche. On a beau à les préparer préalablement par une fellation ou autres attouchement, cela ne change rien au fait. Sans oublier de dire que faire des bisous intimes à la dame n'est pas tout. Faire de la vanille classique c'est un art en soi...

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    4. Mon épouse confirme que pour la pénétration vaginale "passive" ("missionnaire", "levrette"...) il faut avoir confiance dans son partenaire et dans ses propres réactions et sensations, ce qu'elle n'avait pas à l'époque. D'où des expériences peu satisfaisantes.

      Essayer avec moi la pénétration "active" (la dame au dessus) a été pour elle une grande étape. Y compris pour, par la suite, apprécier le "missionnaire".

      Quant à la fellation, là aussi elle dit qu'il faut une certaine coquinerie ("c'est contre nature!"), passer par dessus son éducation qui dit "c'est sale", avoir confiance dans le monsieur (qu'il n'aille pas l'enfiler à fond plus ou moins de force, qu'il n'éjacule pas sans demander), bref, ça la dégoûtait. Il a fallu qu'elle prenne confiance pour essayer et elle a trouvé qu'en fait c'est à la fois doux et excitant, et elle aime beaucoup cela comme "hors d'œuvre".

      Vous comprenez pourquoi le soir, elle a cette habitude de me faire un brin de toilette "pour que tout soit en ordre pour la nuit".

      Quant aux bisous intimes à la dame, il lui a fallu vaincre une puissante idée que c'était "dégoûtant" ("ça sent mauvais"). Depuis, à titre de gage permanent contre ce genre de réflexions, je la lave presque tous les soirs avec du Saforelle, devant et derrière, malgré le petit air pincé qu'elle prend parfois au moment d'écarter les cuisses sur le bidet. ;-) Et c'est si joli quand madame ouvre les cuisses devant mes yeux !

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    5. Selon un de mes frère et mon beau-frère, grands amateurs du charme féminin et de la nombreuse rencontre un peu partout, ce que vous appelez la pénétration active, c'est le moyen le plus sur pour que la dame puisse atteindre un orgasme. Selon moi aussi, car effectivement j'ai eu aussi des partenaires peu doués dans ma vie. Bien que l'orgasme vaginal n'est pas l'essentiel pour moi dans la vanille (je préfère la sensation biblique de faire « une chair »), il est tout de même agréable d'en avoir un. Selon mes copines et selon moi cela se fait tout naturellement en s'accordant avec un partenaire fixe, tandis que le super coup (à ne pas confondre avec super technique ou super performant) reste plutôt une légende urbaine.

      J'aime la propreté, mais je n'en suis pas une maniaque. J'aime l'odeur naturelle, j'aime le petit interlude sur un parking quand je trouve mon homme trop distrait sur la route. Une fellation sans demander quelque chose en échange, comme un bon repos, bien mérité du guerrier. Et dans ce cas évidement nous sommes loin des commodités d'une salle de bain...

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    6. Il y a chez une partie des américains une facilité à être dégoûté par ce qui est sale ou inhabituel ("eeewww! gross!"). Mon épouse a mis un certain temps à se défaire de certains réflexes culturels. De nos jours, comme vous, elle n'hésite pas à spontanément proposer une fellation alors que nous sommes loin des facilités sanitaires. La "petite toilette" réciproque du soir est cependant devenue une tradition.

      Pour la dame "active" ou "passive" lors de la pénétration vaginale, chez nous cela varie selon l'humeur. Madame aime parfois contrôler les choses, parfois aime se laisser faire. Il y a, dit-elle, une volupté certaine à la position du missionnaire.

      Et effectivement, les choses se sont améliorées en étant en couple stable, puisque nous connaissons nos réactions...

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    7. Ben oui, il y a des plaisirs tout simples comme le missionnaire. D'ailleurs je suis toujours amusée de constater comme cette pratique a mauvaise réputation dans bien de milieux. Voilà qui me rappelle un texte sur le devoir de jouir de nos jours. Comme s'il existait une recette à ce niveau. Même Freud s'est mis à son époque, avec son avance habituelle, pour parler des ses hypothèses sur l'intensité de« l'orgasme pervers ». Voila qui m'a fait beaucoup rire en imaginant ce prototype de père de famille et d'homme solide en rêvant dans ces heures perdues sur l'herbe plus verte au pays des originalités sexuelles. Toutefois il a été un des premiers pour parler de l'importance de l'ingrédient « amour » dans la réussite de l'orgasme...

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    8. Pour en revenir au sujet de votre blog, chère Isabelle: une pratique chez nous (enfin, quand pas d'enfants à proximité) au cas où madame est nerveuse casse-pieds le soir est 1) thermomètre 2) une bonne fessée 3) missionnaire 4) bon dodo. Le "missionnaire" avec le derrière chauffé n'a pas besoin d'être long pour provoquer chez elle plaisir et détente. ;-)

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    9. Moi aussi je pense que le mélange fessée missionnaire ne manque pas de charme et d'efficacité, cher Monsieur Pecan. Ceci dit, il est très rare chez nous d'utiliser la fessée hors cadre disciplinaire, donc pas de récompense vanille « sans long recul »...

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    10. Alors chez nous il y a tous les degrés.. du simple jeu coquin à la fessée "disciplinaire" et des points intermédiaires, "tu as été agaçant(e)" ou "tu es bien nerveux/nerveuse". Après une vraie fessée disciplinaire, pour des actes vraiment embêtants, il n'est pas question de sexe tout de suite, un peu de méditation ne nuit pas. Par contre, pour la fessée pour cause de simple "casse pied" ou "nerveux", on peut enchaîner...

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    11. Peut-être une habitude de « vieux couple », cher Monsieur Pecan. Dans le temps, nous aimions beaucoup la fessée hollywoodienne : petite fessée sur le champs avec déculottage si possible, grand baiser de réconciliation et puis conciliation plus charnelle... Enfin seulement pour les petits agacements que j'ai su procurer à mon homme, pas pour les « infraction graves ».

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  17. Sur le fait d'écarter les cuisses (et les fesses) devant l'esthéticienne plus gênant que devant le ou la gynécologue, j'ai jadis eu l'explication suivante:

    Voir un médecin c'est normal, et c'est normal que le médecin voie les parties du corps qu'il doit traiter (elle préfère d'ailleurs les manières des gynécos américains aux français, qui préservent mieux la pudeur).

    Demander une contraception, c'est un peu embarrassant au début mais pas tant que cela, car la plupart des femmes ont des rapports vaginaux, c'est le "devoir conjugal", rien que de très classique.

    Par contre, l'esthéticienne, c'est "naughty", comme acheter des sex toys. Ce serait faire quelque chose juste pour le plaisir, pour faciliter le cunnilingus par exemple (et le "contre nature" est toujours chez elle "naughty"). C'est donc plus difficile psychologiquement.

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  18. Je suis d'une génération qui voyait la caricature de la dame allemande avec des poils sous les bras et sur les jambes. N'en parlons pas du maillot.
    Avec seule exception certains rares caricatures naturistes, étrangement imaginés sans poils. Ceci on Allemagne vous trouvez facilement des revues pour ados où l'épilation intégrale est ouvertement abordée et ouvertement illustrée. S'il y a une impression de « naughty » elle est très forte dans la génération de mon homme, moins dans la mienne et inexistante chez les jeunes ou le « naughty » concernerait plutôt le pubis fourni.

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  19. Nos notions de ce qui est normal, anormal, "coquin" ou commun se forgent tôt!

    Dans la génération de ma belle-mère, il n'est pensable de se montrer en maillot de bain que jambes et aisselles épilées. Il est aussi recommandé de se "faire belle" pour son conjoint. C'est le modèle "pin-up". Ça a un peu déteint sur sa fille.

    En revanche ce qu'il y a sous le maillot de bain c'est très tabou et sale. On rogne les poils qui risquent de dépasser afin de ne pas rappeler ce qu'il y a dessous. On le montre avec honte à son mari (avec peur qu'il ne trouve que ça sent mauvais, d'où cette mode, heureusement passée, des douches vaginales), au médecin quand on est bien obligée, et pas autrement, donc pas à une esthéticienne.

    Pour quelqu'un de cette génération née années 1940, l'idée de s'épiler pour faciliter le léchage est carrément perverse. Même si mon épouse a l'esprit plus ouvert concernant les activités, ça reste pour elle "kinky" et "naughty". D'où l'embarras à aller voir une esthéticienne et lui demander d'enlever tout ça.

    Quand est-ce que l'épilation intime et le rasage sont-ils devenus à la mode, voire la "normalité"? On dit que c'est avec le P sur Internet, qu'en pensez-vous? Et même dans le P, qui a lancé la mode?

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  20. Votre question me semble très simple à répondre et ceci non seulment pour le milieu dans lequel j'ai grandi. C'est rentrée dans les mœurs avec la première playmate du playboy intégralement épilée. Donc au début des années 2000. Ne chercherons pas plus loin. Ce magazine représente pour bien de personnes de ma génération un comble de la ringardise masculine et prônant une sexualité révolue. C'était dans mon enfance un des magazines qui était dans les toilettes chez mes parents et aussi chez bien les parents de mes copines et copains. Alors si c'était dans le playboy, c'était un truc qui ne choquait plus personne parce que trop de personnes le faisaient déjà. Ceci dit je ne saurais dire si l'épilation intégrale est rentrée dans la « normalité ». S'il y a un pourcentage supérieur à la moyenne, oui, c'est la normalité, si c'est inférieur nous sommes dans une certaine marginalité...mais en aucun cas dans un contexte anormal..

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    1. Voilà... donc même si nous apprécions pour certaines activités l'absence de poils, ou du moins leur écourtage sur le pourtour du sexe (disons-le franchement, je n'aime pas les poils sur la langue), l'esthétique du sexe rasé ou épilé est pour nous très associé au porno, souvent vulgaire (la plupart des vidéos sont insoutenables de ce point de vue).

      Alors que l'esthétique de la punition est pour madame associée à un univers surranné fantasmé, avec des jeunes femmes habillées "vieux jeu" (jupe voire jupe plissée, chemisier...) qui éprouvent la honte de devoir montrer leur postérieur voire leurs parties intimes pour la punition. Donc avec leurs poils, même si taillés pour rentrer dans le maillot de bain. ;-)

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  21. C'est intéressant ce que vous dites, cher Monsieur Pecan. La construction de mon fantasme de base est assez opposé au vôtre. Étant de la génération P, mon association spontanée à ce genre films, c'est les poils partout et des actions... assez peu inspirantes. Alors pour moi personnellement le « jolie sexe que l'on fait en couple » s'est très tôt associé à une absence de poils. Idem que la jeune dame lisse se dénote ainsi de la femme des films P. Évidement c'est irrationnelle, mais l’irrationalité c'est sujet de mon blog...

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  22. Les fantasmes, ce n'est pas très rationnel (rire).

    Mon épouse a en quelque sorte la superposition de plusieurs fantasmes.

    Celui, datant de la fin de son adolescence, d'être une jeune femme "de bonne famille" qui reçoit la discipline et les soins d'une "gouvernante" plus âgée. Dans ce cas, on n'imagine pas un sexe dénudé, plutôt des poils rognés pour ne pas sortir hors du maillot. Et la honte lorsque ce sexe apparaît lors de la fessée, ou, pire, lorsque la gouvernante impose un soin ou une inspection intime.

    Et des fantasmes plus "vanilles" de sexualité hétérosexuelle, avec pénétration vaginale et cunnilingus, pour lesquels il lui semble adapté de montrer à son mari un sexe propre et assez dénudé voire totalement, tant pour satisfaire sa vue (vous ai-je dit que je trouve son sexe charmant?) que pour faciliter les gâteries.

    Donc, du point de vue de la "vanille", elle serait plutôt pour l'épilation, mais elle n'a pas d'expérience suffisante pour savoir si cela lui conviendrait à long terme (le résultat du rasage nous plaisait mais ensuite irritations, donc nous nous méfions).

    Elle serait tentée par l'épilation "professionnelle" (mais non définitive), mais montrer son sexe et ses fesses pour cela l'embarrasse parce que, malheureusement, l'esthétique glabre est pour elle aussi associée au porno et à la vulgarité.

    Tout ceci n'est pas très rationnel, mais comme souvent chez nous, l'hésitation perdure longtemps! Donc pour le moment, la solution est que de temps en temps je m'occupe de sa toison avec des ciseaux.

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  23. Vous savez , cher Monsieur Pecan que j'aime beaucoup les fantasmes de votre dame. Déjà pour le fait que l'élément honteux semble passer avant le sensationnel intense. Voila qui dénote des purs et durs (surtout durs !) de la fessée. Vous restez toujours dans un registre de préparations plutôt psychologiques qui semblent mettre à rude épreuve la pudeur selon la manière que vous concevez vos fantasmes. Je dirais que c'est un univers que je trouve rassurant. Mais j'aime avant tout chez vous que vous prenez le temps. Plutôt réfléchir avant d'agir et éviter le risque dans le mauvais sens. Je vois dans vos commentaires d'excellents conseils pour les personnes vivant en couple qui tiennent plus à une harmonie avec le partenaire qu'à essayer de « trucs pas possibles ». Ben oui, c'est un peu pareil chez nous, même si ma façon de condenser presque 17 ans de vie de couple peu donner d'autres impressions. Et j'aime surtout ce beau compliment pour le sexe de votre dame. Enfin, pour retourner au sujet, peut-être devriez vous essayer, si l'envie vous chante, de la cire Nair qui est très facile à manier pour un résultat professionnel...

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  24. Oui, chez nous cela tourne autour de la honte (embarras, offense à la pudeur) et de la douleur modérée (une vraie fessée doit tout de même chauffer le derrière!).

    Et pour la honte, si parfois nous impliquons de tierces personnes, comme la caissière qui a encaissé notre premier martinet, nous veillons à ce que cela ne puisse pas être pénible pour eux. Par exemple, cette caissière travaillait dans un magasin qui vendait des martinets donc ne devait pas être choquée que nous en achetions un, mais nous nous abstenons d'activités sonores ou offensant la pudeur des autres.

    Nous prenons note pour la cire.

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  25. Pour un achat de martinet, selon mes expériences, c'est seulement le soupçon de s'en servir pour un enfant qui crée un malaise. Sinon cela passe presque inaperçu dirais-je. Les vendeuses ont l'habitude et il y a avait un petit débit régulier dans mon supermarché du coin...

    Avant d'utiliser la cire pensez à raccourcir les poils et à bien talquer les parties à épiler. C'est primordial !

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