Quand
la punition marque autant le corps que l'esprit !
Pour bien cadrer mon sujet, j'aimerais
d'abord pointer sur ce petit clip qui montre que l'application de la
canne n'est pas forcement à confondre avec un massacre sur les
fesses. Certes, dans mes fantasmes une correction ne peut jamais être
assez forte. Comprenons par là que la rêverie met en rapport direct
la douleur imaginée et l'excitation réellement ressentie. Dans le
sens que plus la douleur augmente, plus le plaisir est intense.
Équation
qui ne correspond pas forcement à la réalité de tout le monde.
Quand je me trouve réellement devant
ma punition, je n'ai pas l'impression d'une partie d'excitant
plaisir. Plutôt d'un sentiment d'avoir mérité ma ration, d'avoir
besoin d'être corrigée. D'une atmosphère lourdement chargée qui
se languit qu'un orage purificateur éclate sur mes fesses. Avec une
petite pointe d'un trouble joliment pervers au fond de moi qui reste
avant tout cérébral. Quand mon homme fait siffler la badine dans
l'air pour tester sa souplesse, il en va de soi que je ne fasse pas
la fière. Je sais également qu'...
...il
est dans mon intérêt de bien tendre mon fessier, d'aguicher la
canne comme aime dire mon chéri.
Car en choisissant la bonne position,
le rembourrage de mon derrière absorbe au mieux l'impact. Même si
une vraie punition dépasse le cadre plutôt ludique du clip, il ne
faut pas perdre des yeux la juste mesure. L'enjeu aussi de la
punition. Je ne me sens ni délinquante, ni pécheresse qui souhaite
racheter le salut de son âme à n'importe quel prix. Ni même
coupable d'un faux pas hors pair.
Je
me sens surtout dérangée par mes mauvais comportements qui font
tache.
Ces insolences, entêtements ou gros
mots par-ci ou par-là. Parfois j'ai manqué de manière flagrante du
respect à mon homme. J'ai donné en spectacle notre couple devant un
public parce que je n'ai pas pu résister à mes pulsions. En gros,
des petites choses de la vie courante qui certes réveillent mon
besoin de punition, mais qui n'apparaissent nulle part dans un
registre pénal que ce soit de loi humaine ou divine.
Nous
restons dans une « législation personnelle » qui retrace
les mesures éducatives d'un autre âge.
Éducation dans le sens propre du
terme, d'apprendre à différer ses pulsions désirs ou envies. Et vu
que mon autorité interne se montre défaillante devant trop
d'exigences de ma part, je la projete à l’extérieur.
Notons que l'autorité que je confère
ainsi à mon chéri lui va si bien. J'adore quand il prend son temps
pour faire avec moi le tour de la question pour déterminer quel
genre punition mérite mon comportement. C'est un peu comme un
excellent polar à suspense...
...qui
met mes nerfs à vif avec cette pressante sensation de risquer de me
faire pipi dans ma culotte.
Bref, pour provoquer les fameuses
doubles stries, si importantes pour me procurer l'effet
psychologique qui me met les conséquence de mes actes devant les
yeux, qui confirment la réalité de ce qui m'est arrivée et surtout
qui me rassurent que chez nous les mauvais comportements ont une
suite douloureuse, il suffit de claquer un tantinet plus fort. Ce qui
cause une belle brûlure, douloureuse sans être insupportable et les
marques correspondantes au nombre d'applications. Soit 5 soit 10
selon la gravité de ma mauvaise conduite. Parfois mon homme estime
nécessaire de « marquer le coup » à l'anglaise :
Et pour finir,
isabelle, une (ou deux) pour adultes !
Ce qui implique une ou deux
applications supplémentaires (pour arriver à 6 ou très rarement à
12) que je sens bien passer. Puis après dans mon coin, j'aime
beaucoup la sensation de glisser mes mains sur les stries, de les
masser. Éphémères, elles disparaîtrons sous quelques heures.
Voila de ce qui est de technique. Je parlerai dans un deuxième post
de la signification de la canne dans l'inconscient collectif
allemand, ainsi que de mes moiteurs dans l'entrejambe...
A suivre
C'est sans doute très personnel mais je n'apprécie pas les stries.
RépondreSupprimerQuant au pipi... je demande à ma chère et tendre de se soulager AVANT de se mettre en position. Je crois qu'elle n'a jamais eu de fuite mais elle a jadis demandé à interrompre pour un tour au petit coin...
Bien évidement il y a un temps prévu chez nous pour que je fasse mon pipi avant ma fessée au cas où. Loin de mon homme de me rendre la fessée autrement désagréable que par l'intensité des claques. Nous sommes très confort, y compris pour le petit coin ou le coin pour méditer dans dans la pièce...
RépondreSupprimerMmmh. Quand madame est vraiment trop chipie le pipi d'avant fessée c'est sur un pot émaillé et avec l'air penaud. ;-)
SupprimerJe pense que s'il y avait un pot sous la main, cela plairait aussi à mon homme. Pour ma part cela me rappelle la curiosité de mes grands frères pour savoir comment font les petites sœurs.
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