Au
menu cette semaine : Se faire sermonner la culotte baissée
Tout le monde n'est pas capable de
sermonner une dame. Déjà, il n'y a pas de truc miracle pour
connaître les cordes sensibles. Il faut prendre du temps pour
l'écouter, sinon impossible de se glisser dans son univers.
Toutefois la nudité peu rendre bon service pour déstabiliser et
pour ainsi faire tomber les dernières résistances.
Un jour au début de notre vie en
commune, suite à une faute grave, mon homme m'a demandée de me
déshabiller entièrement. Puis j'ai dû lui suivre en costume d’Ève
dans son bureau. Entendre la porte se fermer derrière moi, m'a
procuré la désagréable sensation de me faire pipi dans ma
culotte... sans en avoir une sur moi. Mon homme a pris tout son temps
pour sortir le martinet et aussi pour s'installer dans son fauteuil
avant de commencer à me sermonner. Cela a pris vite les apparence
d'un interrogatoire et me sentant de plus un plus petite, je suis
vite passée aux aveux complets. Mes intentions, le caractère
inexcusable de ma faute, mon incapacité de résister à la tentation
de commettre mon acte et aussi ma sincère conviction de mériter une
correction de taille. Mon besoin d'une main ferme pour intervenir sur
mes côtés irraisonnables et mon acceptation d'un programme éducatif
sur mesure. Je suis sortie une demi heure plus tard, au son du
clocher de l'église - petite attention subtile à mon égard -
confessée et surtout copieusement fessée. J'ai dû passer encore
une bonne partie de la journée toute nue, en faisant les corvées de
ménage dont un cirage complet de tous les meubles et les parquets en
bois. Le tout avec l'agréable sensation d'avoir payé ma note à
hauteur de mon méfait, style :
C'est
bien fait pour moi...
...malgré de la sermonner en long et
en large. Pire, elle ne perds même pas son effronterie. Encore une
culotte baissée, mais cette fois-ci la nudité reste dans un
registre de suggestion. Difficile, malgré ma faute, d'afficher une
mine contrite. Plutôt l’œil malicieux, je ne quitterais pas le
regard de mon homme pour scruter le moindre signe de son trouble de
me voir ainsi (dé)vêtue devant lui. Jeu de la barbichette pour qui
saurais résister au plus long à la tentation. Mon chéri, étant
une personne de plus honnête, ne se aventure plus sur de tels
terrains depuis longtemps. Il connaît ses limites, ce qui m'arrange
bien. Mais il connaît aussi les miennes, ce qui m'arrange nettement
moins... Par conséquence il arrive toujours à rétablir l'autorité
à la maison et je ne demande pas moins de lui !
Érotisme et sévérité (petit clip)
Petite pause récréative. Le monsieur
ne manque pas de force et le fait savoir. C'est la première fois que
je vois un fessier rougir sous un collant.
Je trouve l'effet très esthétique. On
dirait du rouge au milieu de noir et blanc. Selon la réaction de la
dame, il me semble qu'elle trouve son compte aussi, même si le
monsieur me paraît un peu rustre.
Voici qui me rappelle un peu les récits
(je veux dire authentiques par des vraies personnes) sur les
châtiment corporels dans mon pays à une époque que les moins de
cinquante ans ne peuvent pas connaître. Cela se passait le plus
souvent dans la cave ou dans le grenier. On employait le Rohrstock
(la canne, la badine) et bien entendu cela se passait sur les fesses
nues. Notons que ces récits de vraie discipline m'inspirent
nettement moins que les... créations.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
Bonjour,
RépondreSupprimerAh le sermon! C'est toute une histoire dans notre couple. Combien de fois, madame s'est retrouvée la culotte baissée en train de se faire gronder et finalement d'avouer la faute commise?
C'est arrivé pas plus tard qu'il y a trois jours. Ma femme ne m'avait rien dit à propos d'un grosse bêtise, qui elle le savait allait la mener droit sur mes genoux, pour recevoir une bonne fessée. M'étant aperçu de la chose, je l'ai convoqué dans le bureau. Je lui ai demandé de se déshabiller complètement et de ne garder que sa culotte baissée aux chevilles. 10 minutes après, je l'ai rejoint. C'est une épouse rougissante que j'ai retrouvé, et qui a commencé par mentir. Au bout de 10 minutes, elle a fini par avouer la bêtise.
Inutile de vous dire que la punition a été assez corsée. Je lui ai demandé d'aller aux toilettes, puis je l'ai fessée sur les genoux et elle a reçu le martinet ensuite, ce qui est rare. Pendant la punition au martinet, j'ai tout entendu ; "Pardon, je serai une bonne femme, j'ai honte, j'ai les fesses en feu,...", puis cela a été le merci et nous nous sommes embrassés.
Milu
Merci Milu pour cette jolie tranche de votre vie conjugale. C'est très vilain d'essayer de cacher ses bêtises, mais encore plus de se perdre dans les mensonges. Je sais de quoi je parle. Parfois cela demande un vrai travail de détective au monsieur. Mais visiblement rien ne vous échappe au plus grand bonheur de votre dame.
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerMe voilà en vacances ! Du moins officiellement, car l’entreprise est fermée à partir de ce soir pour les congés. J’avais rêvé d’une quinzaine à faire de la voile sur la « Grande Bleue », mais ce n’est pas possible : les temps sont durs et nous ne pouvons rester loin du bureau aussi longtemps. J’espère néanmoins pouvoir me reposer et faire du cocooning, si la météo veut bien nous être favorable et nous permettre de profiter pleinement de notre maison …
Votre billet m’a fait faire ces jours-ci pas mal d’introspection sur ce que je peux ressentir lorsque je suis nue. Et évidemment, je ne peux parler que pour moi !
Ce qui m’apparaît clairement, pour moi qui suis très souvent nue, c’est que mon ressenti dépend surtout du motif pour lequel je suis telle à ce moment là, ressenti qui peut aller de la honte jusqu’à la joie, en passant par toutes les nuances via l’indifférence ! C’est dire que je pourrais écrire longuement sur ce sujet …..
Bonjour Christine,
RépondreSupprimerlaissez moi d'abord vous souhaiter de belles vacances (bien méritées je pense !) avec un temps superbe.
Comme vous je trouve le sujet de la nudité particulièrement intéressant.
Et je suis fascinée à chaque fois de constater comment mes émotions varient selon les circonstances. Ayant grandi dans un contexte dans lequel la nudité ne faisait ni objet d'un tabou, ni d'une surestimation, j' ai pu découvrir par notre discipline domestique des nuances qui m'échappaient auparavant. Il en va donc de soi que ce sujet a encore de beau jours devant soi sur mon blog...