mercredi 6 août 2014

555 Assister à une vraie fessée ?

Oui, mais je pose mes conditions !

Il est très rare que je clique sur un clip. Celui-ci qui rentre dans la catégorie fessée maternelle a attiré ma curiosité à cause du texte accompagnant qui parle d'une introduction trop longue. Chouette, me suis-je dit, enfin une vraie histoire. Démarche qui semble confirmer un petit truc que je viens lire ces jours-ci sur Yahoo et qui prêtant que l'orgasme chez les dames commence par la pensée. Sans aller aussi loin, j'avoue d'avoir beaucoup de mal avec le matériel visuel qui vie de l'aspect technique. Le « métronome » me berce vite et la virtuosité d'un véritable feu d'artifice attire plus mon admiration que l'envie de partager le sort de la dame.

Bref, ce clip commence par une banalité à toute épreuve. Une jeune dame qui passe du temps à regarder ses fesses. Dans son jeans, dans un culotte et toutes nues aussi. Cela, je le fais aussi et pendant de très longs moments. C'est d'ailleurs à ce propos que mon chéri m'a installé un système astucieux qui me permet de me regarder sous toutes les coutures, dans le moindre recoin si j'ose dire. Puis arrive un dame d'âge mur (je parle du clip), censée de représenter l'autorité et qui va punir la jeune dame pour une raison obscure. Non, je ne suis pas choquée à l'idée d'un semblant de fessée maternelle. Justement car celle censée de représenter la fille est une adulte. Certes, pour ma part je préfère un déplacement dans la fantaisie, vers une gouvernante ou dame qui tient une pension pour jeunes femmes en manque de discipline, mais c'est un détail sans importance. J'assiste donc à une solide correction. Le mot est faible et celle qui applique se révèle de plus méticuleuse. Pas de geste déplacée, nous restons dans un registre de pure punition. Je prend plaisir de constater que celle qui punit aime autant les jupes noires à petits pois que moi et que celle qui joue la fille porte de petits pois sur fond rose comme ma fille. Je regarde un peu la déco de la pièce et je me rend subitement compte qu'en quelque sorte je suis témoin d'une mémorable correction. Et aussitôt je commence à transposer.

Quels ingrédients me faudrait-il pour assister avec plaisir à une fessée en vrai ?

D'abord il me serait plus simple de dire ce qui me laisserait de glace. Un truc, style soirée à thème entre « fessophiles », une performance dans un club ou un repas entre deux couples avec « l'esprit ouvert » avec au dessert... devinez quoi. Par « de glace » je n'attend surtout pas un sorte de mépris intellectuel. Je parle de mes émotions qui ne se commandent pas. Loin de moi les philosophies qui cherchent à établir une hiérarchie dans les fantasmes.

Venons donc à mes critères de ma « fessée de rêve » dont je serais témoin. Critères qui satisfont autant mon sadisme que mes tendances névrotiques. Du spontanée sans grande élaboration. Je suis en vacances et je ne dispose que de peu de temps pour écrire, notamment pour en faire un récit.

Concernant celle qui se déculotte :

- Que la dame punie soit adulte, de préférence autour de mon âge. Hein oui, marre de voir seulement des jeunettes de 20 ans qui s'en prennent une bonne. (Jalouse moi ? Mais oui... et comment !)

-Que je connaisse la dame en question de ma vie quotidienne. Facteur très important qui me génère de fortes émotions. Sans parler du plaisir de la revoir ultérieurement. En gardant notre petit secret entre nous, cela va de soi. Mais le fait qu'elle sait que je sais suffit pour pimenter la situation à chaque fois.

-Que je trouve la dame en question (parfois) insupportable.

-Que je la jalouse pour ...une poitrine plus ronde, les jambes plus fines, des sourcils plus longues etc (Mais oui, cela m'arrive... fréquemment !)

-Que j'aie déjà eu l'idée qu'elle mériterait bien une bonne correction sur ses fesses nues.

-Que celle qu'elle se chope me paraisse parfaitement méritée, pour une juste cause.

-Que je la soupçonne de faire des yeux doux à mon homme !

-Que je l'aie déjà chopé en train de faire des yeux doux à mon homme.

-Que j'aie déjà eu un soupçon qu'elle reçoive encore des fessées...

-Que je la soupçonne d'un authentique besoin de punition en manque de satisfaction

Je reviendrai dans un post à part sur mes attentes envers la personne qui punit.

19 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle !


    Vous m'époustouflez ! Notre chère Isabelle d'ordinaire si conciliante... se transformer en redoutable ménagère féline ! Mazette ! Quelle surprenante réalité ! Rires. Mais la fin justifie les moyens, dit-on. Et, perso, vu le contexte, je vous approuve.
    " Dans ce cas, je m'esquive /promptement sur la pointe des pieds/Ne voulant nullement troubler/ Cette belle entreprise/ si bien commencée...".
    Bonne journée. Mac-Miche.

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  2. Effectivement, cher Monsieur Mac-Miche, en me relisant, ces critères me conviennent aussi en cas de tenir le martinet moi. Enfin je n'y pense quasiment jamais, mais je me verrais bien en disciplinaire stricte dans certaine situations et surtout envers certaines dames de mon entourage.
    Je crois même que la tentation est réciproque et peut-être pour cette raison je récolte pas mal de confidences. Rire !

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  3. J'aime bien ce clip, même si j'ai dû le voir sans le son parce que je suis chez ma mère, au lit, et que j'ai eu la flemme de me lever pour aller chercher un casque. Mais pour assister à une fessée, je poserais mes conditions aussi. Il n'y a eu qu'une seule fois où quelqu'un est venu partager nos jeux de fessée, mais j'étais la fesseuse et je ne sais pas ce que ça aurait donné si j'avais dû juste être observatrice (par contre je sais qu'avec un échange de rôle, quand Sillycat était venu jouer avec nous, je risquais de me faire vanner pendant environ un siècle donc c'était mieux de rester dans mon rôle de mère Fouettard).
    Imaginer une fille de mon entourage se prendre une fessée, ça a pu m'arriver, mais pas tellement par jalousie. Oui, ça m'énerve qu'on fasse les yeux doux à Simon, mais dans ces cas là, je n'ai pas envie de donner la fessée mais de mettre des baffes (je suis scorpion ascendant scorpion et en plus je viens du sud. Je cumule).
    Par contre, je t'imagine assez bien en gouvernante et tutrice sévère. Ton homme t'apprend à améliorer ton attitude, mais indirectement, il te montre aussi depuis un bon moment comment on donne une bonne fessée!
    Et si tu étais amenée à donner la fessée un jour, sincèrement... Je serais très curieuse de voir ça! :)

    Constance

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    1. Ah que de parallèles, Constance. Comme toi je suis scorpion ascendant scorpion avec origines dans le sud. Un mélange explosif que j'ai su transmettre à ma fille... qui est poisson ascendant poisson. Comme quoi l'astrologie... Alors mon pauvre homme (double signe de terre : taureau ascendant capricorne) se chope parfois aussi les colères de mini-isabelle. Et comme d'habitude il sait garder son calme et sa gentillesse.

      J'ai vu également ce clip sans le son. En écrivant mon post, j'avais ma petite dans la pièce qui regardait youtube sur son ordinateur et hors de question qu'elle s’aperçoive de quoique ce soit que fait sa maman.. Des écouteurs ne sauraient qu'attiser sa convoitise. Puis, effectivement, je voulais dans un post ultérieur décrire la personne qui applique la fessée idéale quand soudainement j'ai commencé à mes poser des question comment je m'y prendrais en « fesseuse » dans un tel cas. Le post pas encore écrit, je vais donc aussi aborder cet aspect là de moi ! Mais disons que je resterai dans un registre fantasmatique. Pour l'instant il n'est pas question que je m'active comme disciplinaire dans mon entourage. J'ai deux mains gauches, entre autres...

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    2. Bonjour Isabelle


      J'ignorais votre intérêt pour l'Astrologie. Il y a une quinzaine d'années , un copain de Lycée féru de médecins douces (et parti faire ses études médicales en Chine) m'avait prêté un ouvrage publié aux Editions DANGLES intitulé(si mes souvenirs sont exacts) : "Astrologie, clé des vies antérieures" , avec en annexe la méthode pour calculer les ascendance astrales. Passionnant. Comme l'arthropode du même nom, le Scorpion est un signe très "opiniâtre". Et... gare à son dard , of course ! Rires.
      Bonne après-midi. Mac-Miche.

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    3. Essayer de trouver une seule femme qui ne connaît pas son signe astrologique et son ascendant. Pourtant pour ma part, il me manque de croyance dans de telles choses et je doute que Constance prenne au sérieux ce genre de prouesses de l'esprit humain. Par contre je m'y connais assez bien en astronomie. Je sais reconnaître les constellation et les expliquer à mon enfant. Je sais même trouver les planètes. Ceci dit, mieux vaut se méfier d'une dame scorpion dont la première qualité selon mon homme serait... le vice !

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    4. Bonjour Isabelle,

      Comme vous le savez, scruter les Cieux à la recherche de signes
      a toujours passionné les hommes et ce depuis la plus Haute Antiquité. Les horoscopes ont été élaborés dès cette époque; tibétain , chinois, indien... Et ce n'est pas un hasard si la presse populaire en a inclus dans ses pages "détente" entre le programme TV et les mots fléchés .Chacun peut donner ou non du crédit à tout cela. Les cartésiens s'en gaussent souvent. Il y a des choses ou des phénomènes qui ne s'expliquent pas toujours d'une manière raisonnable. Et c'est peut-être ce qui est le plus intéressant au fond. Rires.
      Bon dimanche. Mac-Miche

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    5. Meuh non, pas seulement la plus haute antiquité, allons allons. ça fait depuis que l'homme s'est redressé sur ses pattes de derrière qu'il regarde les étoiles la nuit parce qu'il arrive pas à dormir!
      Est-ce que j'y prête du crédit? Non, à part celui de me faire marrer quand je suis avec des copains/ copines et que j'attends le train ou le début des cours. Toute seule, ce n'est pas drôle. Mais après, je suis pas une référence, ça n'est que mon avis. Par contre je sais que ma belle mère, quand elle rédigeait dans son intégralité un journal local, rédigeait aussi l'horoscope, en s'appliquant à être la plus vague possible pour que tout le monde s'y retrouve. Et ça marchait très bien, alors qu'elle n'a aucune vraie connaissance de l'astrologie. C'était les obligations du métier!

      Constance

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    6. Bonjour Constance,

      L'horoscope ? prévision pour naïfs, me direz-vous ?
      On y jette un œil plus pour voir ce qui est prédit que pour la vérité des prédictions . Et puis, si des évènements personnels ont pu se "conformer" à celles-ci, au moins une fois, alors on se dit que " oui c'est juste ce qu'ils ont dit dans le magazine. Rappelles-toi ...
      Dans la même catégorie, vous allez me dire ; "Et la voyance ?"
      Certaines personnes ont réellement du fluide et ressentent des "choses". Certaines de ces personnes ont parfois des "dons" de médium. J'en ai vu personnellement la preuve. Confirmé à-postériori . Je vous vois sourire d'ici... Mais je respecte votre esprit soucieux de vérité. Il est des choses qui trouvent une base rationnelle et d'autres qui ne peuvent pas toujours s'expliquer.
      Est-ce un défaut pour autant ?
      Mac-Miche
      (Excusez moi, Isabelle si je digresse une fois de plus...)

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  4. Pour ma part, en même temps j'aime bien ce clip et en même temps je ne l'aime pas. J'aime bien la fessée en elle-même. Je ne regarde pas tant que cela de vidéos de ce genre, mais j'ai tendance à préférer celles où un homme ou une femme se prend une fessée pas trop forte par une autre femme, donc cela convient. Je n'aime pas les fessées trop dures ou dégradantes.

    Par contre je n'accroche pas au scénario "la lycéenne glandouille à la maison au lieu d'aller en cours, elle se fait prendre par belle-maman qui la fesse". C'est forcé et ça sonne faux, sans parler du fait que la lycéenne fait bien trop vieille. Je préfère soit des scénarios pleinement adultes (le mari ou la femme pénible qui s'en prend une) soit des scénarios historiques (même si Constance nous dirait que même à l'époque on ne donnait pas les verges aux jeunes filles de 18 ans).

    Voir une vraie fessée? En fait, madame disait parfois jadis qu'elle aimerait bien m'en voir "prendre une" par une dame plus âgée (sans à côté sexuels, bien sûr), ou qu'elle aimerait démontrer à une telle dame comment elle gère son vilain garnement de mari. Ou, suivant son humeur, que c'est elle qui mériterait de recevoir la fessée devant la dame, ou par la dame (le cliché "gouvernante"). Elle dit aussi parfois que certaines femmes pénibles en mériteraient bien une... et je crois que ça ne lui déplairait pas de faire l'expérience sur une dame consentante.

    Par contre elle n'a pas trop envie que je fesse une autre dame (trop jalouse) ni d'être fessée par un autre homme.

    Tout ceci est resté théorique, faute de candidate; il faudrait quelqu'un en qui nous ayons pleinement confiance et qui serait intéressée...

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  5. Voici comment nous voyons le problème.

    Pour assister à une fessée ou en subir une par autre que le conjoint, trois solutions nous semblent possibles:

    - Aller sur des forums en ligne spécialisés. Or, nous n'avons pas fait cela depuis 20 ans littéralement, et nous ne connaissons pas les lieux et les usages actuels. Et puis, nous ne nous sentons pas en confiance pour prendre rendez-vous avec une inconnue.

    - Aller dans une "party" spécialisée. Nous n'en connaissons pas en France. Il semble que cela soit plus courant aux États-Unis ou au Royaume-Uni.

    - Voir une "dominatrix". Déjà que nous n'avons pas envie de payer pour ce qui devrait être un moment partagé d'amusement, mais en plus l'univers BDSM n'est pas le nôtre. Nous ne sommes ni cuir ni latex, ni croix de Saint-André nous cherchons un degré modéré de douleur... Nous nous retrouvons plutôt dans l'univers de la "gouvernante" (je suis parfois tombé sur des clips de Clare Fonda et c'est plutôt ça).

    Bref, rien de tout cela ne nous convient. Nous avons des amis, mais il semble difficile de les "sonder" sur ce sujet.

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  6. J'en conviens sur le caractère forcé et peu naturel de la plupart des clips sur le net. D'où mes pensées comment concevoir une vrai une fessée, crédible et écrite par les circonstances de la vie. Et vu que les détails techniques m'importent moins que la psychologie, évident je parle avant tout du caractères des personnes. Mais disons que de voir dans un clip une adulte qui se comporte en ado attardée pour des raisons pécuniaire, voilà qui mérite selon moi une bonne fessée et qui satisfait mon sadisme social et... moral. Je partage aussi vos réflexion sur les critères de recherche. Enfin, à vrai dire nous ne cherchons pas. Faudrait alors que la situation se présente par le plus grand des hasards devant mes yeux. Et là, les chances sont vraiment très minimes...

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  7. Pour répondre à Pecan Nutjob sur le sujet précédant concernant qui déculotte et reculotte et concernant la fessée devant des tiers, voici mon expérience.

    S’agissant de la fessée disciplinaire d’adulte, contrairement à ce qui arrivait anciennement aux enfants, elle a toujours été consentie dans son principe. Elle intervient parce que l’adulte ne s’est pas pleinement comporté en adulte et, au-delà de son caractère cuisant, la première humiliation est de l’avoir mérité. Ce n’est pas un pur acte d’autorité mais une situation dans laquelle la personne punie s’est mise elle-même. La seconde humiliation est la nature même de l’acte : une « grande personne » va recevoir une authentique « fessée déculottée ». Même si on en admet le principe, ce n’est pas une situation « normale » et elle est d’autant plus honteuse qu’elle correspond à ce que l’on appelait à l’époque de Rousseau « la punition des enfants ». C’est pourquoi, je pense que de manière général il faut laisser l’adulte se déculotter lui-même. En le faisant il manifeste matériellement qu’au-delà du principe, il acquiesce aussi à la punition qu’il va recevoir ici et maintenant, qu’il admet qu’elle est méritée, que c’est bien ça qu’il lui faut. Et, à défaut de s’être comporté comme il aurait dû le faire, il se rattrape et montre qu’il reste un adulte en assumant la fessée par le fait de se déculotter lui-même. A la fin de la punition, l’affaire sera soldée par une explicite et humiliante autorisation de se reculotter, donc d’agir lui-même, « comme un grand ».

    Dans le coaching privé directif tel que je le pratique, je réserve le fait de déculotter et de reculotter moi-même la personne punie au cas où, non seulement elle a été fautive, mais surtout son comportement a été authentiquement infantile. C’est alors une humiliation supplémentaire infligée à titre pédagogique pour bien marquer le coup et par ce moment d’impuissance totale, la personne punie ne maîtrise même plus la position de sa culotte, la dissuader de recommencer.


    Par ailleurs, au titre de l’humiliation en cas de comportements infantiles (et en l’occurrence répétés), et dans un cadre strictement disciplinaire, je vais corriger devant des tiers à la rentrée une jeune femme de 22 ans que je coach depuis quelques mois. Je choisirai des personnes averties en accord avec l’intéressée qui m’a elle-même dit qu’une fois dans le passé cette méthode avait été très efficace la concernant. Ce sera une première pour moi. Je suis près à en discuter en privée avec ceux d’entre vous que cela intéresse (si notre chère Isabelle accepte que cette proposition passe initialement par son blog naturellement).

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  8. Merci pour cette belle vision de la fessée disciplinaire Monsieur Doumik. Pour moi un besoin de discipline ou de punition dans un sens plus large comporte implicitement et explicitement le consentement quand on essaye de le réaliser. Voila qui rend les choses très claires entre celui qui punit et celle qui est punie. En gros la dame sait très bien ce qu'elle veut et où elle va. Je vois là une différence avec les mises en scène de domination/soumission qui semblent vivre du suspense de ne pas savoir où va aller le dominant.

    Je ne vois d'objection pour faire passer votre message par le biais de mon blog. Je rappelle à ce propos votre excellent sujet sur le coaching.

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  9. " -Que je connaisse la dame en question de ma vie quotidienne.
    -Que je trouve la dame en question (parfois) insupportable. "

    Évidemment, je trouve aussi bien plus intéressant quand la personne est connue, même un peu. Ca marche aussi pour les fantasmes sexuels, la boulangère est souvent plus attractive que la top-model standardisée de la télé.

    Ca marche aussi dans l'autre sens: comme vous sans doute, je préférerais être "humilié" (comme quelqu'un qui mentionne tout haut les fessées que je me suis pris) devant certaines personnes bien choisies plutôt que devant des inconnus.

    Une personne que vous connaissez et qui mérite une fessée... être témoin un peu par hazard... quel dommage que ça n'arrive pas plus souvent dans la vraie vie à notre époque! : )

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  10. Merci de votre passage Alex. Parfois j'ai envie d'écrire une rubrique : « si la fessée avait encore cours » pour parler des mille et unes fantaisies de fessées dans mon entourage proche et de mon voisinage. J'ai même quelques brouillons à ce sujet.

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  11. Bonjour Isabelle,

    Pour paraphraser un fameux titre de film (réalisé par le comédien Sacha Guitry), je proposerais si vous le permettez : " Si la fessée m'était contée...".
    Il y a certainement autant de manière de fesser que de fessées. Au choix.
    Nous somme impatients/es de lire un de vos fameux Post dont vous avez le secret. (Je sais , je flatte un peu mais bon...)
    Bon Dimanche.

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  12. Sans promettrez quoique ce soit, je vais essayer ce que je peux faire, cher Monsieur Mac-Miche.

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  13. Bonjour Isabelle,

    Prenez tout votre temps. L'écriture, c'est comme la cuisine: il faut laisser le temps au temps et laisser mijoter ( " Faut que ça prenne bien le bouillon ! "
    - cf : La Soupe Aux Choux - Carmet/De Funès ). Alors, bon appétit.
    Mac-Miche

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