vendredi 16 janvier 2015

639 Liens de discipline domestique (149 ème édition)

Au menu cette semaine : Ces fessées qui décoiffent


Il y a des jours que je semble solliciter une bonne fessée. Une qui claque fort et qui me met le feu aux derrière. Cela me prend surtout dans des situations où mon chéri ne peut pas se soustraire à mon emprise. Comme en voiture, sur un long trajet. Alors subitement, piquée par la petite bête, je me mets à l'agacer et ceci avec ténacité. A croire que je cherche à le faire craquer.

Je te préviens, isabelle...

Mais au lieu de ranger mon arsenal de... tyrannie après cette mise en garde bienveillante, je prends un malin plaisir d'exceller en la matière. De voir mon homme perdre lentement sa patience.

Et nous y voilà dans un contexte de séduction particulière qui appelle une main forte.

Qui appelle également un sens aiguë d'improvisation. Il faut trouver le bon endroit pour s’arrêter et ne pas se donner en spectacle. Mission (quasiment) impossible sur l'autoroute par exemple. Dans ce cas mon homme se rattrape plus tard sur le réseau secondaire. Infailliblement il déniche le bon coin en profitant de l'abri du regard qu'offre une voiture. Il ne perds pas son temps pour me trousser, ni pour me pencher sur son genoux, en réglant dans un temps record l'affaire...

...fermement et avec détermination !

Puis en moins de trois minutes nous continuons notre route. Malgré une sacré brûlure dans mon derrière, je suis toujours aussi émerveillée par son sens d’initiative, par son courage d'oser les coins risqués et par son savoir faire. Fière de lui, je ne manque pas d'attentions tendres à son égard :

Comme tu es fort mon chéri !

Tu va voir ce soir, isabelle...

Et me voilà partie dans des rêveries de fille, en essayant d'imaginer que sera ma fête le soir. Car mon homme, après m'avoir fortement sifflé la marche dans la journée, aime bien me monter qu'il m'impressionner au lit aussi...


S'il m'arrivait de mettre un tel pantalon à bretelles, je verrai bien mon homme devant l'immense tentation de me remonter ces dernières. J'ai d'ailleurs parfois l'impression que certains pantalons stimulent particulièrement son monde fantasmatique et par extension ses élans d'éducateur. Pour aller au bout de ses jolies incohérences, il me semble qu'il considère les tenues bien féminines comme circonstances atténuantes en cas de bêtise de ma part. Tandis que quand je porte un jeans, la charge s'avère souvent bien plus intense. Temps durs pour la petite garçonne qui sommeille en moi et par la même occasion grande habituée du coin en exposant mes fesses rouges...


Petite série qui me rappelle l'époque de mes cheveux longs, voire très longs que j'ai retrouvés, attachés ou pas, le plus souvent dans un désordre pas possible après un passage sur les genoux de mon chéri.
En « prenant de l'âge », j'aime toujours autant surprendre mon chéri avec des éléments d'une panoplie très girlie. Comme la petite robe légère, parfois associée aux chaussettes longues et chaussures à tout petit talon. Dans mon pays de naissance, la longue chaussette blanche est assez courante pour dames adultes. Un peu comme les sandales que le monsieur porte avec des soquettes. Bon, ici on m'a déjà fait remarquer que cela faisait "trop allemande"....

.comme aussi l'idée que "les allemandes on un faible pour la discipline stricte".



Il n'est pas un secret que j'adore les jupes droites, les bas couture et les escarpins. Même la hauteur des talons de cette dame ne me fait pas peur et j'en porte aussi, surtout à la maison quand je porte la café à mon chéri à l'heure de sa pause et aussi quand nous sortons en amoureux au restaurant. Par conséquence je sais très bien quels mouvements et postures à éviter pour que ma jupe ne remonte pas trop haut en public et inversement quels mouvements et postures à adopter pour qu'elle remonte justement le plus haut possible dans notre intimité. En espérant de récolter une savoureuse claque sur mon derrière quand mon chéris souhaite se poser en vaillant défenseur d'une morale de plus stricte, mais aussi en affrontant une main qui remonte subitement le long de mes jambes. Loin de moi de vouloir provoquer quand nous recevons de la visite. Mais je sais trop bien quel plaisir éprouve mon chéri quand je me laisse aller par « mégarde » à une posture qui dévoile le haut de mes bas. De toute façon tout le monde est au courant que je porte quasi exclusivement les bas à la maison et à vrai dire que voit-on. Au mieux un petit bout de mes entrecuisses. Toutefois ce genre de petit incident monté de toutes pièces suffit largement pour récolter un :

Tu mériterais bien une, isabelle !

Puis mon chéri passe à l'acte. Ce n'est pas vraiment du punitif et par conséquence ma fessée est suivie de galipettes de toute sorte. Il ne faut pas croire que les adeptes de la discipline domestique ne savent pas amuser comme tout le monde...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

Un geste bien utile (mini-clip)













Sur les genoux la culotte baissée









Une touche de glamour

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