A vrai dire non! Nous considérons le lavement comme un soin bien-être. Ceci dit , il me semblerait intéressant de tenter avec des fesses préalablement chauffées...
Chez nous le lavement a parfois des visées thérapeutiques (maux de ventre, constipation), parfois des visées de détente et parfois des visées de correction de la "mauvaise humeur". Sans doute un peu comme quand votre mari vous trouve revêche et d'allure "constipée".
Donc chez nous la mauvaise humeur se traite par une fessée (plus ou moins accentuée suivant le comportement) et/ou un lavement... un comportement imbuvable amène donc facilement à se retrouver à tendre le cul rougi pour recevoir la canule... Souvent aussi la fessée est précédée d'une prise de température!
Pour être sensible à la poésie de la fessée, il me semble qu'il faut une prédisposition de la sexualité dite "anale". Il en va de soi que la prise de température, le suppo, le lavement ainsi que toute la gamme d'objets de massage ou "bijoux" prennent subitement une forte charge érotique. Et même sur un point psychanalytique on peut facilement trouver le lien entre mauvaise humeur ou une attitude constipée avec cette forme d'érotisme particulier. Par conséquence la "détente" après "traitement" me parait bien réelle... Pour celle ou celui qui applique aussi...
Sans aller jusqu'à ce traitement, dont il faut assumer les suites, nous pratiquons beaucoup la vérification de température d'avant fessée: soit rapide et numérique, soit plus lente et traditionnelle, ce qui donne le temps de discuter des problèmes de comportement.
Et vous?
(Nous avons parfois, mais rarement, appliqué le suppo de glycérine avant la fessée, afin qu'à l'issue de celle-ci et d'un peu de coin le restant de mauvaise humeur soit évacué avec le reste!)
Nous aimons beaucoup l’ambiguïté entre une mesure purement médicale et une réactivation de l'érotisme anal. Evidemment un adulte en est conscient, tandis qu'un enfant ne saurait démêler ses impression. D'où une grande méfiance de nos jours envers de telles méthodes et d'où la nostalgie chez bien de personnes des méthodes anciennes. Ceci dit sans avoir connu cette pratique dans mon enfance, je n'ai eu aucun mal à y prendre plaisir. Il s'ajoute évidement un charme supplémentaire quand il s'agit de formuler un méa culpa avec le thermomètre introduit...
Sur un des sites que vous mentionnez ici j'ai vu cette intéressante photo:
RépondreSupprimerhttps://favoritespanking.tumblr.com/image/161686165198
Vous êtes vous déjà retrouvée en pareille posture, fessée avant de recevoir la purge? :-)
A vrai dire non! Nous considérons le lavement comme un soin bien-être. Ceci dit , il me semblerait intéressant de tenter avec des fesses préalablement chauffées...
RépondreSupprimerChez nous le lavement a parfois des visées thérapeutiques (maux de ventre, constipation), parfois des visées de détente et parfois des visées de correction de la "mauvaise humeur". Sans doute un peu comme quand votre mari vous trouve revêche et d'allure "constipée".
SupprimerDonc chez nous la mauvaise humeur se traite par une fessée (plus ou moins accentuée suivant le comportement) et/ou un lavement... un comportement imbuvable amène donc facilement à se retrouver à tendre le cul rougi pour recevoir la canule... Souvent aussi la fessée est précédée d'une prise de température!
Pour être sensible à la poésie de la fessée, il me semble qu'il faut une prédisposition de la sexualité dite "anale". Il en va de soi que la prise de température, le suppo, le lavement ainsi que toute la gamme d'objets de massage ou "bijoux" prennent subitement une forte charge érotique. Et même sur un point psychanalytique on peut facilement trouver le lien entre mauvaise humeur ou une attitude constipée avec cette forme d'érotisme particulier. Par conséquence la "détente" après "traitement" me parait bien réelle... Pour celle ou celui qui applique aussi...
RépondreSupprimerSans aller jusqu'à ce traitement, dont il faut assumer les suites, nous pratiquons beaucoup la vérification de température d'avant fessée: soit rapide et numérique, soit plus lente et traditionnelle, ce qui donne le temps de discuter des problèmes de comportement.
RépondreSupprimerEt vous?
(Nous avons parfois, mais rarement, appliqué le suppo de glycérine avant la fessée, afin qu'à l'issue de celle-ci et d'un peu de coin le restant de mauvaise humeur soit évacué avec le reste!)
Nous aimons beaucoup l’ambiguïté entre une mesure purement médicale et une réactivation de l'érotisme anal. Evidemment un adulte en est conscient, tandis qu'un enfant ne saurait démêler ses impression. D'où une grande méfiance de nos jours envers de telles méthodes et d'où la nostalgie chez bien de personnes des méthodes anciennes. Ceci dit sans avoir connu cette pratique dans mon enfance, je n'ai eu aucun mal à y prendre plaisir. Il s'ajoute évidement un charme supplémentaire quand il s'agit de formuler un méa culpa avec le thermomètre introduit...
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