vendredi 8 août 2014

556 Liens de discipline domestique (126 ème édition)

Au menu cette semaine : donner réalité à ses fantasme !

Un choix crucial (petit clip)

Ah la belle blague. Je m'imagine à la place de la petite dame. En voyant cet attirail, je me trouve un peu hors de mes rêveries. Ma première pensée :

Ai-je fait erreur dans le choix de mon cavalier ?

Non, non je ne fantasme pas sur l'idée de me trouver attachée, ni littéralement, ni dans le sens transposée. Que l'on veuille me poser un bâillon pour que je me taise un peu, me semble de bonne guerre. Que l'on veuille me voir en bunny plus vraie que nature avec une queue qui tient parce qu'elle sait se loger comme il faut, m'amuse. A la limite vouloir me promener en laisse, pourquoi pas. Ce n'est pas bien méchant... sur une très épaisse moquette.

Mais là, me fiant à la suggestion de ce que je vois, c'est un peu trop à mon goût perso. J'avais déjà entendu que certains messieurs sont de véritables collectionneurs en matière d'instruments, mais personnellement je n'ai jamais fait un telle connaissance. Chez mon homme à ce niveau c'était le néant. Ce qui ne l'a pas empêché de me montrer son esprit pratique en ramenant rapidement, au beau milieu d'un sac de courses, un martinet de … supermarché. Et bien que je sois de manière générale assez exigeante, il a su faire le bon choix. J'ajoute pour ceux qui n'ont jamais fait leur shopping dans un supermarché, qu'il existait dans le temps au rayon « martinet » un sacré choix concernant la qualité des lanières. Pour ma part, j'adore le cuir qui filoche vite et s'adoucit à l'usage. Ce qui n’empêche pas « la chose » de procurer l'effet d'une authentique correction...

Ce qu'il aime particulièrement en moi, mon chéri ?


Il y a ceux qui aiment changer de partenaire pour donner un coup de fouet à leur libido et ceux qui aiment dans le même but essayer du nouveau avec leur partenaire selon la devise : On ne change pas une équipe qui gagne. Pour ma part, j'adore me changer de tête, puis sortir un grand jeu de séduction pour mon homme. Ayant un visage très symétrique, je suis sure de pouvoir porter tous les styles et que ma métamorphose ne prends pas d'allures d'un cauchemar. A moins de bien me connaître, il n'est pas toujours évident de me reconnaître après un relooking total. Heureusement mon chéri aime les surprises, bien qu'il ait marqué parfois devant mes audaces un temps d’arrêt net. Heureusement aussi qu'il aime principalement les dames aux allures sages qui portent des lunettes...


Il n'y a logiquement qu'une seule place pour cacher un bouchon pour le cucul pendant la visite de ses parents !

Enfin, inutile de cacher les miens, sachant ma mère grande adepte de ce genre de sensations aussi. Voila qui m'a évité les suppos quand j'étais enfant. Et toujours ce souvenir comme fut grande ma surprise quand ado j'ai découvert ses petits jouets. Mais mieux encore, j'ai pu aborder les sujet avec elle en toute sérénité. Complicité mère et fille ? Mais oui, bien sur et comment !


Une fois n'est pas habitude. Voila le genre de (jolies) images que je censure habituellement. Quelle idée aussi de ligoter les mains de la fille !Pour qu'elle se constitue offrande ou proie immobile ? Je ne saurais le dire. Passons ! Pour le reste, j'adore cette belle mise en scène d'un fantasme de plus basique. D'où la profondeur du trouble. Et si je me souviens bien de mon enfance, la tentation de montrer mon derrière tout nu à quelqu'un a vite changée de visage par mon adaptation aux normes sociales. Alors devenue plus grande, j'ai commencé à fantasmer d'une manière politiquement plus correcte, veut dire de devoir montrer mon derrière tout nu. Sous forme de punition. Voila qui souligne une belle hypocrisie déjà à l’intérieur de nous. Puis intervient l'astuce suprême de la fessée, par son double effet. Elle punit ces vilaines pensées et permet en même temps de les réaliser. En plus, la tierce personne ne reste pas au stade d'un spectateur et intervient là où on le souhaite le plus. Il y a réellement de quoi a avoir honte de soi. Enfin, il faut être adulte pour bien le comprendre.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !




















42 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Vous nous surprenez... Fille Caméléon !!! Déesse aux cent visages ! Bravo !
    L'illustration de "...Mille femmes en une" me plait beaucoup. Jeu de rôles.
    Qui n'a pas reçu un jour pour la fête de Noël ou son anniversaire une panoplie de cow-boy, Zorro, ( reçue à Noël 1973) et autres héros ? On se réinventait des histoires de justiciers, pirates et autres. Epoque bénie mais révolue.
    Mettre de la variété, de la diversité pour éviter la routine et se renouveler . Chaque jour se suivent mais ne se ressemblent pas, avec leur lot de surprises. C 'est ce qui fait le sel du quotidien. Non ?
    Bonne soirée. Mac Miche.

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  2. Ah j'apprends avec grande curiosité votre passion pour le déguisement, cher Monsieur Mac-Miche. C'est très archaïque dont toujours valable de nos jours. Il y avait côté garçon bon nombre de spider-man cet année pour la carnaval à l'école de ma fille. Mais bien inférieur au nombre de princesses . En fait difficile de trouver une petite fille qui ne veut pas être une princesse...

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  3. Bonjour Isabelle,

    Le déguisement , c'est une "seconde peau" en quelque sorte : on joue à "être quelqu'un d'autre" et ça permet de combler son rêve .
    Quant j'étais gamin, côté garçon, c'était Thierry la Fronde, Zorro, Cow-boy, Pompier, Pirates, et autres justiciers... Côté fille, c'était beaucoup plus discret et cela tournait autour des futurs métiers: infirmière, instit, épicière... Et la magie des princesses n'avait pas encore fait son œuvre ! Au fond, peut-être que le rêve permet aux jeunes enfants de "se construire". Non ?
    Bon Dimanche. Mac-Miche.

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    1. Effectivement quand j'étais enfant mes passions tanguaient plus vers l’esthéticienne, l’hôtesse de l'air, secrétaire particulière (auprès de mon papa dans son bureau!), danseuse etc. Je ne saurais dire pourquoi il y a un tel retours vers les princesses, mais je pense qu'il n'est pas un hasard que l'on parle d'enfants roi.

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    2. Bonjour Isabelle,

      Vos passions reflétaient votre goût (ou votre souci ?) de l'apparence parfaite et du dévouement . C'est à votre honneur.
      Quoi de plus naturel quant on a le souci de plaire à son entourage. Non ? Mac-Miche.

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    3. Plaire à mon entourage ? Je n'y avais pas pensée cher Monsieur Mac-Miche, mais maintenant que vous les dites... je ne peux qu'approuver!

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  4. Ah, le martinet... Madame ne connaissait pas, cet instrument n'existant pas aux États-Unis (enfin, on trouve en sex-shop des "floggers", mais il n'y a pas la version "familiale"). Je ne l'ai jamais reçu enfant, mais j'en avais entendu parler et on m'en avait parfois menacé de l'achat. Autant dire qu'il nous fallait essayer...

    Je crois que ça s'est passé ainsi. Nous étions en France et lors d'un passage dans un magasin de bricolage nous étions passés devant les martinets au rayon "animaux"; nous n'avions rien dit sur le moment mais le soir madame a dit que maintenant elle voyait de quoi il s'agissait. Quelques jours plus tard, je faisais mon impertinent pour avoir une fessée, et alors madame m'a imposé un gage: aller acheter un martinet, et rien d'autre pour le dissimuler ou faire semblant d'avoir un animal.

    Quand la caissière a vu l'unique objet sur le tapis, elle a sursauté, m'a regardé d'un air surpris et désapprobateur et a dit quelque chose comme "nous n'en vendons plus beaucoup" puis, après avoir passé le code-barre, "quelqu'un va avoir mal aux fesses".

    Je ne sais pas si elle pensait que j'allais m'en servir sur un enfant, si elle avait des mauvais souvenirs de cet instrument, ou s'il y avait un sous-entendu (je devais avoir l'air fort embarrassé). J'ai détourné le regard, me suis dépêché de payer et de partir.

    Mon derrière a bien évidemment inauguré l'engin le jour même.


    "inutile de cacher les miens, sachant ma mère grande adepte de ce genre de sensations aussi. Voila qui m'a évité les suppos quand j'étais enfant"

    J'ai un jour entendu une mère de famille mentionner que sa gamine aimait recevoir les suppos! Alors que moi, petit, je n'aimais pas, je trouvais cela assez humiliant. Il semblait que chaque ordonnance en comportait, sans parler du fait que maman gardait en permanence en réserve des suppos à l'eucalyptus pour le mal de gorge et à la glycérine pour la constipation. Pourtant je ne me révoltais pas, même si je me rappelle avoir fait la tête à l'annonce de l'ordonnance, ou cette fois à la pharmacie quand la dame qui nous servait a crié à celle dans les rayonnages de lui ramener "machin suppo enfants" alors qu'il y avait une camarade de classe qui faisait la queue à côté et qui a eu un grand sourire.

    Tout le processus était assez humiliant: maman m'envoyait d'abord à la selle même si je n'avais pas envie (pour ne pas que je "refasse" trop vite), puis m'insérait le remède alors que j'étais soit sur mon lit soit penché sur les WC; souvent elle me mettait une protection hygiénique dans le slip pour limiter les fuites.

    En plus, même si l'administration avait lieu en privé, mon frère et ma sœur étaient vite au courant, vu que ma maman n'était pas discrète pour appeler prendre le remède et que les suppos hors glycérine étaient mis au frigo pour être rigides...

    Je crois que ça a duré jusqu'à la fin de l'école primaire. Je détestais ça et je me demande comment je peux y prendre plaisir maintenant!

    Chers autres lecteurs, ça vous a aussi laissé un tel souvenir, le suppo?

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    1. Bonjour Mr Pecan,

      Comme vous, j'ai connu ces deux "accessoires".
      Le martinet, à l'époque, se trouvait dans le rayon "articles ménagers" avec bassines, balais brosse et poubelles plastiques. comme un complément de la panoplie "Parfaite ménagère". Rires. Là aussi, une menace potentielle, discrète mais bien réelle quelques fois. Je me souviens de l'instrument : manche en bois peint en jaune, long de 40 cm avec une dizaine de lanières en cuir blanc (?) de 30 cm.
      Mon père l'avait surnommé " le 125 Francs/ 1,25 NFrs" en riant, mais question punition c'était ma Mère qui officiait souvent.
      Question "Suppo", j'en ai reçu souvent pour calmer la fièvre ou les douleurs ( 12 otites internes ), Le nom était "Algotropyl - Enfants" .
      Ma mère me l'administrait en me faisant positionner "en chien de fusil".
      Un inconvénient : l'antidouleur était un peu laxatif. J'ignore si ce médicament existe encore... Avec l'expérience, je pourrais passer un diplôme de pharmacien.Rires ! Quant on est malade, surtout à long terme, on doit faire tous les rôles : pharmacien, médecin, secrétaire et malade, of course ! Un peu comme Maître Jacques dans "l'Avare".
      Bonne journée. Mac-Miche.

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    2. Pour ma part je n'ai pas de souvenir en particulier concernant les suppos. Il y en avait à la maison dans la pharmacie, réservés à ma mère qui en faisait usage. C'est à l'adolescence en me penchant sur les sensation de mon corps que j'ai fait une tentative « juste pour voir » l'effet que cela fait. Et je dois avouer que je trouve cela fort agréable ou point de récidiver. Puis mon homme « ayant subi les suppos dans son enfance » avait visiblement envie de rendre la pareille à la gente féminine et je me suis trouvée vite sur ses genoux pour me faire administrer une telle médicamentation. Avec la bénédiction de notre docteur qui me sait l'estomac fragile. Enfin je ne suis pas hypocrite à ce niveau en parlant d'un plaisir dans le déplaisir de prendre de médicaments. Et j'aime beaucoup quand mon homme me rappelle que c'est l'heure de mon traitement...

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    3. Bonjour Isabelle,


      Votre petit scénario perso se rapproche un peu du vieux " jeu du docteur". Manquerait le stéthoscope (remplacé par le "kit mains-libres" d'un mobile, éventuellement ?).
      Subir un suppo comme remède au lieu d'une punition : moyen soft mais, ma foi, un peu humiliant. En médecine, malheureusement, la pudeur n'a pas sa place. Votre compagnon en a surement gardé un mauvais souvenir. Peut-être au même titre que les fessées reçues. Surtout si nos Mamans se montrent un peu "possessives" mais il en va de leur réputation en matière d'éducatrice. Et le grand garçon reproduit parfois ce comportement quant l'attitude "faussement puérile" (rires) de sa compagne s'y ... prête ! Non ?
      Purger sa colère en purgeant ses intestins: drôle de médecine: on évacue, oserais-je dire, ses mauvaises humeurs. Rires. (Cela fait un peu "scato" tout ça, mais cela se rapporte... aux fesses. Non ?)
      Une seule médication me faisait souffrir: les piqûres d'antibiotiques: j'en ai encore le souvenir: une bronchite récurrente m'avait valu 45 injections en 20 jours !!! J'avais beaucoup de mal à m'asseoir !!!
      L'équivalent d'une centaine de fessées ???? Rires
      Bonne après-midi. Mac-Miche.

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    4. Je ne parlerai pas d'une punition cher Monsieur Mac-Miche, mais plutôt de dorloter. Expression empruntée à monsieur Pecan et ô combien justifiée pour désigner ce qui se passe entre mon homme et moi. Joindre l'utile à agréable. Puis rien de mieux pour certains hommes de pouvoir se sentir en chef de famille dans le moindre détail. Il y a de belles retombées dans leur travail et dans ce qui se passe plus tard sous la couette. J'en conviens avec vous, il y a du moins chez mon homme reproduction ce qu'il percevait enfant comme une sorte de discipline rectale. Ce qui tombe à pic car cela comble ou plutôt calme mes penchant nerveux et hystériques. Alors quand il m'appelle pour mon médicament, je cours pour le recevoir. Ceci dit, je suis insensible aux piqûres. Cela ne me stresse pas pour le moins du monde.

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    5. Bonjour Isabelle,

      Curieusement, votre première phrase m'a fait sourire et penser...aux couches- culottes ! Par rapport au verbe "dorloter". Réaction un peu bête, me direz-vous mais le jeu des "gros poupon/biberon/couches est parfois une autre facette de la DD. Mais avec un public restreint. Tout le monde n'a pas une âme de gros bébé joufflu... Rires Mac-Miche

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    6. Cher M. Mac-Miche,

      L'univers des couches, biberons etc. ne nous intéresse pas. Il est toutefois vrai que nous recherchons une certaine régression, avec des gestes plus adaptés à des enfants de 5 ans qu'à des adultes: fessée sur le cucul si pas sage, thermomètre et suppo dans les fesses si malade, toilette y compris et surtout sur l'intimité devant et derrière parce que "c'est sale", etc.

      L'important est pour nous de faire cela dans la bonne humeur, avec humour et sans brutalité.

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    7. bonjour Mr Pecan,

      Très juste. Le principal est que les partenaires trouvent chacun leur bonheur dans tout ce qu'ils entreprennent, même dans la DD et peut-être même surtout dans cette dernière. Au quel cas, elle glisserait vers une forme particulière de la vie conjugale. Et risquerait de se solder par une rupture. Dommage ?
      Perso, cette ambiance "couche- culottes" ne me convient pas non plus. Je lui préfère une ambiance "grand garnement- vilaine gamine" qui serait plus "dans mes cordes". Mais c'est perso.
      Bonne après-midi. Mac-Miche

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    8. Chez nous non plus les jeux bébé, ce n'est pas notre truc. Mais je ne porte aucun jugement sur ces pratiques. La DD à mon sens c'est plutôt un certain rapport adulte/ado qui instaure une relation disciplinaire en cas de besoin et non pour le pur plaisir comme certaines autres pratiques. Enfin, chacun voit midi à sa porte. Et bien entendu comme chez Monsieur et Madame Pecan loin de nous toute brutalité ou ambition extrême sans confondre ces deux registres.

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    9. Bonjour Isabelle,

      Bien d'accord avec vous. Pourrait-on dire que notre "expérience" de la DD commence pour chacun/e de nous durant notre adolescence quant nous vivons sous l'autorité légale et physique de nos parents ? Une forme d'apprentissage subie et/ou acceptée selon les caractères que nous reproduiront une fois adulte avec notre partenaire. Mais tout dépend de l'écho que celle ci trouvera chez la personne qui partagera alors votre vie. Et puis ce sentiment éprouvé dans ce cas- honte, dégoût, besoin - découle t-il du regard des autres sur nos actes ? Ou bien de notre sensibilité intérieure ? Intéressante question ? Mac-Miche

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    10. Je reformule pour éviter tout malentendu, cher Monsieur Mac-Miche. Quand je parle d'ado, c'est la nostalgie pour l'époque ado qui s'installe dans un adulte et qui effectivement vivait jadis sous l'autorité des adultes. Il y a pour moi différentes façons de s'expliquer « rationnellement » la naissance d'un fantasme. Notamment deux grandes lignes qui expriment deux approches différentes envers la vie. Un regard en arrière sur son propre vécu ou un regard en avant par appréhension d'un vécu à venir. Pour ma part j'affectionne la deuxième possibilité, l'appréhension de devoir partager son monde fantasmatique avec une autre personne pour dépasser l'autoérotisme de l'enfance. Voila le grand défi de l'adolescence.
      En gros, fantasme de fessée ou pas, même pour une personne fantasmatiquement la plus banale du monde, inclure une autre personne dans son intimité à l'adolescence c'est toujours un acte important.

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    11. Bonjour Isabelle,

      D'accord avec vous. Peut-être me suis-je mal exprimé. Quant j'évoque mes souvenirs de jeunesse, c'est pour parler de mon vécu (j'attache beaucoup d'importance aux sentiments) et expliquer ma vision de mon fantasme au point de vu moral surtout. D'où mon interrogation dans mon message précédent .
      C'est évidement une période charnière dans l'existence comme vous le savez : on est plus vraiment un enfant mais on est pas encore un homme. "On se cherche" dirais-je. Et en même temps la nature fait son œuvre en chacun/e de nous. Et cela est plus ou moins bien ressenti. "On découvre" : le monde , les gens, les choses... on quitte petit à petit le monde insouciant et sécurisant de notre enfance respective. Et l'on s'apprête à frapper à la porte du monde des adultes, auquel il faut se préparer du mieux que l'on peut. Tâche ô combien délicate... Et se sentir accepté: au fond cela fait partie de la question aussi . Qui de nous ne s'est jamais posé ce terrible dilemme ?
      Bonne journée. Mac-Miche

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    12. Ne vous en faites pas, cher Monsieur Mac-Miche, mon blog n'a pas d'autre but - outre que la distraction - de s'exprimer sur nos fantasmes
      respectives sans se prendre la tête. Je ne compte même pas combien de fois que je m'exprime mal ou pas assez clairement et en me relisant je trouve que je suis passée un peu (beaucoup) à côté de ce que je voulais dire. Et justement c'est en s'exprimant sans pression, en suivant librement ses associations et en formulant et reformulant que l'on arrive le mieux à la … connaissance de soi. Notamment quand on prend en compte les interventions des uns et des autres....

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    13. Bonjour Isabelle,

      Comme toujours, je suis soucieux (de nature) à ne pas laisser s'installer un quelconque malentendu derrière mes propos.
      Vous avez bien raison de recadrer les choses. Le problème des quiproquos me fait toujours penser à ce sketch de Raymond Devos intitulé : "les sens interdits". L'humour aide à dissiper aussi le malaise. Merci de votre indulgence. Mac-Miche

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  5. Moi non plus je n'aime pas les mains attachées...

    Cette pose est un des vieux fantasmes de madame, qui a pour cet usage quelques vêtements pour donner un air "écolière" ou "jeune fille rangée". Certains sont difficilement mettables à l'extérieur (l'assortiment jupe plissée, chemisier, chaussettes et souliers) mais d'autres, plus discrets, nous servent un peu d'indication "fille punie".

    Pour vous dire, si d'habitude nous déculottons, parfois nous ne le faisons pas quand madame reçoit un "paddling" afin de renforcer le réalisme!

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  6. J'ai cru comprendre par ailleurs que vos préférences vont vers les paddles ou planchette en bois. A ce propos par pure curiosité, le paddle en cuir, est-il une pure invention pour agrémenter la vie sexuelle des adultes ou en existe-t-il aussi la « version familiale » pour la discipline maison dans les Etats Unis. Je vous sais sur place et familier de certaines coutumes locaux et je profite de l'aubaine pour poser cette question, cher Monsieur Pecan !

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    1. C'est vrai que nous apprécions les instruments "familiaux" et que nous utilisons pantoufle, brosse à cheveux, planchette à découper (en guise de "paddle"), mais aussi le martinet, d'un maniement différent.

      Nous n'habitons plus aux États-Unis, mais du temps où nous y habitions je n'ai jamais vu de "paddle" en vente, en dehors bien sûr des commerces pour adultes; et encore moins de "paddle" en cuir. Il est vrai que nous habitions dans des endroits plutôt "libéraux" et qu'il est périlleux de généraliser aux zones plus "conservatrices", par exemple celles où le "paddle" en bois est encore officiellement en usage dans les établissements scolaires.

      Ce que je sais sur la question provient principalement de conversations et d'anecdotes rapportées par mon épouse. Ainsi, son père a reçu le "paddle" dans le secondaire pour une bagarre scolaire. Sa mère a reçu vers 16 ans le "paddle" à la maison pour une imprudence au mépris des consignes parentales. J'ignore comment l'instrument familial se présentait; on dit aussi "paddling" pour l'usage de la brosse, et je sais que la grand-mère de mon épouse en usait. Comme vous pouvez le supposer, je peux difficilement aborder pareil sujet dans la conversation courante ("au fait, chère belle-mère, quand vous vous êtes fait battre les fesses pour vous être comportée comme une bécasse, même qu'on le sait encore plus de 50 ans après, comment se présentait l'instrument utilisé par votre mère?").

      En fait, nous devrions peut-être essayer le "paddle" en cuir...

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  7. Bonjour Mr Pécan,


    Whaou ! quel arsenal ! J'ai l'impression que "la fessée" est presque ritualisée, de l'autre côté de l'Atlantique. Presque une institution. Non ?
    A savoir si les parents américains sont plus sévères que les nôtres. Cà , mystère... Mais les bons principes éducatifs semblent universels?
    Une question: administrer une correction au paddle en bois ne comporte pas un risque de blesser sérieusement (fracture du bassin par forte frappe répétée) la victime du châtiment. Quant je regarde les vidéos sur le sujet, je me pose bien sûr la question. Le cuir, certes plus cinglant et donnant une impression de brûlure, "épouse " la forme du fessier. Donc peut-être moins dangereux à l'impact. Je n'ai aucune expérience dans ce domaine mais
    j'observe simplement les choses. Et comme vous êtes le mieux placé pour nous informer, j'en profite pour vous poser la question.
    Merci d'avance pour votre réponse. Mac-Miche

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    1. Je n'ai aucune idée de la force avec laquelle le "paddle" était administré dans les établissements scolaires ni s'il y avait parfois des accidents. C'est quelque chose que je ne connais que par des anecdotes de la belle-famille et par des films (on voit parfois des "paddlings" dans les films américains se situant il y a quelques dizaines d'années, quand c'était une pratique bien plus répandue que de nos jours). Le fait est que ce châtiment continue d'être pratiqué dans certains endroits.

      Il y a aussi une tradition des "sorority paddlings", une sorte de bizutage à l'admission des étudiantes dans les "sororités", des sortes d'associations étudiantes féminines. C'est un sujet que je connais mal, mon épouse n'ayant pas participé à ces événements et ne les connaissant que par ouï-dire, de sorte qu'il est difficile de différencier le fantasme de la réalité. Je crois qu'il s'agissait en pratique de recevoir quelques coups de "paddle" scolaire sur le pantalon ou la jupe.

      Bien entendu, il est difficile pour nous d'aborder de but en blanc ce sujet avec la belle-famille ou les collègues américains, il faudrait qu'il vienne naturellement dans la conversation! Les gens qui ont subi ce châtiment n'ont pas forcément envie de s'étendre dessus 30, 40, 50 ou 60 ans après...

      Pour notre part, nous ne pratiquons pas brutalement. Nous n'avons pas de vrai "paddle" aussi nous utilisons une pantoufle, une planchette à découper, ou une brosse à cheveux, le plus souvent en travers des genoux, ou parfois en position "scolaire". Je pratique peu la brosse, au contraire de mon épouse, car je n'aime pas laisser des bleus; mais madame est plus experte (ou mes fesses plus résistantes). Dans tous les cas le but est de laisser un fessier rougi et un peu douloureux, mais sans plus... et surtout de donner une sensation de "vilaine fille" ou de "vilain garçon".

      Nous avons vu des scènes de punitions orientales historiques où les fesses étaient frappées bien plus brutalement, et là je pense qu'il y avait un risque de blessure.

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    2. Quand j'y réfléchis, si l'on me demandait comment était administré le martinet dans les familles françaises, je serais également bien embarrassé pour répondre.

      Il y a des choses dont j'ai entendu parler par mes parents... par exemple, je sais que ma grand-mère maternelle utilisait le martinet et déculottait. Il y a des remarques dans des réunions de famille, par exemple certains de mes cousins recevaient aussi le martinet. J'ai aussi entendu parler de certaines autres pratiques, comme par exemple l'insertion d'un petit morceau de savon en guise de suppositoire pour faire aller à la selle (décrite comme très, très désagréable mais comme un fait de l'enfance dans les années 1950).

      Il m'est bien entendu là aussi impossible de demander des précisions maintenant, sauf si le sujet revenait naturellement dans la conversation... et à l'époque, je devais aussi limiter ma curiosité. Vous savez bien que, souvent, pour un enfant, on en apprend plus sur les sujets croustillants en ouvrant les oreilles quand les adultes parlent plutôt qu'en s'intéressant trop!

      Vu les difficultés à savoir ce qui se passait dans ma famille, difficile de savoir quelles étaient les pratiques du reste de la société.

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  8. Merci pour ces riches explications cher Monsieur Pecan. Je préfère les info de première main au folklore que certains blogs et sites de fessée font autour du sujet. Voila ma curiosité bien satisfaite.

    Pour ma part, je ne connais que le paddle en cuir, un modèle sur mesure pour mon derrière, commandé par mon chéri chez le même cordonnier qui s'occupait de mes hauts talons. Ce vieux monsieur très charmant m'a toujours beaucoup fait rire. Visiblement sa curiosité le démangeait pour savoir l'usage d'un tel objet. Sans toutefois – en bon commerçant - oser de poser de questions indiscrètes.

    Ceci dit un paddle en cuir s'apparente à la main et sans en faire de l'abus
    il est agréablement sonore. En fait la douleur est moins intense que le bruit laisse deviner...

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    1. J'ai consulté mon épouse au sujet du "paddle".

      D'après ses souvenirs d'anecdotes familiales:

      Le lycée de son père appliquait le "paddle" pour fautes graves. Le contrevenant allait dans le bureau d'un responsable, se penchait sur le bureau et recevait le paddle sur le pantalon. Il s'agissait d'une espece de grande planche de bois avec une poignée. Les coups, peu nombreux, étaient plutôt forts. Ça ne lui est arrivé qu'une fois et ça faisait mal.

      Sa grand-mère maternelle donnait des fessées déculottées, utilisait parfois une brosse à cheveux et une raquette de ping-pong ou ce qui y ressemblait (ces faits proviennent d'anecdotes de sa maman et de ses oncles). Le "paddling" vers 16 ans était exceptionnel au sens que ça faisait un certain temps que la mère de mon épouse n'avait plus été fessée. La mère de mon épouse a mentionné cette histoire à ma future épouse alors que celle-ci était grande enfant pour lui rappeler qu'il ne faut pas commettre d'imprudence parce que ça affole les parents. Lorsque ma future épouse (petite curieuse) a voulu lui demander si elle avait été déculottée à cette occasion, sa mère a simplement répété ses recommendations au sujet des imprudences; on peut interpréter cette réaction de différentes façons.

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  9. Merci pour ces précisions de votre dame. Tenez, ma belle mère bien que adepte de la fessée éducative dans le temps envers mon homme, ne m'a jamais parlé de ses propres fessées. Et évidement, je ne suis pas du style de lui demander.

    Mon homme, né à la fin des années 50 a connu encore pour sa part la canne à l'école jusqu'en en 1968 en Allemagne. La punition légalement interdite dans l'enseignement, l'instrument était reconverti pour montrer les villes et fleuves sur un mappe monde. Toutefois il existait encore certains prof d'un certain âge qui s'en servaient pour appliquer un coup sec sur le haut des jambes de certains élevés mal préparés. Ce n'était pas encore l'époque des parents allant à la direction de l'école pour se plaindre. Mais cette pratique restait extrêmement rare.

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  10. Isabelle,

    Pardonnez-moi de revenir là-dessus, mais je voudrais vous interroger sur cette phrase: "J'en conviens avec vous, il y a du moins chez mon homme reproduction ce qu'il percevait enfant comme une sorte de discipline rectale."

    Qu'entendez-vous par "discipline rectale"? S'agissait-il pour votre belle-mère de punir votre futur mari par l'usage de suppos? Comment cela?

    Mac-Miche,

    Ma maman nous "couvait" un peu. Elle s'inquiétait de notre santé et agissait dans ce qu'elle pensait notre intérêt. Ceci se conjuguait avec une certaine rigidité de caractère et d'agissements et la volonté de ne pas s'en laisser compter. Par ailleurs, elle avait une idée restreinte de la pudeur auquelle a droit un enfant prépubère. Enfin, elle avait certaines idées arrêtées sur l'hygiène, la propreté.

    "Purger sa colère en purgeant ses intestins: drôle de médecine"

    C'est une médecine que nous pratiquons parfois pour cause de nervosité: un bon lavement (2l d'eau tiède). Tendre les fesses à la canule rabat déjà la crête: il est difficile d'être arrogant avec un tuyau dans le derrière. Nous procédons toujours avec douceur: en cas d'inconfort, pause dans l'injection, massage du ventre. Après évacuation, le patient ou la patiente est curieusement calmé(e)...

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  11. Bonjour Mr Pecan,


    Ma Maman, comme la vôtre, se montrait terriblement soucieuse de notre bien-être à nous trois, plus particulièrement avec moi, le plus fragile. Question, maux de ventre, j'ai été souvent embêté avec çà .
    En Bretagne où j'ai vécu (travail de mon père oblige), j'ai souvent souffert de "crises de vers" avec de forts maux de ventre. Et cela au point d'être hospitalisé "pour suspicion d'appendicite " !!! (mais négatif, heureusement ). Elles se manifestent autour de la pleine lune. Une seule solution: les magnétiseurs (ou conjureurs, appelés ainsi en Bretagne) Et la crise passait... jusqu'à la prochaine. Douloureux !
    Mais curieusement, elles ont disparu dès mon arrivée vers Toulouse. Et depuis trois décennies, Dieu merci, je suis tranquille. Quelle explication ? Là je péche.
    Perso, je n'ai jamais subi l'épreuve du lavement (excepté ma sœur aînée très jeune). Mais c'est vrai qu'un épisode de constipation (moins de trois selles par semaine) s'en ressent sur l'humeur du moment. Ne dit-on pas en voyant une connaissance avec une mine de grognon : "Une vrai tête de constipé, ce matin" . Pas très sympa pour elle. Même si c'est justifié ( le blocage intestinal, s'entend). Cet inconfort intestinal se dissipe vite avec de l 'Importal 10 gr- Adulte, des suppos d'Eductyl, du "Normacol... Sans oublier toute la diététique préventive (que vous connaissez, j'imagine...) J'arrête là mon ordonnance. (Rires) Je sens que notre chère Isabelle va venir me tirer les oreilles ! Ouille ! Bonne journée Mac-Miche

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    1. Ah, la suspicion d'appendicite... cela m'a valu un toucher rectal par notre doctoresse. Mais c'était justifié, j'avais vraiment une appendicite!

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    2. Bonjour Mr Pecan,

      Subir ce genre de palpation surtout dans ce moment douloureux, ça ne devait pas être confortable. Et pour une vérif de la prostate: même procédé, dès l'âge de 50 ans.Bien qu'il existe un marqueur sanguin qui permet une vérification pour ce type de problème bien masculin. Mais bon... Bon WE Mac-Miche

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    3. Hé bien figurez vous que, sur le moment, j'ai surtout été très surpris. La doctoresse avait passé un gant d'examen, avait demandé de la vaseline à ma maman et m'avait fait placer dans une position inhabituelle, et je crois m'avait dit de "pousser"... mais (j'étais naïf) je ne m'attendais pas à l'irruption de ce doigt, irruption qui en elle-même ne m'a pas laissé de souvenir de déplaisir.

      Bien sûr, quand elle a appuyé au bon endroit, j'ai ressenti de la douleur, mais me prendre le doigt m'a juste laissé une impression inhabituelle. Honnêtement je me sentais tellement mal et j'avais tellement envie que l'on me soigne que je n'ai pas tiqué.

      Je n'ai pas encore 50 ans, mais mon épouse se charge d'examens réguliers (il est vrai que, n'étant pas médecin, elle n'est pas sûre de savoir quoi chercher..).

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    4. A se demander cher Monsieur Pecan, à quel point cet incident - avec le recul - a su inspirer de nouvelles orientations pour votre vie fantasmatique. En tout cas, il éclaircit beaucoup certaines de vos préférences à l'âge adulte. Nous rentrons là dans une thématique que je trouve particulièrement intéressante. La transformation d'un vécu de l'enfance ou adolescence, pas forcement agréable sur le coup, d'abord en fantasme stimulant, puis (éventuellement) en pratique dans la vie d'adulte.

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    5. Bonjour Mr Pecan,

      Je suis bien d'accord avec vous. Et comme vous le savez, en médecine, la pudeur est à laisser au vestiaire. J'ai subi une fois un toucher rectal : c'était juste après une crise hémorroïdaire .
      " Ne t'inquiètes pas ! C'est pas douloureux ! Faut se détendre !" m'avait dit mon généraliste. Oui et non. Mais sur le moment, aucune impression : ni en bien , ni en mal; Plutôt neutre, dirais-je . Très médical, quoi. Et quant on souffre beaucoup, on a qu'une hâte: se débarrasser de ce problème douloureux ; alors parfois, l'examen reste une "sensation secondaire", si je puis dire.
      Une petite question: votre épouse est-elle infirmière ou bien aide-soignante de profession ? (Si ce n'est pas indiscret de ma part).
      Bon Dimanche. Mac-Miche

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    6. Bonjour Isabelle,

      Le fameux vécu de notre jeunesse reste finalement le tremplin pour notre future vie d'adulte. "on aime ce qu'on connaît et on connaît ce qu'on aime" disait un poète. Un peu comme "jouer au docteur" version grande personne: on refait les mêmes gestes mais d'une manière moins naïve. Quant on abat un arbre adulte, ses racines restent souvent toujours plantées dans le sol ! Souvenirs, quant tu nous tiens... Mac-Miche

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    7. (Cher Mac-Miche, non, mon épouse n'exerce pas une profession médicale.)

      En effet, chère Isabelle, il est assez clair que certaines des préférences qui sont écloses chez moi lors de la grande adolescence ou de l'âge adulte prennent racine dans des évènements (exceptionnel comme celui-ci, ou récurrents) survenus lors de l'enfance, lorsque des dames adultes m'ont imposé des procédures disciplinaires, hygiéniques ou médicales au niveau de la ceinture. Bien que ces dames (ma mère, principalement, mais aussi la doctoresse, ma tante...) n'aient rien vu là que de très normal et ordinaire, certaines de ces petites humiliations, qui sur le moment n'avaient en général rien d'agréable pour moi, sont revenues plus tard pour nourrir mes fantasmes de "gouvernante" puis les jeux avec mon épouse.

      Pour mon épouse, c'est plus curieux: elle avait aussi des fantasmes de dame plus âgée s'occupant de sa discipline et de son bien-être, mais les a reportés sur moi.

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    8. Pour ma part je suis peu étonnée des fantasmes de votre dame. Moi aussi, ado, j’imaginais certaines dames de mon entourage ou créés de A à Z s’occuper de mes bonnes manières. Parfois même devant le prince charmant, élu de mon cœur. Et cela m'arrive encore que je souhaiterais telle ou telle autre dame me discipliner devant mon homme. Par contre niveau hommes, je ne vois que lui pour me corriger.

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  12. L'expression « discipline rectale » vient de mon homme. Elle me plaît beaucoup et m'inspire aussi pas mal mes rêveries dans le sens de ce qui est censée d'être de la discipline s'accompagne de sensations de plus plaisantes. Donc confusion entre deux informations contradictoires qui arrivent au cerveau. Ceci dit, pour moi le suppo reste un pur plaisir, par contre quand mon homme me prends par « derrière » je me sens agréablement vilaine au point que cela me procure des frissons partout. Idem quand je fais de la « discipline rectale » en exposant cette partie pour réfléchir pourquoi j'ai confondu ma bouche avec cet endroit en utilisant de gros mots.

    Quand mon homme était enfant, sa mère lui disait souvent de ne pas s'exposer à telle ou telle autre situation pour éviter le risque de choper une maladie. Alors quand il choppait parfois un rhume, il culpabilisait sur le fait de ne pas avoir écouté sa mère et le suppo (tout bonnement appliqué pour un aller mieux) s'entourait d'un air de punition pour désobéissance. Je crois que le suppo devient toute une histoire parce que c'est l'adulte qui l'applique. C'est perçu comme une sorte de viol de l'intimité de l'enfant. Par contre à l'âge adulte avec la personne aimée nous ne sommes plus dans un registre de viol, mais consentant et désireux qu'elle nous procure des sensations. Et vu que l'endroit n'est « pas le bon » voilà tout un film qui se déclenche dans lequel se confond l'enfant que nous étions et l'adulte que nous sommes. Enfin, c'est ma vision perso qui n'engage que moi...

    Ah oui, je confirme, une fois épilé et en train de prendre son lavement, mon homme ne fait pas le fier du tout...

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    1. Chère Isabelle,

      Puisque d’aucuns, dont vous, ont osé aborder ce sujet, je vais me risquer à faire part de mon expérience. Peut être celle-ci suscitera chez certains l’idée de nous imiter peu ou prou ? Quoi qu’il en soit, vous pourrez constater combien votre dénomination de « discipline rectale » peut s’appliquer en l’occurrence …

      En effet, depuis le début de son adolescence, mon mari, tout comme ses parents le faisaient avant lui, suit chaque matin un rituel immuable, c’est à dire qu’après son petit déjeuner et avant sa douche, il va à la selle. A noter que lors de déplacements avec un décalage horaire important, il ne lui faut que peu d’heures pour réaligner son « horloge biologique » avec l’horloge réelle.

      Evidemment, à partir du jour où je suis devenu sa compagne, il a tenu à ce que je suive les mêmes principes. Nous avons toutefois considéré plus judicieux de ne pas adopter les mêmes horaires. C’est ainsi qu’en se basant sur mes horaires de travail, je m’efforce de ne pas rentrer le soir après 18h00/18h30, puis je commence par aller à la selle avant de prendre ma douche et je n’ai plus ensuite qu’à enfiler une robe d’hôtesse ou un peignoir pour être prête à accueillir en bonne épouse mon « Seigneur et Maître » qui revient de l’entreprise vers 19h30/20h00. Bien sûr, cet horaire connaît d’inévitables adaptations, pour les week-ends, pour les sorties, ou lorsque nous recevons des amis à diner. Mais je ne me couche jamais sans avoir accompli ce rituel.

      Si, adolescente, j’ai connu comme tant d’autres des maux de ventre et des constipations bien pénibles, je ne peux que constater que depuis que je m’astreins à cette « discipline rectale », ces ennuis appartiennent au passé. Plus de lavement, plus de suppo à la glycérine ! Et aussi plus jamais de « besoin » souvent difficile à faire en journée ! Je fais juste avant ma douche, une fois par semaine le vendredi ou le samedi, éventuellement une autre fois en plus si mon mari me l’a demandé ( !), un nettoyage de mon rectum avec une poire à lavement.

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  13. Je n'avais pas pensé de prendre cette expression de « discipline rectale » à la lettre chère Christine. Donc merci pour vos confidences et aussi pour me « rappeler à l'ordre ». Le sujet étant délicat, il me semble tout de même qu'il s'agit du prototype d'une bonne habitude et comme chez vous mon homme aussi à insisté dès le début de notre vie de couple que je prenne « un bon rythme dès le matin ». Voila qui s'apparente donc aux habitudes de votre mari et ceci pour nous deux.

    Toutefois ma « passion » pour les lavements ne provient pas d’éventuelles constipations, mais d'une « mode allemande » qui a pris ses sources dans les années 80 en prêchant pour une cure de bien-être pendant 3 semaine une ou deux fois par an. J'avais essayé, jeune adulte et j'ai trouvé cette pratique non seulement fort agréable, mais aussi convaincante justement au niveau de mon bien-être. Je fus très étonnée de tomber sur un prospectus de l'équivalent de cette méthode « detox » chez mon esthéticienne en France qui m'a vanté en long et en large la cure Xantis. Sujet que j'ai répété à mon homme et qui l'a trouvé fort inspirant. Au point de vouloir s'occuper désormais personnellement de « mon bien-être ». Ceci dit il aime aussi « une hygiène rectale impeccable » quand il a envie de me prendre « par derrière », pratique qui reste tout de même une extra chez nous...

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