Pas
facile d'imposer sa loi !
Voila qui fait plaisir de voir un monsieur qui transpire en fessant (vers 1min 10). Je
doute que ce pauvre homme transpire à cause de l'effort physique
qu'il produit pour corriger sa dame. J'ai plutôt l'impression que
d'avoir un superbe fessier de femme devant ses yeux suffit à bien
d'hommes pour que leur sang se mette en ébullition. S'ajoute
également la tenue de la dame, réduite au stricte minimum certes,
mais encore largement évocatrice pour se projeter dans bon nombre de
scénario. Est-il rare de tomber sur un monsieur qui exprime un
penchant pour la poésie de l'étudiante ? J'en doute. Si les
professionnels de longue date, ceux qui arrivent à vivre de leurs
productions, ne négligent pas ce registre, il doit tout de même
compter un nombre important d'amateurs du genre. Peut-être la
majorité silencieuse qui ne s'exprime pas ?
Mon homme transpire facilement sous
l'effort physique. Plutôt un vrai intellectuel (ce qui se ressemble,
s'assemble!) il n'a pas trop d'occasion de travailler avec son corps.
Ce qui ne veut pas dire qu'il manque de force, ni le goût pour
l'effort. Alors très vite il va s'enlever sa chemise pour continuer
torse nu. Voila qui suffit pour que je me mette dans un véritable
état second en ne le quittant pas des yeux et en observant chacun
des ses muscles. Je savoure le petit frisson :
Comme
il est fort, mon mâle !
C'est assez basique, voire archaïque.
Mon inconscient associe sa force physique à la protection de ma
petite personne ce qui me donne un voluptueux sentiment de …
sécurité. Cette force aussi rend mes punitions crédibles. Car
autant qu'il sait être prudent avec les instruments, autant il se
lâche dans un « peau contre peau ».
Voila
pourquoi je crains les fessées punitives à la main.
Il me faut tout au plus deux minutes
pour fondre en larmes. Non pas pour la douleur, mais parce
qu'étrangement la fessée me sécurise et j'ai l’impression de
pouvoir me laisser aller en toute confiance. Il en va de soi que mes
larmes ne sont pas une raison pour que mon chéri arrête ma
punition. Déjà, il sait trop bien que je maîtrise tous les
registres des larmes de crocodile. Puis il considère l'effet d'une
bonne fessée selon le dégrée de la cuisson de ma peau fessière.
Sans tomber dans l'abus, mais suffisant forte pour que je retienne ma
leçon. Une fois ma punition finie, c'est le moment de me prendre sur
ses genoux. Je ne vais pas manquer de pleurer encore plus à cause de
l'émotion de me sentir pardonnée, d'avoir payé ma note et de
gratitude de pouvoir compter sur mon chéri pour recevoir éducation
aussi stricte.
Tu m'a encore
fait suer, isabelle ! Tu n'a pas honte...
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