Devoir
remettre son uniforme scolaire pour une...
Dommage que je ne
sois pas tombée sur cette image quand j'ai été adolescente. Ma
folle course aux princes charmants avec les indispensables travaux
pratiques le week-end a su souvent, surtout en pleine période
scolaire, me causer un sacré conflit interne entre mes envies de
satisfaire mes pulsions et mes ambitions sociales. Alors oui, il
m'arrivait souvent d'imaginer d'être attendue à la maison par une
personne sévère, en charge de mon éducation. Devoir quitter mes
« vêtements de princesse », soigneusement choisis pour
créer un effet impérissable sur le monde des princes charmants,
pour regagner un sobre uniforme scolaire. Élaboration personnelle du
conte de fée de Cendrillon avec une belle-mère ou un beau-père
soucieux de mes bonnes manières et de ma bonne réputation.
Surveillance ne se résumant pas seulement au remontrances, mais en
recourant aux châtiments corporels, le martinet à l'appui. L'idée
qui me convenait parfaitement, car loin d'un esprit
révolté de certains ados, mal dans leur peau, j'aspirai moi-même
la première à une intégration sociale sans histoire.
J'ai dû attendre
mes 25 ans pour donner une réalité au quotidien à mes rêveries.
Quand mon homme a insisté pour que je me mette en uniforme scolaire
en cas de mauvais comportement. Pourtant j'adore les déguisements.
Mais quand je me suis vue me faire confisquer mes bas et
porte-jarretelles pour insolences à répétition et devoir me vêtir
de longues chaussettes blanches avec une jupe s’arrêtant au milieu
de mes cuisses, j'ai réalisé l'effet punitif. Sans parler de ces
affreuses culottes blanches d'un autre âge. Sans parler du fait de
devoir me présenter ainsi vêtue pour une correction de taille sur
les genoux de mon homme. Car parfois il n'a même pas jugé utile de
sortir le martinet pour me traiter à la hauteur de mes méfaits et
j'ai reçu une de ces fessées à la main qui incitent à réfléchir.
Et dont on se souvient. Rien à voir avec un acte érotique. Une
punition à l'état pur qui m'a laissée en larmes avec mes fesses en
feu. Non pas de larmes de douleur, mais d'une sorte de relâchement
nerveux bénéfique. Me voilà parfaitement rassurée de me trouver
avec un compagnon, capable d'intervenir efficacement sur mon besoin
de punition. Dans une juste mesure qui ne se perds pas dans une
escalade.
Mon homme n'est
pas un adepte de punitions écrites. De répéter 100 fois une même
phrase pour mieux assimiler une consigne. Par contre, il aime
beaucoup m'imposer un travail utile quand je sors de mon coin. Et là
aussi, je suis comblée par son pragmatisme qui rejoint le mien.
Une jolie fessée érotique
(petit clip)
Souvent cette
dénomination reste un grand fourre tout et il arrive que le
soi-disant récréatif dépasse ce que je considère personnellement
comme punitif. Bon, ici pas de doute possible. Tout est fait pour que
la dame (schöne seele = belle âme) se lève avec une sensation de
plus plaisante dans son entrejambe. Chaleur qui se conjugue si bien
avec celle des fesses. Notons un monsieur attentif et soigneux qui
sait jouer à la poupée. Que ce soit pour la déshabiller ou pour la
rhabiller. Et quelle délicatesse dans les gestes. Nous sommes loin
d'un loup affamé qui se jette sur la dame. Comme c'est beau l'amour.
Ce qui n'exclue pas qu'ils maîtrisent aussi....
...un registre plus dynamique
(petit clip de fessée amateur)
De
la discipline libidineuse ...
Un peu … beaucoup lubrique cette
jeune dame qui se trouve sur les genoux d'une mère supérieure qui
reste parfaitement anonyme. Voila que je qualifierais comme une
authentique rêverie (une parmi je ne sais pas combien... des
centaines certes) qui m'a fait suer sous ma couette ou pendant mes
cours à l'école. A vrai dire je ne me souviens plus des
circonstances exactes. J'ai dû être encore très jeune, à un
moment où l'on exporte ses fantasmes hors maison en choisissant des
personnes de son voisinage ou anonymes justement pour s'occuper de
notre besoin d'une bonne fessée.
Et encore de la fessée coquine (petit clip amateur)
Loin
de ces clips qui nouent l'estomac, voilà encore un jeune couple qui
s'amuse. Claquage des fesses qui convient à beaucoup de monde et
dont on peut parler sans le moindre mal à ses copines et même sa
maman. Certes, il est et restera encore bien plus difficile d'aborder
un besoin de punition. Mais les mœurs sont en train de changer.
Je
vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
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