vendredi 11 juillet 2014

544 Liens de discipline domestique (122 ème édition)

Au menu cette semaine : Insolences féminines


Non, il ne fera pas la fête avec vous, il est puni !

Je fais partie de ces dames que l'on considère comme pas cool du tout. Celles qui ne prônent pas la liberté pour chacun des partenaires d'un couple. Celles qui ne font pas l'éloge d'un jardin secret et du bienfait d' activités épanouissantes chacun de son côte pour ne pas s'étouffer mutuellement. Loin d'évoquer l'impression d'une soumise, on me considère plutôt comme directive et par conséquence certains de mes princes charmants, quand j'étais encore célibataire, m'ont fait part de leur penchant pour les dames qui savent s’occuper de grands garçons en manque de bonnes manières. Je suis curieuse, de très bonne écoute et souriante sans juger. Du style :

Voyons à quoi cela retourne ton truc. Peut-être cela me tentera .

J'ai pu alors apprendre pas mal de choses sur ce genre de fantasmes. Le plus souvent cela reste dans le super mignon. Loin de demander à la dame de se transformer en tortionnaire de mâles comme suggèrent certaines productions B. En ressort surtout le désir de voir la dame qui est censée d'imposer la discipline dans une tenue résolument sexy. Talons hauts, bas et porte-jarretelles, corsets etc. Toute la panoplie de la parfaite séductrice.

Et pour ma part, où serait mon plaisir dans une telle constellation ?

Passons sur le fantasme d'avoir un homme à ses pieds. Pas besoin de jouer à la dominatrice pour cela. Il suffit souvent d'un joli sourire et voilà le tour est joué. Ceci dit, je trouverais sûrement jouissif d'interdire à un monsieur de faire une virée avec ses potes. De se vautrer devant la télé pour regarder le foot. Tiens, c'est le moment! De se remplir de bière et de chips pour jouer à la playstation. De ne pas se raser le matin pendant ses vacances. De traîner à la maison dans un vieux jogging ou dans un T-shirt trouée. De finir une fois pour toutes avec tant de mauvaises habitudes qui me dérangent chez certains messieurs. Despotique, avez-vous dit despotique ? Mais non. Selon mon homme (qui n'a aucun des ces défauts-là !) je suis seulement... très vicieuse.

Filles entre elles (petit clip)

Thématique qui plaît beaucoup à certains messieurs. Mon homme n'en fait pas exception. Quand il a appris au début de notre vie commune que je faisais toujours du sauna pendant mes vacances en Allemagne avec mes anciennes copines d'école, il a fait de grands yeux. Il aurait trop aime connaître leur réaction en me découvrant entièrement épilée. Car l'épilation intégrale à la fin du dernier millénaire avait encore cette petite touche du vice (décidément, il voit le vice partout chez moi) qui fait tilt. Pour ma part j'ai présenté les choses très pragmatiquement .

Je n'ai plus un seul poil sur le corps. La première qui rigole s'en prend une...

En brandissant le fouet du saune. Mais non, là je plaisante.

Discipline domestique (petit clip)

Ambiance quelque peu puritain. J'ai souvent l'impression que le puritanisme s'utilise par certaines personnes comme un synonyme de renoncement aux joies de la vie en imaginant les puritains comme particulièrement coincées. Étant classée comme fidèle, je connais assez bien ce genre de préjugée. Pourtant il existe deux principaux moyens pour s'agrémenter la vie de manière charnelle. Changer souvent le partenaire ou changer souvent la façon de faire les galipettes. Question de préférences personnelles. Et le deuxième mode de vie est parfaitement conciliable avec les croyances. Notons une petite incohérence personnelle qu'il vaut mieux garder pour soi de nos jours :

Rien ne rend mon homme plus viril à mes yeux que quand il ne se laisse pas faire et me passe sur ses genoux pour me corriger pour mes insolences !

Enfin, les mœurs à ce niveau se détendent un peu et comme j'ai pu apprendre certaines de mes copines en rêvent aussi...


Décidément, elle ne peut pas s'en passer. On dirait qu'elle le fait express de choisir toujours des robes qui remontent copieusement au moindre coup de vent. Je crois que son homme doit adorer ce genre de petite performance en public. Comme le mien d'ailleurs qui pousse loin le vice (là c'est moi qui en parle) en me punissant pour ce manque flagrant de bonnes manières. Peut-être chez Kate et William c'est pareil...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !



















36 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle !

    Vous nous faites découvrir une autre facette de votre couple.
    La première phase de votre texte sonne comme une mise en garde parentale que nous avons entendu, adolescents, à la suite d'une visite surprise de quelques ami/es... après une bonne fessée.
    Il y a une certaine catégorie d'hommes adultes qui rêvent d'être "rééduqués sous la férule " de leurs épouses. Ils multiplient les gaffes pour pousser celles-ci à endosser le rôle de la "Mère Fouettard/e". Sûrement nostalgiques d'une certaine discipline reçue jadis et qui les a marqué. Mais s'ils se montrent déçus de leur attente, alors, ce sont eux qui "passent à l'action" comme pour montrer leur mécontentement. Pour leur plus grand plaisir .. et celui de leurs compagnes qui, au fond, n'attendaient que ce revirement de leurs conjoints. Une forme de provocation mutuelle. Mais qui s'en plaindrait. Rires.
    Bon WE. Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Alors là, cher Monsieur Mac-Miche, j'apprends une belle avec vous et de plus elle me semble bien plausible. Devenir fesseur parce que certains messieurs sont déçus de leur attente que la/une dame se montre en mère fouettarde avec eux. Quant à mon homme, comme déjà dit ailleurs, dans ses premiers fantasmes, c'était bien lui qui faisait l'objet d'une éducation stricte par une belle dame. Puis il a changé le côté du manche. Et y s'il avait rencontré une dame décidée ? Passionnant votre apport. Je ferais une enquête dans notre entourage.

      Supprimer
  2. Tu sais que la photo "Pas fière du tout", je l'ai vécue? J'étais punie, mon conseiller financier m'a appelée pour une broutille, et j'ai dû prendre l'appel sans avoir la permission de me reculotter...

    Constance

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah la belle situation ! Voila de grands moments de solitude dont on aimerait bien être témoin. Je crois que cela me tenterait plus qu’assister à l'acte même. Ceci dit pour ma part, ayant fait aussi de mauvaises expériences en ce sens, j'éteins désormais toujours mon téléphone tout public avant...

      Supprimer
    2. Bonjour Isabelle,

      Puis je vous avouer mon très grand étonnement par la réaction de Constance, et aussi par la votre, devant cette photo que vous avez intitulée « pas fière du tout », et donc mon incompréhension ? Car enfin, il s’agit de téléphone, pas de visiophone, et l’interlocuteur ne peut deviner l’état de nudité totale ou partielle de son interlocutrice ….

      Je ne compte pas les fois où, nue, il m’est arrivé de répondre au téléphone. En règle générale, cela se produit surtout durant les week-ends, et par suite le plus souvent avec au bout du fil de la famille ou des amis. C’est beaucoup plus rare qu’il puisse s’agir « d’étrangers », tels des fournisseurs. Mais de toutes façons, je ne vais pas alors raconter ce qu’est ma tenue du moment !

      Certes, il y a des fois où j’ai beaucoup plus de mal à garder mon « quant à soi », et cela à cause de mon mari ! Il faut savoir qu’à l’entreprise, après 17h00, la standardiste n’est plus là, et l’un, ou plutôt l’une d’entre nous, en tient lieu lorsque le téléphone sonne. Le plus souvent c’est moi, et il arrive que je sois alors dans le bureau de mon mari, en train de lui faire signer des courriers, de lui montrer des documents, etc. S’il a à ce moment là l’humeur coquine, et cela lui arrive souvent pour me taquiner, il n’hésite pas alors à passer une main sous mon jupon et qu’un doigt fureteur vienne explorer toute mon intimité ! Bien difficile alors de ne pas bafouiller et de garder un discours cohérent …..

      Supprimer
    3. Chère Christine,

      je crois que le fantasme de fessée est indissociable chez beaucoup de personnes d'une riche imagination qui tourne autour d'un éventuel témoin de la honte. Bien évidement je ne puis me prononcer au nom ce Constance, mais pour ma part quand j'ai mes fesses toutes rouges et la culotte baissée j'ai l'impression que cette image passe même au travers du fil d'un téléphone. Je ne crois pas que ce soit la nudité totale ou partielle qui soit en jeu, mais plutôt le fait de me trouver dans une situation que je juge tout subjectivement indigne d'un adulte. Par contre quand je n'ai pas mes fesses rouges, ma nudité ne me gêne pas. Notamment au téléphone.

      J'adore votre récit sur les habitudes de votre mari le soir au bureau. Pour moi c'est un magnifique reflet de ce qui est possible en couple quand l'amour est au rendez-vous. L’exercice n'est pas facile du tout. Je connais un peu dans d'autres circonstances que professionnelles.Déjà à l'état normal, je commets pas mal de faux pas, alors dans un contexte professionnel il vaut mieux s'abstenir avec moi quand on tient à la bonne réputation de son entreprise. Donc je suis admirative devant votre savoir faire !

      Supprimer
  3. Bonjour,
    Chez nous, c'est "ménage punitif les fesses à l'air" qui évoque l'ambiance à la maison.
    Jeune couple, madame était souvent fessée et dans bien des cas il y avait une punition supplémentaire, comme faire la vaisselle fesses à l'air, ou bien servir le diner avec la culotte sur les genoux et le martinet à portée de main.
    Cela est arrivé encore la semaine dernière, et dans ce cas l'ambiance est à la fois à la punition mais souvent très érotique en fin de soirée.
    Milu

    RépondreSupprimer
  4. Et dire que certains gens prétendent que le couple devient vite une routine. Décidément vous avez su d'entrée pimenter la vie commune, Milu. Pour notre part aussi, nous adorons le ménage punitif, de joindre l'utile et agréable. Et rien de plus plaisant que quand la punition se transforme petit à petit dans une ambiance de plus érotique.

    RépondreSupprimer
  5. Chez nous, madame aussi aime ne pas mettre de culotte sous sa jupe ou robe l'été, mais elle ne fait cela qu'avec des robes longues, justement pour éviter ce genre d'incident... D'après vous, la princesse va-t-elle réellement sans culotte, ou met-elle un string?

    Quand nous étions plus jeunes, nous avions le fantasme de la fessée en présence d'une dame plus âgée qui saurait apprécier les méthodes pour garder un jeune homme ou une jeune femme dans le droit chemin... voire y prêter la main.

    RépondreSupprimer
  6. Cher Monsieur Pecan,

    bien évidement j'ai une petite idée sur cette belle princesse. Je crois qu'elle aimerait bien se promener les fesses en l'air, mais pragmatique comme la plupart des dames et soucieuse de sa situation sociale, elle opte pour le meilleur compromis socialement accepté, le string. Vous ne croyez tout de même pas que les dames mettent un string pour éviter les lignes de couture sous un vêtement  comme c'est souvent prétendu. C'est le même genre de prétexte que l'épilation intégrale par souci d'hygiène.

    Je partage votre faible pour la présence d'une dame témoin ou intervenante telle que vous la décrivez. Cela peut être une expérience enrichissante quand on trouve la bonne personne...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le prétexte officiel de madame mon épouse pour l'absence de culotte est que la vulve à l'air, c'est plus sain par grande chaleur (transpiration..)!

      (on dirait que seuls certains de mes messages vous parviennent, est-ce encore votre anti-spam? et je dois m'y reprendre à 10 fois pour passer votre captcha)

      Supprimer
  7. Bonjour Isabelle !

    Merci de rétablir la vérité quant aux fausses idées !
    Quant à la présence d'une tierce personne dans la DD, cela semble une fantasme partagé par bon nombre de pratiquants. Il peut prendre racine à la période de l'adolescence et se prolonger à l'âge adulte selon la sensibilité des personnes. On se pique de fierté à endurer la punition. "Montrer que l'on devient un petit homme" . Surtout quant on est un garçon recevant la fessée sur les genoux d'une dame de l'entourage maternel. La Mère n'en sera que plus fière de son fils. Of course !
    Bonne journée. Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
  8. Cher Monsieur Mac-Miche,

    effectivement quand je me vois dans mes fantasmes comme épouse fouettarde qui s'efforce à enseigner à son mari les bonnes manières, j'ai aussi envie que cela se sache par mon entourage, par ma mère, par ma belle-mère, par mes copines. Quoi de mieux pour se mettre soi-même en scène. Et aussi quelle fierté de constater les progrès d'un grand garçon sur sa route grâce à une éducation sans faille.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Isabelle !

      Votre réponse ferait un excellent scénario pour une petite saynète dans la plus pure tradition de la DD. Un peu dans le style du "Neveu renifleur..." Votre engouement me rappelle cet adage" cher à nos amis transalpins: "le futur mari passe des bras de sa chère Mamma.. à ceux de son épouse". Des mots aux gestes, il n'y a qu'un pas. Rumeur ? Qui pourrait le dire. Bon WE. Mac-Miche.

      Supprimer
    2. Isabelle, un de nos vieux fantasmes de couple (non exaucé) est que madame ou moi recevions la fessée conjugale devant une dame plus âgée, en quelque sorte un témoin bienveillant et compréhensif... ou que ce soit cette dame qui se charge d'appliquer la discipline.

      Madame est jalouse et tient beaucoup à mon derrière, mais pourrait faire une exception à fin disciplinaire.

      Faute de connaître une dame ad hoc, nous n'avons jamais essayé!

      Supprimer
    3. Il faut vraiment tomber sur la perle rare. Une dame qui voit dans la discipline un acte positif et incontournable pour certains écarts de comportement. Loin en tout cas d'une mise en scène ludique. Je ne verrais pas cela dans une rencontre de fortune, mais dans une relation humaine et amicale, solidement construite!

      Supprimer
    4. Je suis d'accord avec Isabelle, il faut, avec la tierce personne, ne pas être dans ce cas dans une quelconque mise en scène ludique mais bien dans le partage des conceptions et des valeurs de la pédagogie, corrigeant par cette méthode un comportement fautif pour le bien de la personne punie. Un mélange des genres ici me paraîtrait malsain.

      Doumik

      Supprimer
    5. Je pense avoir une conception du « malsain » proche de la vôtre, Monsieur Doumik, concernant d'un mauvais mélange de genres. Notamment quand il y a question de nudité, du moins partielle. Dans la fessée punitive, la nudité est un élément de la punition et ne devrait s'accompagner ni de gestes et attouchements à connotation sexuelle, ni d'allusion verbales en ce sens, ni d'une attitude ostensiblement voyeuriste comme c'est le cas dans les pratiques récréatives. Voila qui va de soi pour une vraie d'âme d'éducateur, mais reste ô combien incompréhensible pour bien d'esprits libertins.

      Supprimer
  9. Disons que la mentalité transalpine ne m'est pas vraiment étrange du côté de ma maman, native de la Toscane. Ceci dit le monsieur qui ne sait pas se défaire des bras de sa maman existe un peu partout. Je ne pense pas que ce soit une question de pays. Mais voyez, cher Monsieur Mac-Miche comme cela m'agace au point de leur dédier un fantasme éducatif. J'ai même des brouillons d'histoires en ce sens, mais malheureusement (comme toujours), il me manque le temps pour faire du vrai littéraire.

    RépondreSupprimer
  10. Bonjour Isabelle !

    C'est très juste ce que vous dites. Perso, ma Maman était d'origine Italienne , avec un fort tempérament latin, donc très Mère-Poule et j'ai vécu ce moment particulier dans l'éducation d'un futur adulte. Je crois que la coupure est superficielle et le lien que l'on qualifie souvent de "fusionnel" reste encore ancré dans un petit tiroir de notre mental. Mais chut, c'est un secret...Doit-on pour autant en culpabiliser ? Et cet état d'esprit est universel. "Fantasme éducatif" dites-vous. Peut être. Difficile de se détacher de ce que l'on a vécu et connu. Un roman signé Jacques de Souabe (édition Sabine Fournier chez La Musardine.com. - Encore disponible ?) illustre ce dilemme et s'intitule, je crois, "Mama Boy".
    Le côté psychologique des rapports Mère/Fils est très rarement abordé généralement dans cette discipline et pourtant cela éclaircirait certains points restés obscurs de l'âme humaine. En particulier dans le domaine de la DD où l'homme en l'imposant à sa compagne donnerait l'impression au delà du côté ludique (?) de vouloir "se venger" d'une mère trop autoritaire ou envahissante. Passionnant sujet, n' est-ce pas ? Je suis impatient de lire le fruit de vos réflexions. Bon Dimanche. Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  11. Détrompez-vous, cher Monsieur Mac-Miche, il existe en langue française de nombreux sites qui ont pour objet la fessée maternelle ou du moins la fessée parentale. En lisant attentivement ces textes, il y a souvent une impression d'une enfance inventée qui s'impose. Loin de moi de juger les fantasmes d'autrui à condition qu'ils ne présentent pas de danger pour autrui! Toutefois je me trouve loin de mon registre personnel qui abordera plutôt comme aspect secondaire la psychologique entre la compagne/épouse du monsieur et la belle-mère. Donc un sujet qui se réduit en quelque sorte à la rivalité féminine. Enfin, ne comptez pas dans un avenir proche sur de tels textes. Ayant un enfant, je dois écrire par petites séances de dix à quinze minutes qui rendent impossible de narrer une action et des personnes à longue haleine. Et comme a dit un grand psychologue de la petite enfance que « Tout se joue avant 6 ans » il me reste d'autres priorités pour l'instant...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Isabelle !

      Dans le domaine des rapports psychologiques entre mère et fils, il me semble qu'un médecin , le Dr Braconnier, je crois, avait écrit un livre sur le sujet pour dédramatiser ces rapports que la morale qualifie de "personnalité maternelle étouffante", et qui aurait tendance à écraser, par un sentiment de protection parfois maladroite, la jeune personnalité de l'enfant qui commence à éclore.
      La rivalité féminine reste pour l'homme adulte un sujet de tourments lui aussi. Il se sent tiraillé entre sa compagne et sa mère et il n'a pas toujours le beau rôle. Même si le cinéma en fait la trame comique de ces œuvres.
      A l'inverse, mais corrigez moi si je me trompe, l'épouse aura probablement tendance dans certaines situations de conflits à privilégier le retour vers sa mère, notamment si elle est maman, elle aussi. La maternité peut créer un rapprochement. Mais c'est une simple hypothèse, évidemment. Merci pour ces éclairages.
      Bonne après-midi. Mac-Miche.

      Supprimer
    2. Disons que le sujet de la « bonne mère » m’intéresse principalement pour ne pas « handicaper » involontairement mon enfant. Il n'y a pas que celle qui est sur-protectrice qui peut se révéler néfaste pour un enfant, il y a aussi celle qui donne l'impression de l'abandonner ou du moins de ne pas s'occuper de lui.

      Pour ma part en situation de conflit, je trouve la paix en moi-même. Je n'éprouve pas un besoin de me trouver vers telle ou telle autre personne.
      Mais à choisir ce sera surtout mon homme ou mon papa ! Voyez cher monsieur Mac-Miche, ma mère est assez fantasque. Enfant, elle m'a laissé une paix royale pour me développer librement, mais il ne fallait pas trop compter sur elle non plus dans bien de situations.

      Supprimer
    3. Bonjour Isabelle !

      L'éducation donnée aux enfants reste le fondement même de la famille. Chacun/e y va de son vécu personnel. Difficile de ne pas se tromper. Cela débouche aussi sur des disputes entre les conjoints. Pas facile d'être parent . Les parents sont les seuls repères dans l'existence pour les enfants et leur attitude influence le comportement de ces derniers. On reproduit ce qu'on a vécu. Quel autre modèle pourrait -on suivre ? le caractère et l'éducation reçue sont bien distincts l'un de l'autre. Et c'est ce qui fait l'originalité de la situation. Peut -on dire pour autant que l'éducation "discipline" le caractère ?
      Intéressante comme hypothèse... Mac-Miche.

      Supprimer
    4. Disons que le caractère c'est le résultat de la transformation du petite « polymorphe pervers » que nous étions dans notre plus tendre enfance en être social. Forcement cela peut laisser des séquelles, notamment quand les parents s'y prennent trop mal, de manière trop rigide ou contrairement trop laxiste. Par conséquence on pourrait dire que l'éducation crée en partie le caractère et que l'autre partie c'est la réaction parfaitement individuelle de l'enfant à son éducation. Par contre on pourrait dire que la discipline forge le caractère on lui donnant une forme particulière. Avec tous les conflits possibles entre acceptation parfois libidinale (le sujet de monblog en quelque sorte) et refus plus ou moins rationnel. Enfin, c'est ma vision des choses...

      Supprimer
  12. La politique des prétextes se trouve plutôt du côté de mon homme et j'y suis très susceptible. Faire du sans culotte seulement pour moi ne me viendrait pas à l'esprit. C'est toujours à rapport à la découverte de mon homme ou sur son initiative (pas de culotte aujourd'hui, isabelle, c'est pas hygiénique avec cette chaleur).
    (Je ne savais pas les captchas sur mon blog. Je les ai donc supprimé. Ils n'apportent rien car je modère mes commentaires. Par contre je n'ai rien vu dans le dossier spam. Le tout en espérant que cela aille mieux maintenant.)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Sourires ! Puis je même dire sourires appuyés ?....

      Supprimer
    2. Sentez-vous libre de vous exprimer à votre convenance chère Christine. J'ai un peu l'impression que vous me réservez encore de belles découvertes sur votre couple!

      Supprimer
    3. Madame, parfois, prend la pose en bombant le postérieur et demande "à ton avis, ai-je une culotte?". C'est une invitation à la trousser (madame trouve d'ailleurs curieusement excitant de devoir tenir sa jupe ou robe pendant que j'achève de la préparer: c'est "montrer son cul").

      Supprimer
    4. Comme je comprend votre dame! Rire. Le rêve de toute petite fille devenu réalité à l'âge adulte. Pouvoir monter son cucul tout nu à quelqu'un qui ne nous dit pas que cela ne se fait pas...

      Supprimer
  13. Bonjour Isabelle,


    La découverte mutuelle pimente la vie d'un couple. Sinon la vie serait triste et sans saveur. Un peu comme une nouvelle recette que l'on agrémente d'une petite touche de fantaisie qui relève le petit plat et met de la gaité au repas. Les plaisirs de la table ne sont-ils pas là pour nous faire mieux profiter de l'existence ? Alors.. bon appétit. Mac-Miche

    RépondreSupprimer
  14. Tenez, on parle toujours de la curiosité féminine. Mais je trouve que celle des messieurs n'est pas à sous-estimer non plus. Quand je pense que mon homme après plus de 15 ans de vie commune se passionne toujours autant au fait que je porte une culotte ou pas...

    RépondreSupprimer
  15. Bonjour Isabelle !

    Certainement une petite ruse ! On gronde les femmes, ces êtres exquis, de leur curiosité mais c'est peut être pour ne pas dévoiler la nôtre. Vous savez combien certains hommes rechignent à parler de leurs sentiments: ils les considèrent comme une forme de faiblesse. Non ?
    Mac-Miche.

    RépondreSupprimer
  16. J'en ai un beau spécimen à la maison. Il est très solide mon homme, peu importe les coups dur de la vie. Par contre je découvre avec grand plaisir qu'envers notre petite son attitude n'est pas la même. Il lui explique que lui aussi il a peur dans telle ou telle autre situation. Qu'il soit humain d'avoir peur et de rester sur ces gardes.En fait il n'a aucune envie d’élever un enfant dans le mythe de l'adulte tout-puissant et infaillible. Et cela paye. Notre petite a hérité donc son attitude, elle ne montre ses peurs devant personne, mais en parle librement à son papa.

    RépondreSupprimer
  17. Bonjour Isabelle,

    Avez vous lu la déclaration hier de Michèle Alliot-Marie à propos des hommes de l'UMP ? Mon mari en a ri aux éclats .....

    RépondreSupprimer
  18. Merci Christine! Voila qui m'a donné envie d'écrire un petit texte à ce sujet, sans parler de mon rire de bon cœur!

    RépondreSupprimer